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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

Jean Zacklad, Pour une Éthique. Livre III. L'Alliance. (1985)
Introduction


Une édition électronique réalisée à partir du livre de Jean Zacklad, Pour une Éthique. Livre III. L'Alliance. Paris: Textes et travaux, 1985, 83 pp. Collection: Les Dix Paroles. Une édition numérique réalisée par Réjeanne Toussaint, bénévole, Chomedey, Ville Laval, Québec. [Autorisation formelle accordée par le fils de l’auteur, Manuel Zacklad, professeur titulaire de la Chaire Expressions et cultures au Travail du CNAM, le 2 décembre 2010, de diffuser toutes les publications de son père dans Les Classiques des sciences sociales.]


[23]

POUR UNE ÉTHIQUE.

Livre III. L’Alliance. (1985)

Introduction

Si l'Alliance m'était comptée...


Je lis, premièrement, qu'un Dieu créa l'univers en une semaine, deuxièmement, que, transgressant le dessein de ce Dieu, des générations issues d'un couple originaire s'acheminent vers le déluge. Entre l'un et l'autre « récit », l'expulsion hors du jardin d'Eden. Un Dieu, des gens, un univers ; de quoi constituer un mythe, une théologie ou une littérature ; de quoi ensuite s'orienter vers une connaissance plus ou moins scientifique de l'acte littéraire et des comportements religieux.

Des événements et des constellations d'objets d'un côté ; une exigence de déductibilité de l'autre ; ai-je de quoi progresser vers une connaissance rigoureuse des faits ? Certainement pas car elle requérerait une batterie de catégories apte à faire le joint entre les deux. Or, autant il est fécond d'abandonner les catégories du langage ordinaire pour produire celles des savoirs particuliers, autant il est étonnant de les maintenir pour redoubler les énonciations spontanées par d'autres qui en exhumeraient les raisons. Des choses, j'en parle avec un langage que les choses, d'une certaine manière m'ont appris. Parlerai-je savamment des gens avec le langage dont les gens se servent, ou bien avec celui que les choses m'enseignent (des mathèmes dans l'anthropos) ? Les constellations des choses et des signes s'énoncent rigoureusement et certes « les gens » y sont impliqués. Mais qu'en est-il des constellations des gens pour autant qu'ils n'y sont pas compris, que, selon un énigmatique dessein, ils se servent des mots et des signes, répugnent à se servir des gens de la même manière ? Il faut choisir. Ou bien un discours nostalgique de rigueur se meut dans les catégories qui ont cours : perspicacité, pertinence voire sagesse incapables de rendre compte d'elles-mêmes ; ou bien si l'on vise une déductibilité au sujet des gens, force est de se mettre en quête de catégories adaptées aux « problèmes des gens », inspirées par la manière dont ces gens ont « résolu leurs problèmes ». Ce qui prend deux significations. Ou bien les gens traitent des « tensions » qui les inquiètent de façon à les « équilibrer ». Ou bien ils s'orientent en elles, les réinterprètent de façon à ce qu'ils s'approchent [24] du stade de leur réalisation. Écartons un temps la question : qui est l'auteur du livre de la Genèse ?, on affirmera que son écriture indique : « que signifie notre "réalisation" comment la vivons-nous ? - À de telles questions nous avons trouvé quelque réponse ».

En six jours « le ciel et la terre » sont élaborés, en dix générations la progression vers le déluge se poursuit. Plaquons les catégories communes sur ces « récits », on se livre à une herméneutique ; un vœu de connaissance se plaque sur le message qui, lui aussi, émet le vœu de se communiquer. On préférera enquêter sur les catégories non apparentes du texte qui, non seulement en fournissent la clé mais indiquent quel genre d'enchaînement « ontologique » (?) s'énonce préalablement aux récits mythiques, littéraires ou historiques. Un Dieu, des gens, un univers : on ne croira pas que le texte éclaire ces trois concepts par la manière dont il établit des rapports entre eux, car ces concepts-ci évoluent dans le cadre des catégories coutumières. Oublions-les provisoirement en vue d'élaborer des concepts différents grâce auxquels, ensuite, les termes Dieu, les gens, l'univers prendront un sens plus juste. Que se cache-t-il derrière les théologie, anthropologie, cosmologie ? - répondons candidement l'être. L'être est et l'être se dit ; et nous formulons ainsi le malheur nul ajustement ne se constate entre l'être qui est et l'être qui est dit. Formulons ainsi le bonheur : à condition que l'être qui est se confirme hors de la barbarie, que l'être qui est dit soit réformé, le langage qui porte sur celui qui parle, et celui-ci, ont des chances de se rejoindre  -  ce dont le texte anté-historique et ante-mythique a dessein de nous informer. Le ciel et la terre élaborés en une semaine ? Une version du réel. Dix générations pré-diluviennes ? Une autre version ; et, à condition de maintenir fermement le dessein de conceptualiser tout autrement le langage courant, on s'autorisera à chercher, sous les allures de récit, les versions d'un énoncé sur « qui parle » : sujet humain ? sujet divin ? On en décidera postérieurement. L'urgence est d'attribuer au terme « sujet »un sens rigoureusement hétérogène à ceux qui ont cours.

