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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

Raymond Robert Tremblay, VERS UNE ÉCOLOGIE HUMAINE. (1990)
Glossaire


Une édition électronique réalisée à partir de l'article de Raymond Robert Tremblay, VERS UNE ÉCOLOGIE HUMAINE. (1990). Montréal: McGraw-Hill Éditeur, 1990, 172 pp. Collection: Savoir plus. Une édition numérique réalisée conjointement par Jean-Marie Tremblay et Marcelle Bergeron, bénévoles. [Autorisation formelle accordée par l'auteur le 20 février 2008 de diffuser ce livre dans Les Classiques des sciences sociales.]

Glossaire

Dans le texte courant, ces occurrences apparaissent en caractères gras. [MB]

 

actes de discours. Parler, c'est agir. Lorsqu'on constate une chose, on décrit sa perception de cette chose ; lorsqu'on promet, on s'engage à quelque chose ; lorsqu'un juge condamne, il mène quelqu'un en prison. Ce sont des actes de discours. 

affects. Pulsions émotionnelles, énergie affective positive ou négative. 

agônique. Qui provoque la lutte, la controverse, les disputes. 

analogique. Se dit d'une connaissance qui procède par ressemblances et comparaisons. Si la connaissance analogique est riche d'intuition, elle manque souvent de rigueur. 

anomie. De a-nomos : absence de règles ou de lois précises. Cette expression désigne des situations sociales où l'apprentissage des règles de la vie sociale est perturbée. 

Antagonisme Opposition, conflit. 

anxiogènes. Facteurs anxiogènes, facteurs qui provoquent de l'anxiété et peuvent mener à l'angoisse. 

artefact. Phénomène ou objet d'origine artificielle, pure création humaine. 

associatif. Qui fait des liens, des rapprochements, des connexions entre les idées mémorisées. Se dit du cerveau 3, appelé aussi cerveau associatif. 

auto-institution. Processus historique spontané par lequel une société produit et développe plus ou moins librement ses propres bases culturelles. Toute société est un système auto-institué. 

autonomie. Capacité de déterminer ses propres règles de comportement et de pensée et d'y conformer son action. L'autonomie peut se manifester dans le domaine moral ou politique, dans la réflexion ou dans la pratique. Ex. : une personne autonome. 

auto-organisation. Faculté des systèmes complexes en vertu de laquelle ces systèmes sont, dans une certaine mesure, capables de se donner les moyens structuraux et fonctionnels de réaliser leurs fins dans un environnement en changement. L'auto-organisation suppose une certaine plasticité adaptative et implique souvent l'exercice de choix stratégiques. 

autoréférentielle. Qualité des systèmes complexes disposant d'un centre de pilotage, en vertu de laquelle l'information disponible parcourt un circuit rétroactif avant de parvenir à une décision. Pour les systèmes humains, qualité de juger par soi-même, indépendamment de toute référence externe. 

base axiologique. Une échelle de valeurs déterminée permettant à un individu ou à un groupe de prononcer des jugements de valeur (par exemple selon le bien et le mal) sur des actes, des personnes ou des situations particulières, et d'orienter l'action en fonction de ces valeurs. 

behaviorisme. Théorie défendue par B. F. Skinner selon laquelle il ne faut pas considérer les états mentaux pour expliquer la psychologie humaine car seuls les comportements importent. Il faut regarder l'humain comme une boîte noire et ne considérer que les intrants et les extrants, le processus de conditionnement. 

causalité. Existence d'un ensemble de rapports de cause à effet. Principe selon lequel tout effet a une ou plusieurs causes. 

cognitif. Qui a rapport à la connaissance. Sciences cognitives : disciplines qui s'intéressent aux processus psychiques et matériels qui interviennent dans le développement de nos connaissances. 

conformisme. Attitude de respect intégral des normes et des conventions sociales ; résistance au changement, méfiance envers la nouveauté. 

contingent Non nécessaire. Gratuit. Le caractère contingent des choses a souvent scandalisé les philosophes : notre existence même n'est-elle qu'une contingence ? 

culture. Système de significations socialement constituées formant un cadre d'existence historique. Une culture implique à la fois un certain mode de vie, une conception des choses déterminée et une forme particulière de gestion de l'espace. La culture se compose de multiples éléments, au nombre desquels on peut compter la langue, les traditions, les mœurs, les religions, les idéologies et la connaissance pratique. Une culture peut se subdiviser en différentes sous-cultures. 

décrypter. Déchiffrer un message dont on ne possède pas le code. Décoder.

déterminisme. Philosophie selon laquelle tout état de chose est entièrement déterminé (causé) par des circonstances antérieures nécessaires. Les déterministes excluent le hasard et la liberté. 

