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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

Julien Lamy, Le pluralisme cohérent de la philosophie de Gaston Bachelard (2014)
Remerciements


Une édition électronique réalisée à partir du texte de Julien Lamy, Le pluralisme cohérent de la philosophie de Gaston Bachelard. Thèse de doctorat en philosophie présentée et soutenue publiquement à Lyon le 14 octobre 2014 sous la direction de Monsieur le Professeur Jean-Jacques WUNENBURGER, Université Lyon III Jean Moulin, 592 pp. [L’auteur nous a accordé son autorisation pour la diffusion en libre accès à tous et en texte intégral de sa thèse de doctorat dans Les Classiques des sciences sociales le 9 juillet 2024.]

[3]

Remerciements

Une thèse ne saurait naître, prendre forme et croître sans un tuteur vigilant et robuste, sans un guide permettant de s’orienter dans la pensée, et de retrouver sa voie sur tous ces chemins qui parfois ne mènent nulle part. Je tiens par conséquent, au seuil de cette thèse, à remercier Jean-Jacques Wunenburger, qui aura été un maître bachelardien idéal pour la direction et la réalisation de ce travail, en ayant su conjuguer l’exigence de rigueur et l’écoute bienveillante, stimuler le goût du travail de recherche et le sens de l’autonomie intellectuelle, mais aussi en m’ayant permis, par ses sollicitations, ses remarques, ses doutes et ses conseils, de déployer au mieux mes capacités, et d’avancer progressivement vers l’élaboration et la clarification de ma propre pensée. Ma reconnaissance envers lui va bien au-delà de la rédaction de cette thèse, sachant que les véritables éducateurs, comme le disait très justement Nietzsche, sont ceux qui nous apprennent à nous passer de maîtres, et à devenir notre propre maître.

Un travail de recherche aurait peu de valeur sans les critiques d’examinateurs avertis et la vigilance intellectuelle de lecteurs attentifs. Je remercie très sincèrement Robert Damien, Michel Fabre, Jean Gayon, Jean-Philippe Pierron et Frédéric Worms pour l’honneur qu’ils me font en participant à l’évaluation et à la discussion publiques du présent travail. Je leur suis reconnaissant de consacrer leur temps et leurs efforts à l’examen de cette thèse sur Bachelard. Si la recherche en philosophie implique nécessairement une large part de travail silencieux et solitaire, au contact de livres souvent difficiles, et de pages blanches trop souvent résistantes, le dialogue et les échanges favorisent les clarifications et les approfondissements nécessaires, car ils impliquent de s’expliquer avec les autres, et donc aussi avec soi-même. Comme le disait Bachelard, on ne sait bien que ce qu’on est capable de communiquer clairement aux autres, et la vérité est fille de la discussion, non de la complaisance. Que les membres du jury soient donc ici remerciés de me permettre, par leurs remarques et par leurs questions, d’aller plus loin dans ma compréhension de l’œuvre de Bachelard. 

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Je remercie chaleureusement les bachelardiens de France et dans le monde, avec qui j’ai eu souvent l’occasion et le plaisir de partager mes expériences et mes remarques de lecteur assidu de Bachelard. Je pense ici particulièrement à Jean Libis, dont la résistance à mes thèses, ferme mais toujours amicale, m’aura conduit à préciser mes arguments. Je pense avec amitié à Gilles Hieronimus, pour nos discussions prolifiques autour de nos travaux respectifs, et nos projets bachelardiens communs. Savoir qu’il soutiendra très bientôt sa thèse sur Bachelard me réjouit. Je ne peux oublier par ailleurs Valeria Chiore, Maryvonne Perrot, Francesca Bonicalzi, Paolo Mottana, Renato Boccali, Vincent Bontems, Ionel Buse, Fabio Ferreira, Annie Eeckman, Faezeh Mohebi, Aurosa Alison, Hyun-Sun Dang, Riccardo Barontini et tous les membres de l’Association Internationale Gaston Bachelard, pour leur soutien amical, et les nombreux échanges que nous avons entretenus.

J’ai une pensée spéciale pour mes amis et collègues, doctorants ou enseignants, qui ont été des compagnons de route précieux pendant ces années : David Duarte, Dorel Bucur, Aurélien Demars, Paul Marinescu, Filip Sasca, Ana Vera, Edouard Dal-Col, Samuel Lépine, Valéry Pratt, Stéphane Dunand, Geoffroy Marzin et Valentina Tirloni. Comment ne pas évoquer Michel Bottaro, mon premier maître, homme de cœur et de raison, qui aura su me faire découvrir les « deux visages » de Bachelard pendant mon année de terminale, et surtout éveiller en moi une étincelle de l’esprit qui ne saurait s’éteindre. Je lui suis reconnaissant de m’avoir inspiré, le premier, la passion de réfléchir et de s’interroger.

Je pense également aux élèves et aux étudiants, que je remercie pour leur endurance. Sans le savoir, malgré eux, ils m’ont permis de mettre à l’épreuve les principes d’une pédagogie d’inspiration résolument bachelardienne, fondée sur l’exercice et le dialogue.

Ce travail n’aurait jamais vu le jour sans un soutien continu. Je remercie avant tout ma mère, Laura, pour sa générosité et sa bienveillance, ainsi que Valérie et Isabelle, mes sœurs. J’ai une pensée singulière pour Sylvain, l’ami indéfectible, qui a toujours suivi mon itinéraire intellectuel, et accompagné mon cheminement existentiel. Un grand merci encore à Fanny et à Tristan, pour leur disponibilité amicale, et leurs talents linguistiques.

La vie de l’esprit serait fragile sans les liens du cœur, et un « supplément d’âme ». Mes pensées les plus chères et les plus tendres vont à Béatrice et Gabriel.



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le vendredi 12 juillet 2024 11:21
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur associé, Université du Québec à Chicoutimi.
 



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