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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

Une histoire critique de la sociologie allemande. Aliénation et réification.
Tome II. Horkheimer, Adorno, Marcuse, Habermas.
(1998)
Table des matières


Une édition électronique réalisée à partir du livre de Frédéric Vandenberghe, Une histoire critique de la sociologie allemande. Aliénation et réification. Tome II. Horkheimer, Adorno, Marcuse, Habermas. Paris: Les Éditions La Découverte, 1998, 384 pp. Collection: “Recherches” — Série Bibliographie du M.A.U.S.S. [Livre diffusé en libre accès à tous dans Les Classiques des sciences sociales avec l'autorisation de M. Vandenberghe le 30 juin 2019.]

[377]

Une histoire critique de la sociologie allemande.
Aliénation et réification.

Tome II : Horkheimer, Adorno, Marcuse, Habermas

Table des matières

DEUXIÈME PARTIE
LA THÉORIE CRITIQUE DE L'ÉCOLE DE FRANCFORT
[5]

Deuxième considération intermédiaire [7]

1. Max Horkheimer :
de l'organicité pseudo-naturelle de la société à la réification totale
[15]

1. Introduction : de la science à la religion [16]

2. Le matérialisme interdisciplinaire (1930-1936) [18]

2.1. L'organicité pseudo-naturelle du système social [18]
2.2. Le positivisme dialectique [19]
2.3. La composante pessimiste du matérialisme [20]
2.4. Le matérialisme interdisciplinaire [21]
2.4.1. Dialectique de la recherche et de la présentation [22]
2.4.2. La mise en œuvre du programme de recherche interdisciplinaire  [23]
a) Psychanalyse de la domination [24]
b) Culture de la répression [25]

3. La théorie critique (1937-1941) [26]

3.1. Le manifeste de la théorie critique [26]
3.1.1. Théorie traditionnelle  [27]
3.1.2. Théorie critique  [28]
3.1.3. L'imagination dialectique  [29]
3.2. Le tournant pessimiste [30]
3.2.1. Fascisme et communisme [30]
3.2.2. Le capitalisme d'État  [31]
3.2.3. Parodie du communisme [32]
3.2.4. Vers une philosophie négative de l'histoire [34]

4. Critique de la raison formelle-instrumentale (1941-1950) [35]

4.1. Échec de la raison [35]
4.2. Éclipse de la raison [37]
4.2.1. La raison désenchantée  [37]
4.2.2. Perte de sens  [38]
4.2.3. Perte de liberté  [39]
4.3. Dialectique de la raison [41]
4.3.1. La raison du mythe  [42]
4.3.2. Le mythe de la raison  [43]
4.3.3. Réification totale  [46]

5. Le pessimisme métaphysique (1950-1973)  [47]

5.1. Critique conservatrice de la société [47]
5.2. La société administrée [48]
5.3. Nostalgie du Tout Autre [49]

6. Conclusion  [51]

2. Theodor W. Adorno :
Anti-système et réification
[55]

1. En guise d'introduction : le style adornien [55]

1.1. Surinterprétations de la modernité [57]
1.2. Effets de style [59]
1.3. Contraintes de l'identité [61]

2. La méthode, ou l'amalgame compliqué de Benjamin et de Lukács [62]

2.1. L'actualité de la philosophie [62]
2.2. Kierkegaard [65]
2.3. L'idée de l'histoire naturelle [65]
2.4. La méthode chiasmatique [67]

3. La philosophie du non-identique, ou la logique des apories [68]

3.1. Critique du système philosophique [68]
3.1.1. Logique des apories  [68]
3.1.2. Dialectique négative  [69]
3.1.3. Métacritique nietzschéenne de la connaissance [70]
3.1.4. Primauté de l'objet et réification  [71]
3.2. Critique du concept [73]
3.2.1. Le fétichisme conceptuel  [73]
3.2.2. La paix ou l'au-delà du concept  [74]
3.2.3. Identité rationnelle du concept et de la chose  [75]

4. La sociologie, ou l'aperception réifiante du réifié [77]

4.1. Théorie de la réification : Adorno = Lukács + Nietzsche [77]
4.2. Totalisation de la réification ou réification totale ? [79]
4.3. L'abstraction réelle de l'échange [79]
4.4. Le tout est le non-vrai [81]
4.5. Rétroaction delà réification [82]
4.6. La « fin de l'individu » ou la ruse de l'humanisme [83]
4.7. La querelle du positivisme [86]
4.8. Sociologie de l'antisémitisme et de l'astrologie [88]