dialectique. Mouvement d'idées ou de choses enclenché par une opposition de force, une contradiction matérielle. Processus triadique où l'un et l'autre pôle trouvent leur vérité dans un troisième. Philosophie selon laquelle toutes les choses sont constamment en transformation. Selon la philosophie dialectique, la multiplicité et le mouvement priment sur l'unité et la stabilité. Méthode de discussion philosophique fondée sur la division des termes et l'opposition des contraires. 

diktat. Commandement, ordre incontournable. 

discours. Ensemble de propos manifestant une certaine cohérence. L'univers d'un discours est ce à quoi il prétend s'appliquer (son contexte). Par exemple, le discours de l'Église comprend ce qui est écrit dans la Bible, les déclarations du pape, les édits de la curie romaine, etc. L'analyse de discours s'intéresse à toute unité dé propos (écrit ou verbal) le moindrement élaboré, du simple paragraphe aux romans-fleuves. 

dominance. Tendance à dominer son environnement, à s'emparer des ressources, à imposer ses décisions, à y appliquer des contraintes. Toute vie manifeste un certain degré de dominance. À ne pas confondre avec domination : contrôle total et exclusif. 

écosystème. Système écologique particulier. Ensemble des échanges physiques, chimiques et biologiques qui se produisent dans un milieu donné ; par exemple, un lac est un écosystème. Normalement, un écosystème jouit d'une certaine stabilité, fondée sur l'équilibre entre ses divers éléments : eau, plantes, animaux, etc. 

empirisme. Théorie de la connaissance qui postule que toute connaissance vraie est acquise par généralisations successives à partir de nos perceptions sensibles des phénomènes. L'empirisme fait reposer la connaissance sur l'objet plutôt que sur le sujet, qui doit tenter de s'effacer devant les faits. 

énoncé probabiliste. Proposition formulée sous forme de probabilités. Par exemple : « Vous avez une chance sur cent millions de gagner le gros lot » est un énoncé probabiliste aussi bien que : « Ce sondage comporte une marge d'erreur de 4,5 % ». 

énoncé universel. Proposition qui s'applique à tous les cas qu'elle désigne. Exemple : « Tous les mammifères sont sexués ». 

environnement. Le milieu dans lequel un système est plongé et dont il dépend. 

épistémologique. De la théorie de la connaissance en général et de la connaissance scientifique en particulier. L'épistémologie s'intéresse aux méthodes, aux objets et aux formes de pensée propres à la science ; plus particulièrement elle cherche à déterminer la valeur de vérité des théories explicatives en science. 

équifinalité. Faculté des systèmes vivants en vertu de laquelle un même état final (but) peut être atteint dans de multiples conditions par divers moyens. L'équifinalité est à la base de l'adaptabilité et de l'autonomie du vivant. 

exaction. Comportement abusif d'un détenteur de pouvoir en vue d'un intérêt particulier. 

extrant. Output, ce qui sort d'un système : matière, énergie ou information. 

finalisation. Propriété des systèmes complexes qui consiste à être en mesure de se fixer des buts de manière autonome. 

fonction. Rôle caractéristique joué par une personne, une structure ou un organisme dans un système. Par exemple, les êtres vivants disposent d'une fonction adaptative, les humains d'une fonction réflexive. 

fonctionnalisme. Théorie principalement défendue en sciences sociales qui conçoit la société comme un organisme et réduit sa compréhension à l'analyse de ses fonctions. Le fonctionnalisme classique est notoirement incapable de penser le changement. 

grégaire. Se dit d'un instinct qui pousse certains animaux à se regrouper, à former des communautés. L'être humain est un animal grégaire. 

habitus. Système de schèmes de perception, de pensée, de signification et d'action intériorisé lors de la socialisation. Chaque champ social développe un habitus qui lui est propre chez ses agents. Plus familièrement : système d'habitudes. 

heuristique. Qui concerne ou favorise la découverte. 

homéostasie. Ensemble des mécanismes d'équilibration intervenant dans le maintien, chez les êtres vivants en particulier, de l'état stationnaire des organismes en dépit des modifications de l'environnement. 

hypostasier. Considérer à tort une chose comme une réalité absolue. 

idéel. Qui concerne le monde des idées. 

idéologie. Système de représentations sociales et symboliques qui produit du discours et génère des actions. Les éléments culturels et cognitifs d'une idéologie sont dominés par ses éléments politiques. C'est donc une génératrice de discours au service d'un pouvoir. Le catholicisme, le libéralisme, le communisme et le féminisme sont des idéologies contemporaines. 

imaginaire. Tout ce qui n'existe que dans l'esprit est imaginaire : l'ensemble des formes imaginaires (l'adjectif) crée un imaginaire (le substantif). L'imaginaire s'alimente aux affects pour produire des images (visuelles ou sonores) chargées de sens pour le sujet. À ne pas confondre avec l'imagination, qui est seulement la faculté de produire des images nouvelles, indépendamment de la charge affective qui y est associée. 

