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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

Du projet d’études au projet de vie.
Une analyse des parcours universitaires chez les étudiants des Premières Nations du Québec
. (2019)
Remerciements


Une édition électronique réalisée à partir du texte de Jean-Luc Ratel, Du projet d’études au projet de vie : Une analyse des parcours universitaires chez les étudiants des Premières Nations du Québec. Thèse de doctorat en administration et politiques de l'éducation. Québec: Université Laval, 2019, 340 pp. [Autorisation formelle accordée par l'auteur le 10 octobre 2020 de diffuser en libre accès à tous cette thèse de doctorat dans Les Classiques des sciences sociales.]

[xiii]

Remerciements

Je tiens en premier lieu à remercier ma directrice de recherche, Annie Pilote, pour son soutien indéfectible tout au long de mon parcours doctoral. Elle a su m'encourager à persévérer dans les moments difficiles et à toujours garder en tête cet objectif ultime du dépôt de la thèse. Elle a aussi beaucoup contribué à ma formation de chercheur et d'enseignant en m'intégrant dans ses projets de recherche et en m'encourageant dans mes premières expériences comme chargé de cours. C'est aussi grâce à elle que je me suis toujours accroché à mon projet de recherche et que j'ai cru en mes capacités de le mener à terme. Je la remercie donc pour sa patience, sa rigueur, ses commentaires pertinents et ses encouragements répétés.

Ce projet de thèse me semblait une nécessité, non seulement pour satisfaire ma propre curiosité intellectuelle, mais aussi dans un esprit de démocratisation de l'enseignement supérieur. J'ai donc voulu illustrer les avancées réalisées depuis les dernières décennies à ce sujet chez les étudiants autochtones du Québec, mais aussi les défis soulevés par leur fréquentation scolaire en termes de prise en compte de la diversité ethnoculturelle et de la diversité sociale auprès des universités et des autorités politiques. Je tiens particulièrement à remercier chacun des étudiants et diplômés qui ont accepté de participer à ce projet de recherche en m'accordant leur temps et surtout leur confiance. Je leur suis infiniment reconnaissant de m'avoir accueilli et d'avoir partagé leurs expériences pour m'aider à mieux comprendre le sens qu'ils accordent à leurs études. Bien que je ne puisse vous nommer, soyez assurés que vous êtes tous et toutes bien présents dans mon cœur et je vous souhaite le meilleur à venir dans vos projets. Je tiens aussi à remercier les professionnels impliqués dans le milieu de l'éducation autochtone interviewés de m'avoir apporté des éclairages supplémentaires par rapport aux parcours des étudiants et aux enjeux administratifs et politiques qui leur sont inhérents. Même si je ne peux non plus vous nommer, vous n'en êtes pas moins bien présents dans mes pensées et je vous remercie de votre confiance.

[xiv]

Un parcours doctoral est aussi l'occasion de rencontrer des personnes marquantes dans notre développement intellectuel et personnel. Tant de gens m'ont aidé à leur façon à me rendre jusqu'au bout, dans ce qui m'a parfois semblé cette quête vers l'inaccessible étoile dont parlait Jacques Brel. De ce nombre, je tiens à remercier Thierry Rodon de m'avoir offert l'occasion de découvrir de nouveaux horizons dans le sillage de mes intérêts de recherche, de m'avoir soutenu comme chercheur, comme étudiant et d'avoir cru en moi alors que j'en avais grandement besoin. Je tiens aussi à remercier mes collègues de la Chaire de recherche sur le développement durable du Nord et du Centre interuniversitaire d'études et de recherches autochtones (CIÉRA) de m'avoir soutenu dans les périodes de doute, de m'avoir aidé à surmonter les difficultés que la vie nous réserve parfois au moment où l'on s'y attend le moins et d'avoir partagé tant de repas sur l'heure du midi. Un merci particulier à Aude Therrien et Benoit Éthier pour leur amitié.

Un grand merci également aux collègues et amis étudiants Karine Vieux-Fort, Jo Anni Joncas, Sofia Arsenii, Amélie Groleau, Paul-Antoine Cardin, Corentin Faucher et Luba Markovskaia pour les discussions sur nos thèses respectives et les joies du métier d'étudiant. Je ne saurais passer sous silence l'appui de professeurs qui m'ont encouragé à persévérer et avec qui j'ai eu droit à de riches discussions qui ont alimenté mes réflexions. Merci à Jacques Kurtness, Renée Cloutier, Canisius Kamanzi, France Picard, Jean Bernatchez et Maryse Potvin pour les sages conseils et les échanges autour de la sociologie, de l'enseignement supérieur et de l'éducation interculturelle. Merci aussi à tous ces collègues rencontrés durant les séminaires, colloques et congrès, avec qui j'ai pu partager mes travaux en progression afin de sans cesse les améliorer et merci aux étudiants de mes cours et séminaires de m'avoir aidé à devenir, osé-je l'espérer, un meilleur pédagogue. Un merci spécial à Julie Delisle pour les discussions, parfois sérieuses, parfois moins, et pour son aide dans les moments difficiles.

Produire une thèse, c'est aussi l'occasion de constater tout l'amour que nos proches nous apportent et qui nous aide non seulement à persévérer dans nos études, mais aussi à ne pas perdre de vue que nous sommes des êtres interreliés. Les contacts avec ma famille m'ont ainsi aidé à garder les pieds sur terre et à ne pas oublier d'où je viens. Merci surtout [xv] à mes parents, Yves Ratel et Danielle Lecompte ; mes frères, Yannick et Stéphane ; ma grand-mère, Fleurette Tourangeau ; ma tante, Carole-Lyne Ratel ; mes beaux-parents, Maryse Rhéaume et Yves Pageau ; mes belles-sœurs, Nathalie Lachance et Josée Hamel ; mon neveu, Arthur Ratel. Je vous remercie d'avoir toujours cru en moi et de votre aide sous toutes ses formes à tant de moments cruciaux durant mon parcours. Un merci spécial à Mélopée, fidèle compagne féline, pour ta présence discrète sur le coin de mon bureau quand je travaillais tard.

Enfin, un merci tout spécial à mon âme-sœur, Laurie Pageau, la femme de ma vie qui m'a redonné confiance en moi et en l'humanité, qui m'a donné le goût de me dépasser et m'a sans cesse appuyé pour y arriver. C'est beaucoup grâce à toi, Laurie, que tu peux aujourd'hui lire cette thèse et les présents remerciements, qui jamais ne pourront suffisamment témoigner de toute l'affection que j'ai pour toi et de tout le bonheur que tu me procures. Nous avons partagé tant de moments en tant qu'étudiants, l'une allant au congrès de l'un, l'un allant au congrès de l'une, et tous les deux se réunissant dans une passion commune pour l'éducation et la science. Ton écoute, ta générosité, ta patience, ton empathie, ton humour et, bien sûr, ton amour, m'auront permis de compléter mon doctorat tout en me sentant chaque jour l'homme le plus chanceux au monde de t'avoir rencontrée. Il faudra désormais s'habituer à nous voir moins souvent à la Tour des sciences de l'éducation, mais tu seras toujours la femme de ma vie et j'espère toujours mériter d'être l'homme de la tienne. Je te promets aussi de continuer de te soutenir durant ton propre parcours doctoral autant que tu as pu me soutenir durant le mien. Que notre amour se poursuive à jamais et qu'il continue de nous rendre plus forts.



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le dimanche 1 novembre 2020 10:23
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur associé, Université du Québec à Chicoutimi.
 



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