Fernand Dumont (1927-1997), sociologue, enseignait la sociologie à l'Université Laval.

Fernand Dumont (1927-1997)
sociologue, enseignait la sociologie à l'Université Laval.

Notice biographique (Montmorency, 1927 -1997 ) Sociologue et philosophe, Fernand Dumont a fait ses études au Petit Séminaire de Québec et à l'Université de Laval, où il a obtenu une maîtrise en sciences sociales. Il détient aussi un doctorat en sociologie de la Sorbonne et un doctorat en théologie de l'Université Laval. Fernand Dumont devient professeur titulaire de théorie sociologique à l'Université Laval, et il a été président-directeur général de l'Institut de recherche sur la culture jusqu'en 1990. Il est cofondateur de la revue Recherches sociographiques, directeur de Questions de culture et membre de plusieurs sociétés savantes. Il fait également partie du Conseil scientifique de l'association des universités de langue française (AUPELF) et du Conseil de direction de la Chaire sur la culture française en Amérique. Fernand Dumont a reçu le Prix du Gouverneur général en 1968 pour Le Lieu de l'homme, la Médaille Parizeau de l'ACFAS, le prix Athanase-David en 1975 et le Prix scientifique du Québec. Depuis 1992, il est officier de l'Ordre national du Québec. Fernand Dumont est aussi docteur honoris causa de la Sorbonne, de l'Université du Québec et de l'Université de Sherbrooke. En 1992, il est récipiendaire du Prix Molson en sciences humaines. Son livre Genèse de la société québécoise a obtenu en 1994 le Signet d'Or de Plaisir de lire et le Prix France-Québec. En 1995, il recevait le Grand Prix du livre de Montréal pour Raisons communes. Sources: Katia Stockman, Bibliothèque nationale du Québec.
L'Encyclopédie L'Agora, “Fernand Dumont, Biographie en résumé. Sociologue, philosophe, essayiste, poète et universitaire québécois”.
FERNAND DUMONT (1927-1997) Notice biographique: Sociologue, essayiste, écrivain, poète et professeur, «Fernand Dumont fut l'un des plus importants penseurs et écrivains québécois de la seconde moitié du XXe siècle», mentionne Gérald Leblanc dans un article publié dans le journal La Presse, le 3 mai 1997. Sources: Danielle Gilbert.