inféoder. Dominer, rendre dépendant. 

inhibition. Blocage psychique, émotionnel ; refoulement. Une inhibition est un obstacle à l'expression de soi et à l'action. 

institution. Rapport social stabilisé autour d'une forme permanente ayant souvent un statut juridique. Les institutions sont la charpente de la société. La famille, l'école, l'industrie, le gouvernement, l'armée, la télévision d'État sont des institutions. Une institution est capable d'évolution, mais elle repose d'abord sur la tradition. 

interactionnisme. Théorie sociologique qui explique tous les phénomènes sociaux par les interactions entre les individus. Pour les interactionnistes, seules les interactions sont réelles. 

intériorisation. Assimilation d'une pensée et d'un comportement. Apprentissage des normes et des valeurs dominantes dans son environnement. Reproduction interne des structures sociales externes. 

intrant. Input, ce qui entre dans un système : matière, énergie ou information. 

introjecter. Projeter à l'intérieur, le plus souvent sous un mode imaginaire. 

langages non verbaux. Toute forme de communication non verbale : langues gestuelles, postures, modes, images, sons. Les langages non verbaux sont de puissants véhicules d'émotions. Le langage corporel est l'un des langages non verbaux les plus importants. La communication par images également. Ne dit-on pas qu'une image vaut mille mots ? 

ludique. Qui a un rapport avec le jeu (au sens large). 

marxisme. Doctrine philo-politique et sociale révolutionnaire fondée par Karl Marx et Friedrich Engels. Le marxisme comprend une théorie de la société, le matérialisme historique, et une philosophie, le matérialisme dialectique. Le marxisme est une tendance très importante dans la plupart des sciences humaines. 

médiation. Un moyen et un intermédiaire. Le troisième terme d'un mouvement dialectique est toujours une médiation entre les deux premiers. 

métacommunication. Communication qui porte sur les formes de communication entre deux (ou plusieurs) protagonistes. La métacommunication est la seule manière de sortir des structures de communication paradoxale que sont par exemple les problèmes de ponctuation et les doubles messages. 

méta-scientifique. Se dit d'une réflexion qui prend la science pour objet. L'épistémologie est méta-scientifique. 

mythe. Récit fantastique qui a une certaine prétention à la vérité, mais dont les bases sont purement imaginaires. Exemple : le mythe d'Oedipe. Les mythes ont aussi une forme contemporaine, incarnée par des personnages comme Superman. 

notionnel. Qui a rapport avec des notions précises. Un travail notionnel est un travail d'élaboration de notions précises : définitions, critiques, clarifications, etc. 

paradigme. Cadre de référence pour la recherche, un paradigme est à la fois un idéal et un exemple. Les paradigmes, comme le paradigme darwinien en biologie, sont généralement acceptés par une majorité de chercheurs dans un domaine particulier. Ils comprennent des théories, des expérimentations, des valeurs et des procédures constantes. 

pattern. Modèle de perception ou de comportement. Schéma préétabli comprenant certains stéréotypes. 

polémique. Qui a rapport avec les débats d'idées, les disputes idéologiques, les controverses. polymorphe (67) Qui a plusieurs formes. 

pragmatique. Partie de la théorie du langage qui étudie les aspects pratiques de la communication, les actes de discours et l'insertion contextuelle des messages dans la vie concrète. 

prénotion. Notion qui repose sur un préjugé ; qui ne découle d'aucun approfondissement critique, d'aucune réflexion. 

prescription. Chose qu'il faut faire, qu'il est fortement recommandé de faire. 

proscription. Chose qui est interdite, ou du moins qu'il est fortement déconseillé de faire. 

protagonistes. Acteurs d'une situation qui sont en cause directement. 

proxémique. Science qui étudie les règles régissant l'utilisation culturelle de l'espace et la perception de la proximité et de la distance. 

psycho-affective. Aspect émotionnel du psychisme humain. À la dimension psycho-affective des relations humaines s'attachent la perception de l'autre et de ses sentiments envers soi, nos propres sentiments envers l'autre et les représentations mentales que l'un et l'autre ont de la relation. 

psychosomatique. Tout ce qui concerne les rapports entre le corps et l'esprit, en particulier la façon dont les états d'âme et les pensées affectent le corps (la guérison par exemple) et, inversement, la façon dont un état physique déterminé (l'action d'une hormone par exemple) affecte les états mentaux. 

radiocentrique. Structure qui part d'un centre, structure étoilée. 

raison. Faculté humaine de distinguer le vrai du faux et le bien du mal. Bon sens. Fonction cérébrale supérieure où l'information est traitée d'une manière analytique. C'est la raison qui nous fait distinguer le réel et l'irréel, qui nous permet de connaître objectivement et de penser logiquement. 