5. La critique de la culture, ou le monde comme contexte d'aveuglement [90]

5.1. La fin de l'idéologie [91]
5.2. Critique de la culture de masse [93]
5.2.1. L'industrie culturelle  [93]
5.2.2. Les marchandises musicales  [95]

6. L'esthétique, ou la réification positive  [98]

6.1. Désesthétisation et engagement [98]
6.2. Le fétichisme artistique [99]
6.3. Mimésis de la réification [101]

7. Conclusion [102]

3. Herbert Marcuse :
de l'ontologie à la technologie
 Considérations intemporelles sur le réel et le possible
[107]

1. Introduction : de la science à l'utopie [108]

1.1. Le pari sur la révolution [110]
1.2. Le réel et le possible [111]

2. De l'ontologie : recherche des fondations du possible  [112]

2.1. Réification, ontologie heideggerienne et historicité [112]
2.1.1. Phénoménologie dialectique [113]
2.1.1. L'ontologie de Hegel  [114]
2.1.3. De l'historicité à l'histoire [117]
2.2. L'anthropologie normative de Marx et le concept ontologique du travail  [118]
2.2.1. Essence, existence et auto-aliénation [118]
2.2.1. L'action du travail 120]
2.3. Le fascisme, le libéralisme et le rationalisme critique [123]
2.3.1. Analyse du totalitarisme  [124]
2.3.2. La réaction philosophique  [125]
2.3.3. Raison et révolution [127]
2.4. La métapsychologie freudienne comme fondement biologique du socialisme [129]
2.4.1. Eros et civilisation [130]
a) Dialectique de la civilisation [130]
b) La surrépression [132]
c) L'utopie postindustrielle [133]
2.4.2. Vers la libération [134]
2.4.3. Contre-révolution et révolte [136]
2.5. L'esthétique marcusienne, ou l'art de la libération [138]

3. De la technologie : analyse macrosociologique du réel [141]

3.1. La société unidimensionnelle : la conception surintégrée de la société [142]
3.1.1. Obsolescence du marxisme  [142]
3.1.2. Géopolitique de la réification [143]
3.2. L'homme unidimensionnel : la conception sursocialisée de l'homme [145]
3.3. La rationalité technologique comme rationalité politique [148]
3.4 Critique de la technologie politique [151]

4. Conclusion [158]

TROISIÈME PARTIE
LA THÉORIE CRITIQUE DE JURGEN HABERMAS
[161]

Troisième considération intermédiaire [163]

En guise d'introduction [171]

1. Habermas, un classique vivant des sciences humaines [171]

2. Les faiblesses de l'ancienne théorie critique [172]

3. Plan de l'exposé [176]

1. Vers une synthèse de la philosophie
du sujet et de la communication
[179]

1. Technique, travail et paupérisme : de Heidegger à Marx. Les écrits de jeunesse (1952-1957) [179]

1.1. Dialectique delà rationalisation [180]
1.2. De la technophobie à la technocratie [182]

2. Philosophie empirique de l'histoire ayant une intention pratique. Philosophie du sujet, versant philosophie de la praxis (1957-1962) [184]

2.1. Le marxisme comme science pratique de la révolution [184]
2.2. Le sujet de l'histoire [185]

3. Transformation structurelle de l'espace public et démocratie. Philosophie de la communication (1957-1962) [187]

3.1. Le tribunal de la raison [187]
3.2. Déclin de l'espace public [189]
3.3. Une analyse schmittienne ? [190]

4. Dualisme du travail et de l'interaction - Première synthèse (1962-1968) [193]

4.1. L'intention pratique [193]
4.2. Travail et interaction [194]
4.3. Scientificisation delà politique [196]
4.3.1. Les sciences politiques modernes [197]
4.3.2. Positivisme, décisionnisme et technocratisme [198]
4.3.3. La concertation pragmatique [199]
4.4. Scientificisation du monde vécu [200]
4.4.1. Système et monde vécu [200]
4.4.2. Phases de la réification du monde vécu [201]
4.4.3. Deux formes de rationnalisation [204]