Tels assemblages vont à faire tels gens et ces gens s'assemblent. Synonymement : les gens s'assemblent et chacun se constitue comme assemblage spécifique. Que n'a-t-on raconté sur ces gens ! dans tla censure maintenue sur la question : qu'est-ce précisément un assemblage au sujet des gens (une structure, une spiritualité, un système, un projet, etc.), quels éléments inclut-il (de la matière, de la non-matière...) ? On propose comme réponse : d'emblée, cela ne peut se dire et se penser. [25] Le pourrait-on que, depuis beau temps, les sciences humaines auraient été sciences déductives. Cela pourrait se dire par l'entre-jeu de multiples versions. Éclectisme ? C'est effectivement la situation qui prévaut. Quelles seraient les versions qui, ni contradictoires, ni juxtaposées, se renforceraient, s'éclaireraient mutuellement ? Le détour par le formalisme ici exigé n'est pas la répétition de ce qui a été primitivement avancé naïvement. Rien ne fut avancé quant à la conjonction des multiples versions de Soi ; et l'on n'interrogera ni le mythe, ni l'histoire, ni ce qui les rend possible... Le ciel et la terre sont assemblés, les générations se nouent. Oublions le ciel et la terre, oublions les générations. Si assemblages et nœuds comme tels apparaissent, ce sera que les catégories de l'anté - de l'arché - sont pensables par nous, non point « les catégories universelles de l'esprit humain » mais ce que les catégories « normales », universellement masquent. Dieu fait le monde en six jours. Dieu, monde et jours prendront un sens différent si un sens original à « faire » se découvre ou s'invente. Ceux-ci engendrent ceux-là. Que signifierait une « genèse » proprement dite ?

Une suite d'opérations ici, une genèse là - quoi de plus trivial ? Le serait moins l'articulation entre les constellations de l'énoncé et celles qui sont dans l'existence. Une genèse de la liberté dans les cadres de nos opérations, cela se réalise, cela se dit et l'on souhaite le réglage qui dynamiserait la circulation entre science et philosophie alors que souvent elles s'entravent.

Prestige des textes et traditions antiques et vénérables - que l'on voit utilisés doublement. Sciences, philosophie, politique - tels y ont perdu pied ou éprouvé déception et lassitude. Les anciens grimoires jouent le rôle salvateur pour des aventures en perdition. Morgue de qui s'est cuirassé dans son intégrisme, contempteur des dégénérescences contemporaines. En face, ceux qui s'enchantent de leurs spéculations, se réclament d'un auguste parrainage afin d'en masquer la gratuité. De toute façon, l'antique joue contre le moderne : un antique qui possède les questions et réponses face à un moderne sommé de répudier ses fausses réponses, de réapprendre le questionnement ou un moderne sans racine et sans visée qui parle à la place d'un antique providentiellement muet. Faute de voir que l'antique et le moderne sont dans le même débat et qu'un cheminement « normal » manque entre questions et réponses. « Le monde est organisé en six jours ». Tout est annoncé : la question et la réponse, comment et pourquoi l'Acte est un en sa multiplicité. Puis les millénaires égrènent les Actes, variations sur le comment et le pourquoi – [26] et ces variations, par leur complexité, occultent l'identité du comment et du pourquoi. Le « sujet actant » est problème et réponse de par notre sortie hors de la préhistoire et s'il est besoin de recourir à l'antique, c'est pour que l'existence modulée du sujet actant, qui eut lieu, qui a lieu, soit rapportée au néant originel dont elle est l'effectuation : désignation pointue de « l'instant » où quelque néant est transmué en existence.

Notre propos est normatif. Quelle est la forme du bon assemblage qui apporte réussite à l'individuation, à la socialisation... ? Quelle est la forme du « bon ordre » ? Question insoluble a priori puisque préciser la forme d'un ensemble réel demande au préalable une connaissance de ce qui précisément est assemblé.

Des segments d'information, des paquets d'énergie ou de matière s'imbriquent, et l'esprit bénéficie aussitôt d'une affinité avec le phénomène : l'un et l'autre relèvent des catégories logico-mathématiques. Plus on connaît, plus les choses et les gens se montrent par et dans l'anonymat, plus les noms propres cèdent le pas aux « descriptions bien définies ». Le fait est que nous refusons de nous aborder et de nous penser à la mode de ces segments et de ces paquets. Vœu pieux ? - Tant que cette volonté n'est pas parvenue à tel degré de réussite, tant que l'expérience volontariste ne témoigne pas que les crises de nos assemblages se surmontent - témoignage qui donne à penser  -  en des catégories différentes...