rapports sociaux. Ensemble des relations propres à une société donnée. Les rapports sociaux peuvent être de nature économique, sexuelle, politique, idéologique, culturelle, etc. L'objet des sciences sociales est l'ensemble des rapports sociaux. 

rationalisation. Construction intellectuelle basée sur la raison, mais dont l'origine est souvent un intérêt particulier ou un point de vue imaginaire sur les choses. La rationalisation peut aussi être un mécanisme de défense contre l'angoisse : justification d'une situation aberrante. 

réductionnisme. Toute tentative d'expliquer un ordre de phénomènes complexes par un ordre de phénomènes plus simples ou mieux connus. Certains penseurs veulent réduire les émotions à des mécanismes biochimiques. 

représentation. Image signifiante d'un objet. Le signe considéré comme ce qui rend présente à l'esprit une certaine pensée. 

rétroaction. Action en retour. La boucle de rétroaction est un mécanisme de contrôle autonome par lequel des extrants devenant des intrants permettent la régulation d'un système par le déclenchement de mécanismes d'équilibration. 

schème. Système de formes stables, de structures. Les schèmes sont des moules de perception et de réflexion, des intermédiaires entre la perception, la pensée et l'action. 

science. Forme de connaissance basée sur la logique, la méthode expérimentale et la recherche d'explications théoriques aux phénomènes. La science est une démarche d'exploration et d'interrogation du monde dont l'idéal est la preuve. 

sens. Signification pratique d'un signe. Direction, orientation de ce signe. Sens de l'existence : lorsque l'existence entière est considérée comme un seul signe, alors le sens est sa signification ultime. Produire du sens : développer un discours à propos d'une pratique ou d'une institution. 

signe. Unité minimale de signification. Signal doté d'une signification déterminée par un code et un contexte. Un signe est la représentation matérielle d'une idée (interprétable) à propos d'un objet de pensée donné. Les mots, les images, les signes, les vêtements de mode, les drapeaux sont des signes. 

signification. Interprétation plus ou moins constante d'un signe. La signification est l'idée dont il est question dans le signe, l'interprétation qu'il faut donner à son objet. 

signification sociale. Interprétation d'un signe fixée socialement et dont on ne peut se dégager sans déroger au consensus de valeurs et de normes de cette société. Par exemple, le travail a une signification sociale déterminée. La signification sociale du poste de Premier ministre est évidente pour tout le monde. 

socialisation. Processus d'apprentissage des valeurs et des normes dominantes d'une société et acquisition des aptitudes nécessaires pour y fonctionner. Adaptation progressive d'un individu à un environnement social déterminé. L'éducation est un mécanisme fondamental de la socialisation. 

strate sociale. Une certaine catégorie de gens dans la hiérarchie sociale, définie par son rôle, son pouvoir, sa richesse ou d'autres indicateurs sociaux de ce type. 

structuralisme. Position en sciences humaines qui consiste à évacuer les aspects subjectifs, les significations que les gens attribuent aux choses, pour parvenir à une description objective des structures. Le structuralisme permet de rendre compte des mythes, de l'inconscient, des structures sociales, etc. Le structuralisme veut tout expliquer par les structures, ce en quoi il est un réductionnisme.

symbolique. Dans un premier sens : non matériel, non pratique, simplement par les signes. La violence verbale est une violence symbolique. Dans un second sens, plus intéressant : dimension signifiante de l'existence humaine ; la dimension symbolique est ce qui fait la spécificité de l'humain. Fonction symbolique, culture symbolique. Symbolisation : formation de symboles. 

système. Entité dynamique composée d'éléments en interactions qui entretient des relations spécifiques avec son environnement. On distingue les éléments d'un système, ses intrants, ses extrants, sa structure et son activité. On peut comprendre toute réalité stable disposant de frontières comme étant un système. 

système symbolique. Système de signes. La langue, la peinture, la musique, les langages non verbaux sont des systèmes symboliques. Une culture est formée des systèmes symboliques propres à une société donnée. 

systémique. Relatif à la théorie des systèmes. À la conception qui découle de cette théorie. À tout ce qui a trait aux systèmes. 

technique. Forme supérieure de la connaissance pratique. Manière d'utiliser outils et machines pour accomplir un certain travail ; ces instruments eux-mêmes. Le degré technique atteint par une société détermine sa productivité et le degré de sa maîtrise des forces de la nature. 

théocratisme. Régime politique dans lequel la hiérarchie religieuse concentre l'essentiel du pouvoir de l'État. 

utopie. Projet social idéal. Accomplissement ultime d'une visée historique. Vision merveilleuse d'un monde parfait. Au sens péjoratif : projet irréaliste et irréalisable, fumisterie.



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le mercredi 21 mai 2008 17:52
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi.
 



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