5. Connaissance et intérêt - Philosophie du sujet, versant philosophie de la réflexion (1968-1972) [206]

5.1. du technocratisme au positivisme [206]
5.2. Anthropologie de la connaissance [208]
5.3. Les intérêts de connaissance [209]
5.3.1. Les sciences empirico-analytiques [210]
5.3.2. Les sciences historico-herméneutiques [210]
5.3.3. Les sciences praxéologico-critiques [211]
5.4. Psycho et socio-analyse [213]
5.5. L'impasse de la philosophie de la réflexion [216]

2. Le tournant procédural-linguistique
vers l'action (1972-1981)
[219]

1. Passage de la réflexion à la reconstruction [220]

1.1. Le programme des sciences reconstructives [220]
1.2. Le telos du langage [222]
1.3. La pragmatique universelle [224]

2. Passage de la théorie de la constitution à la théorie du consensus [227]

2.1. Théorie consensuelle de la vérité [227]
2.2. Discussion et consensus [228]
2.3. La situation idéale de parole [230]

3. Passage de la critique immanente à la critique transcendante [232]

3.1. Le pouvoir transcendant de la raison [233]
3.2. L'éthique de la discussion [235]
3.3. Reprise communicationnelle de l'impératif catégorique [237]

4. Passage de la philosophie de l'histoire à la théorie de l'évolution [239]

4.1. Reconstruction du matérialisme historique [239]
4.1.1. Du sujet au système [239]
4.1.2. Le matérialisme historique rénové  [240]
4.1.3. Logiques développementales [241]
4.2. Onto- et phylogenèse de la conscience  [242]
4.3. Crise de légitimation dans le capitalisme avancé [245]

3. Théorie de l'agir communicationnel [249]

1. Action et raison communicationnelles [251]

1.1. De la pragmatique à la praxéologie [251]
1.2. L'agir communicationnel [252]

2. Monde vécu et rationalisation communicationnelle [255]

2.1. Mondes vécus [255]
2.2. Reproduction du monde vécu [258]
2.3. Rationalisation du monde vécu [260]

3. La disjonction entre système et monde vécu [264]

3.1. Perspective analytico-méthodologique [265]
3.2. Perspective historico-théorique [269]
3.3. L'agir médiatisé [272]

4. La réification comme colonisation du monde vécu par le système [274]

4.1. Petit point récapitulatif [274]
4.2. La colonisation du monde vécu [276]
4.3. Critique de la thèse de la colonisation du monde vécu [277]
4.4. De la réification conventionnelle à la réification postconventionnelle [281]
4.5. La réification par déplacement des crises systémiques [283]

5. Le fait et le droit, ou l'État de la discussion [285]

5.1. Théorie discursive du droit [285]
5.2. Pouvoir communicationnel et pouvoir administratif [287]
5.3. La démocratie radicale [290]

CONCLUSION
Vers un structurisme critique
[297]

1. Prémisses métacritiques d'une théorie critique de la réification [298]

1.1. Regard rétrospectif [298]
1.2. Antinomie de l'action et de la structure [300]
1.3. Regard prospectif [302]

2. Révision de l'espace métathéorique des possibles [303]

2.1. Nominalisme et réalisme [303]
2.2. La nouvelle combinatoire [305]
2.3. Le substantialisme révisé [307]

3. Du réalisme transcendantal au naturalisme critique [308]

3.1. Critique du positivisme dans les sciences naturelles [310]
3.1.1. Le modèle nomologico-déductif  [311]
3.1.2. « Exhumation » des sciences naturelles [312]
3.1.3. Le réalisme transcendantal [314]
3.2. Critique du positivisme dans les sciences humaines [316]
3.2.1. L'homme-chose [316]
3.2.2. Une vision anthropomorphique de l'homme [318]
3.2.3. La possibilité du naturalisme [320]

4. Le structurisme [322]

4.1. Le constructivisme phénoménologique (Peter Berger) [323]
4.2. Le modèle transformationnel de l'action (Roy Bhaskar) [325]
4.3. La théorie de la structuration (Anthony Giddens) [327]

5. Vers un structurisme critique [332]

5.1. Dualisme de l'action et de la structure [332]
5.2. Rêification et émergence [333]
5.3. L'approche morphogénétique du social (Margaret Archer) [336]

Postface [341]

Bibliographie [347]

Table des matières [377]

[278]
[279]
[280]
[281]
[282]
[283]



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le mercredi 3 mars 2021 9:53
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur associé, Université du Québec à Chicoutimi.
 



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