Le monde antique fournit un tel témoignage. La cité, le citoyen vertueux, le cosmos, trois illustrations d'une version de l'ordre, perfection qui inclut nature nécessitée et opérateurs hésitants. Cette version est-elle surmontée lorsque l'ordre des sujets - peut-être infini - se trouve opposé à celui des objets naturels justiciables des calculs ? A l'ordre d'un cosmos issu éventuellement d'un démiurge ou d'une Raison furent adjoints les représentations d'un Dieu créateur et rédempteur du monde. Paradoxe que la Genèse - formation en six jours, généalogies décennaires... - qui avait fonction de critiquer et de relayer l'ordre grec y soit annexée ! Pour la décoloniser, il conviendra de reposer la question. Quels éléments précisément sont ordonnés et ordonnent ? Les Actes seraient actes des « sujets actants » ? Je te salue praxis, pleine de grâces ! Décidons qu'en invoquant, pour l'affirmer ou le subvertir, le sujet, on a noyé le poisson, compensant l'incertitude quant aux actes par une suite de renversements subreptices entre le « sujet [27] connaissant » et celui qui est à connaître. Le « sujet » : le lieu où le fait, massif, incontournable et ce qu'on en dit ont pris la très ancienne et détestable habitude de s'éluder. Que, par exemple, l'Acte soit énoncé ; ensuite la question du centre de décision sera ouverte à nouveaux frais.

« N'aurais-je établi mon alliance avec le jour et la nuit, n'aurais-je posé les Principes du ciel et de la terre »... (Jérémie 33,25). Quels sont les « sujets » impliqués dans l'alliance ? La question sera posée ultérieurement. Celle qui se présente, soluble, est celle du lien. Je suis lié à toi. Plutôt que de feindre savoir qui est moi et toi, tentons préalablement d'expliciter notre lien. La perfection de la cité, du citoyen ou du cosmos une fois mise à l'écart, c'est celle du lien qui nous concerne. L'arché-témoignage la qualifie : « Alliance ». Reconstruire une notion de « bon ordre », ce sera expliquer comment l'Alliance, perfection du lien, investit le social et l'individu. Ordre normatif : non qu'on se préoccupe de tordre et retordre les liens existants pour les modeler sur le lien canonique mais de vivifier la circulation entre les liens effectifs et la déduction du Lien. Un Pontife - maître des ponts - est agent de circulation entre le sacré et le profane ; bien d'autres hérauts de l'expérience et du message bouleversants existent pour qui, n'étant pas encore élaboré en allié, se figure allégoriquement le joint du spectacle splendide et du spectateur avide de splendeur. Est-ce une néo-sagesse cette pratique qui familiarise avec la résidence auprès de l'Alliance par la réappropriation de la splendeur ? Plutôt que d'écarter dédaigneusement « l'étant », y détecter les germinations du Lien.

Retour de Babylonie avec Néhémie, les lévites invoquent Celui « qui vivifie universellement » (Néhémie 9,6). Les prophètes multipliaient les appellations « Dieu vivant » d'une part, d'autre part identifiaient ce qui nous vivifie (eau vive, paroles pertinentes... ). Retour de Babylonie, il n'y a plus d'Hébreux. Notre histoire commence ; et ce qui était vécu spontanément comme vie partagée déserte l'expérience. C'est réflexivement que nous distinguons, dans l'expérience, une vie qui se dérobe à l'expérience coutumière. Comme fondement à l'expérience hébraïque, un « arbre de vie » au centre du jardin d'Eden, énigmatique. Comme « âme » de l'hébraïsme, une participation faible mais directe avec cette vie. Dans l'histoire qui relaye l'hébraïsme, la prise de conscience réflexive que Celui-ci, désigné par le Tétragramme est le vivifiant : cette perception - historique, affective, sociale, spéculative - de la synonymie entre l'Être et le vivifier. L'Être n'est pas situable dans une gradation des êtres, dans une émanation, dans une dialectique, dans un fait ou une [28] différence. Il est consubstantiel au Vivre. L'étant, avec Néhémie n'a pas recouvert l'être de sa chape ; il le livre mais dans le brouillage des codes. Le Tétragramme ne sera plus annoncé dans la claire distinction du propre et de l'impropre.

