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Collection « Les sciences sociales contemporaines »
Une édition électronique réalisée à partir de l'article de Émile Gosselin et Marc-Adélard Tremblay (1922 - ), “Loomervale: un cas de désintégration sociale”. Un article publié dans la revue Recherches sociographiques, vol. 1, no 3, juillet-septembre 1960, pp. 309-342. Québec : Les Presses de l’Université Laval. [M Marc-Adélard Tremblay, anthropologue, retraité de l’enseignement de l’Université Laval, nous a accordé le 4 janvier 2004 son autorisation de diffuser électroniquement toutes ses oeuvres.] Introduction Sous la direction du Dr Alexander H. Leighton, psychiatre et anthropologue, de l'Université Cornell, des spécialistes de disciplines diverses ont, de 1950 à 1958, poursuivi des recherches intensives dans un comté rural de la Nouvelle-Écosse. L'objectif des recherches était d'approfondir la nature des rapports entre la désintégration sociale et le déséquilibre psychologique sous toutes ses formes. Émile Gosselin et Marc-Adélàrd Tremblay ont participé à ces investigations ; ils consignent ici leurs principales observations sur un hameau qu'ils ont plus particulièrement étudié. Cette description ethnographique de "Loomervale" illustre les principes théoriques énoncés par les mêmes auteurs dans un article de la revue Service Social (vol. 9, no 3, octobre 1960) : "Le continuum pauvreté-prospérité : son utilité en tant qu'indicateur de désintégration sociale". Les auteurs tiennent à souligner la collaboration de plusieurs de leurs collègues du Groupe de recherches sur le comté de Stirling (The Stirling County Study). Ils remercient plus particulièrement le directeur de la recherche, le Dr A. H. Leighton, de même que Charles C. Hughes, Dorothea C. Leighton, Allister M. Macmillan, Seymour Parker et Robert N. Rapoport. Bien qu'ils associent les noms de plusieurs de leurs collègues américains à ce travail, les auteurs conservent l'entière responsabilité du présent article. L'étude du comté de Stirling a été entreprise par l'Université Cornell avec la collaboration du Ministère de la Santé publique de la Nouvelle-Écosse et celle des Universités Acadia et Dalhousie. La Faculté des Sciences sociales de l'Université Laval a aussi apporté une aide précieuse. Des subventions ont été accordées par la Carnagie Corporation, le Ministère fédéral de la Santé et du Bien-Etre, le Ministère de la Santé publique de la Nouvelle-Écosse et le Milbank Memorial Fund. À ses débuts, l'étude reçut l'appui de l'American Philosophical Society de l'Université Cornell, de la Wenner-Gren Foundation for Anthropological Research et de la Rockefeller Foundation.
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