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Capitalisme, société et culture au Japon.
Aux origines de l’industrialisation.
Remerciements
Je remercie tout d'abord Chantal Kirsch qui n'a cessé de m'encourager à toutes les étapes de la recherche et de la rédaction de ce livre. Elle a en outre lu et revu le manuscrit. Je tiens aussi à remercier Robert J. Smith qui a bien voulu lire le manuscrit dans une langue qui n’est pas la sienne, et dont les commentaires et les suggestions m'ont été précieux. Je ne puis oublier non plus l'aide et l'encouragement de Michel Chrétien qui, malheureusement, est décédé en janvier 1987. M. Renaud Santerre a évalué ce manuscrit pour les Presses de l'Université de Montréal et ses commentaires m'ont été d'un grand secours. J'ai d'ailleurs effectué la majorité des corrections suggérées par M. Santerre.
La première version de ce livre a été rédigée à Paris où j'ai été invité en 1983-1984 comme directeur d'études associé à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS). Ce livre a été conçu en bonne partie lors du séminaire que j'ai donné au Centre de recherches sur le Japon contemporain (EHESS) d'octobre 1983 à juin 1984. Mon séjour au Centre m'a permis d'avoir accès aux ressources de la bibliothèque du Centre, mises à ma disposition. Sans ce séjour à Paris, dans le cadre d'un accord entre le gouvernement du Québec et l'École des hautes études en sciences sociales, je n'aurais pu rédiger cet ouvrage. Je tiens donc à remercier la direction de l'EHESS et le gouvernement du Québec (en particulier les personnes attachées à la direction de la France du ministère des Relations internationales du Québec).
Parmi les personnes qui m'ont particulièrement aidé à Paris, je me dois de mentionner M. Augustin Berque, directeur du Centre de recherches sur le Japon contemporain, qui m'a ouvert les portes du Centre. M. Yves Hersant, alors responsable de l'accueil des professeurs étrangers à l'EHESS, a grandement facilité l'aspect matériel de mon séjour. Je tiens aussi à remercier [x] M. Jean Copans, directeur d'études à l'EHESS, qui m'a invité à son séminaire sur la classe ouvrière et avec lequel j'ai eu des discussions fructueuses. Par ailleurs, je tiens à remercier M. Lucien Bianco, spécialiste de la Chine, qui m'a invité à donner une conférence sur la modernisation du Japon dans le cadre d'un colloque du Centre de recherches sur la Chine contemporaine de l'EHESS. Enfin, il me faut remercier tous les chercheurs et étudiants qui ont participé à mon séminaire et en particulier M. Patrick Beillevaire, chercheur au CNRS, dont l'amitié et les connaissances ont rendu mon séjour à Paris plus agréable et plus productif. Je remercie aussi le personnel de recherche et de soutien du Centre de recherches sur le Japon contemporain.
Les recherches de terrain que j'ai effectuées depuis 1970, et qui m'ont permis d'approfondir plusieurs des questions traitées dans ce livre, ont été financées par divers organismes : le Conseil des arts du Canada (religion populaire), le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (agriculture, industrie, nationalisme), le ministère des Communications du gouvernement du Québec (relations de travail) et la Fondation du Japon (religion populaire, industrie). Je les remercie de leur aide. Je remercie aussi la Fédération des sciences sociales du Canada pour la subvention qu'elle m'a octroyée pour la publication de ce livre.
Je remercie enfin les membres du personnel des Presses de l'Université de Montréal qui m'ont beaucoup aidé pour l'édition de ce livre.
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