Joint de la théorie et de la pratique : si le lévite décline l'universelle vivification, c'est pour nouer, dans l'histoire, l'alliance jadis ontologico-expérimentée. Je vais être lié à toi, dans l'histoire, id est le vivifiant sera, d'une certaine manière, là. Et cette certaine manière se fraye chemin entre le deuil et la débauche. Partout où là, cela se pare de prestige, secret ou tonitruant, cela se vit dans la crainte et tremblement ou dans l'ivresse, l'esprit de débauche y fait voir de l'être. Nulle part, ni dans les choses, ni dans les gens, ni dans les calculs l'être ne se dit (propositions dépourvues de sens) ni ne se présente : deuil. D'une certaine manière, si je suis lié à toi, par les signes de la chair ou par le corps des signifiants, nous sommes quelque peu là, l'un pour l'autre, en nos histoires et qualités. L'être est le vivifiant qui, venant là vivifie.

Instinct de vie, instinct de mort ? Ainsi dit-on si, suivant les indications biologiques, on attribue la vie aux individus et à l'espèce, si la vie se répartit entre la colonie et les individus qui la composent. Je suis lié à toi, et la vie est entre nous, ni directement en nous ou en toi et moi. Parce que nous sommes vivants, nous sommes liés, parce que nous sommes liés nous sommes vivants. Mettez en corrélation deux termes vivaces, leurs échanges seront vifs. C'est ce que l'expérience enseigne pour des échanges tendres et/ou agonistiques. Mais cette expérience ne montre pas la vie qui s'indiquerait si le terme A, possesseur de ses propres prémisses les voyait s'adjoindre leurs conséquences par l'échange avec les prémisses du terme B, si ce qui flotte entre les termes venait à s'attribuer à A, à B et à leurs relations. L'histoire érode. Que le développement nouveau, loin d'amoindrir l'acquis antérieur le fasse mieux découvrir, que celui-ci, loin de censurer ce qui diffère de lui en appelle à des intégrations à chaque fois différentes, l'histoire n'en rejoint pas l'éternité, elle la porte en elle-même. Il est bel et bon d'admettre l'Autre en sa différence, plus sérieux que les différences de l'un s'intègrent à la nouvelle identité de l'autre, que l'identité de l'un suscite les différences de l'autre : état de grâce que le lévite réanime.

L'Alliance n'assure pas de plain-pied une vie éternelle, comme si « l'âme » de l'un suivait son destin indépendamment de celle de l'autre, directement infusée par le vivifiant. Il indique que les deux faces [29] vivantes sont susceptibles de se conjoindre. L'une anime les débats douteux où vie et mort s'emmêlent, où l'on vit-selon-contre en une socialité affirmée/niée ; l'autre s'ancre dans l'issue pressentie des débats où vivre-contre et vivre-selon se modifient en de lentes déportations pacificatrices. Je suis lié à toi en des « jours courts », environnés de bruits et de fureurs et en des « jours longs » qui tiennent en réserve le lien en tant que tel pour qu'il se concrétise. L'alliance est le joint d'une analyse - telles et telles relations, modalités... qui vont à constituer un tout - et d'une synthèse - perspective d'un être-ensemble qui va à susciter des issues aux crises et débats. L'allié est suscité par l'alliance qui s'explicite au fur et à mesure que l'allié se constitue.

« Et tu opteras pour la vie » dans l'alliance, selon les « jours longs » (Deutéronome 30,19), ce qui indique l'accès à quelque néo-sagesse. Il est une proto-sagesse qui gère les coexistences imparfaites et les ouvre sur une progression vers le parfait. Il est d'autres sagesses qui concilient le soi particulier et l'intégration à tous, qui accordent le geste technique et le souci pour le technicien. La liberté sollicitée d'opter pour la vie est en-deça du sujet concilié et du sujet immaculé, des petites alliances historiques et de l'idéale alliance. Elle est devant cette constatation que ces deux formes ne sont pas habituellement miscibles, que plus le fondement ultime est évoqué, plus les conciliations nécessaires pour vivre sont menacées. La liberté est en situation et cette situation jure avec la liberté. « L'instinct de vie », plus qu'élan qui tend à persévérer en son être est pressentiment que son être à venir est probable parce que déjà quelque peu assuré. Le je en voie d'être, par là, est en train de se lier à toi ; et la dynamique du lien perfectionne la constitution des alliés ; et la dynamique du non-lien - « instinct de mort » - persévère en son non-être quand on y croit à la réalité de ces magmas, durcis ou en fusion, quand les expériences ineffables et les croyances artificieuses se dialectisent. L'alliance frôle l'absurde et repart dans la néo-sagesse. Avec Samson, le lien, paradoxalement se dénoue d'avec ce qui le contredit. Avec David, grâce au double-bind - immersion dans le monde violent et pur lyrisme - la contradiction (je m'affirme à l'encontre - notre lien m'entrave) commence à être déracinée.



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le vendredi 18 novembre 2011 16:52
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie retraité du Cégep de Chicoutimi.
 



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