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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

François Chesnais, La finance mondialisée. Racines sociales et politiques, configuration, conséquences. (2004)
Table des illustrations


Une édition électronique réalisée à partir du livre sous la direction de François Chesnais, La finance mondialisée. Racines sociales et politiques, configuration, conséquences. Paris: Les Éditions La Découverte, 2004, 269 pp. Collection: “Textes à l'appui/économie”. Une édition numérique réalisée avec le concours de Pierre Patenaude, bénévole, professeur de français à la retraite et écrivain, Chambord, Lac—St-Jean. [Livre diffusé dans Les Classiques des sciences sociales en libre accès à tous avec l'autorisation de l'auteur accordée le 14 février 2020.]

Fig. p. 24. Actifs financiers des pays de l’OCDE
par type d’investisseur institutionnel
.

Fig. p. 41. Profit, investissement et chômage en Europe. Source : Michel Husson [2003] à partir des données OCDE et Eurostat.

Fig. p.75. Rôle croissant des cadres et employés
(dans les entreprises et le secteur public)
Fig. p. 77. TAUX DE PROFIT (%) : « EUROPE
ET ÉTATS-UNIS, ÉCONOMIE PRIVÉE

Europe renvoie à trois pays : Allemagne, France et Royaume-Uni. Le taux de profit est le rapport d’une mesure large des profits (la production nette moins le coût total du travail) au stock de capital fixe, net de l’amortissement. Ainsi, les impôts (indirects et impôts sur les profits), les intérêts et les dividendes sont encore comptés dans les profits. Sources : NIPA (BEA) ; Fixed Assets Tables (BEA) ; OECD ; Comptes nationaux français (INSEE).

Fig. p. 78. Taux de profit retenu et taux d’accumulation (%), États-Unis, sociétés non financières

Le taux de profit a été normalisé au niveau du taux d’accumulation en 1965, c’est-à-dire multiplié par 0,66. Le taux de profit retenu est le rapport du profit (après paiement des impôts, intérêts et dividendes) à la situation nette des sociétés. Un ajustement est fait pour tenir compte de la dévalorisation des dettes par l’inflation. Le taux d’accumulation est le taux de croissance du stock de capital fixe, calculé comme le rapport de l’investissement (net de la consommation de capital fixe) au stock de capital fixe net. Sources : NIPA (BEA).

Fig. p. 83A. RAPPORT DES REVENUS VENANT DE L’ÉTRANGER AUX PROFITS DES SOCIÉTÉS RÉALISÉS AUX ÉTATS-UNIS.

La série des profits intérieurs des sociétés utilisée dans le calcul a été quelque peu lissée afin d’éviter les fluctuations reflétant les variations conjoncturelles du niveau général d’activité. Les fluctuations restantes sont principalement l’effet des variations des taux d’intérêt. Sources : International Transactions Data (BEA) ; NIPA (BEA). L’annexe donne des informations supplémentaires sur les sources utilisées dans cette figure et les suivantes.

Fig. p. 83B. TAUX DE RENDEMENT APPARENT
SUR LES AVOIRS DES ÉTATS-UNIS SUR LE RESTE DU MONDE
ET SUR LES AVOIRS DU RESTE DU MONDE
SUR LES ÉTATS-UNIS, CORRIGÉS DE L’INFLATION (%)
.
Fig. p. 86. Rapport de l’épargne nette et de l’investissement net au Produit national net (%) : États-Unis.

L’investissement net est l’investissement brut des entreprises diminué de la consommation de capital ; l’épargne nette est l’excès du revenu intérieur sur toutes les dépenses autres que cet investissement des entreprises.

Fig. p. 91A. Rapports au produit national brut (des États-Unis)
des avoirs du reste du monde sur les États-Unis,
et des avoirs des États-Unis sur le reste du monde
.

Pour des raisons comptables, la variation du solde (-) est entièrement l’effet des déséquilibres de la balance courante (le solde des exportations et importations de biens et services et des flux de revenus). Sources : Flow of Funds (Federal Reserve).

Fig. p. 91B. Rapports au produit national brut des flux de revenus
sur les avoirs des États-Unis sur le reste du monde
et du reste du monde sur les États-Unis (%)
.

Un signe négatif de la différence (-) signifie que le reste du monde perçoit davan-tage de revenus provenant des États-Unis que les États-Unis, provenant du reste du monde. Sources : International Transactions Data (BEA) ; NIPA (BEA).

Fig. p. 162. Investissements directs États-Unis - reste du monde.
Source : D’après les statistiques de l’UNCTAD.
Fig. p. 163. Investissements directs Union européenne-États-Unis
en millions de dollars
. Source : OCDE et BEA.
Fig. p. 172.
Évolution de l’indice Nikkei (1980-2003)
Fig. p. 173.
Évolution de l’indice des prix des terrains
des six plus grandes villes au Japon (1980-2000)
Fig. p. 201. Évolution des modalités d’insertion financière
dans les PED entre les années 1970 et 1990
.
Fig. p. 202 A. Évolution de la structure des capitaux destinés
aux PED dans les années 1990 selon la nature du financement
.
Fig. p. 202 B. Structure des flux capitaux destinés aux PED
dans les années 1990 selon le caractère durable
u non du financement

Fig. p. 203. Évolution comparée de la composition
des flux de capitaux entre zones en développement
.
Fig. p. 204. Répartition par zones des flux mondiaux
d’IDE entrants entre 1980 et 2001
.
Fig. p. 230. Les concentrations dans l’industrie
de l’armement aux États-Unis, 1990-2003
.
Fig. p. 238 A. Répartition des dépenses militaires
aux États-Unis, 1960-2009
(DoD Budget Authority,
en milliard de dollars constants, aux prix FY2004).
Fig. p. 238 B. Comparaison de l’évolution des indices Dow Jones Industrial, NASDAQ, S&P 500 et DFI, du 1er janvier 1999 au 9 décembre 2003 (novembre 2001 = 100).


Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le dimanche 17 mai 2020 13:23
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur associé, Université du Québec à Chicoutimi.
 



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