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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

Une édition électronique réalisée à partir de l'article de Marc-Adélard Tremblay, “La Basse-Côte-Nord du Saint-Laurent: une ethnologie en construction.” Un article publié dans la revue Recherches sociographiques, vol. 11, nos 1-2, janvier-août 1970, pp. 9-15. Québec: Département d’anthropologie, Université Laval. [M Marc-Adélard Tremblay, anthropologue, retraité de l’enseignement de l’Université Laval, nous a accordé le 4 janvier 2004 son autorisation de diffuser électroniquement toutes ses oeuvres.]

Marc-Adélard Tremblay (1922 - )

La Basse-Côte-Nord du Saint-Laurent:
une ethnologie en construction
”. *

Un article publié dans la revue Recherches sociographiques, vol. 11, nos 1-2, janvier-août 1970, pp. 9-15. Québec: Département d’anthropologie, Université Laval.


Les études ethnographiques entreprises sur la Côte-Nord du Bas-Saint-Laurent ont débuté à l'été 1965 par une monographie du village anglophone de Saint-Augustin, [1] sur la Basse-Côte-Nord. De cet immense territoire, qui s'étend depuis l'embouchure du Saguenay jusqu'à la limite du Labrador terre-neuvien, la Basse-Côte-Nord constitue la partie la plus orientale. On se la représente comme imprégnée de ses traditions séculaires, imperméable aux impulsions transformatrices du dehors et profondément marquée par son isolement géographique et par un état de dépendance qui a pris plusieurs formes successives. Retenons, en particulier, le maintien du système du troc pour la mise en marche des produits de la mer jusque vers les années 1930 et, plus récemment, la fonction croissante (d'ordre compensatoire) des ressources monétaires des gouvernements provincial et fédéral dans le revenu personnel de la grande majorité des chefs de famille.

De Kégashka a Blanc-Sablon, une population d'environ 5,000 individus se repartit sur 224 milles de Côte, en 16 groupes d'habitations, dont douze sont d'expression anglaise, trois d'expression française et un de langue montagnaise. L'isolement est la caractéristique principale de ces villages situés à la jonction des voies fluviales de pénétration vers l'intérieur des terres et des emplacements de pêche littorale utilisés par leurs résidents, car les sinuosités d'un littoral rocheux, parsemé d'innombrables îles et îlots, limitent sensiblement les possibilités d'établissement d'un réseau routier ; en l'absence de route, il ne s'est pas établi de liaison constante d'un village à l'autre. Au début du siècle, des petits groupes de familles étaient dispersés le long de la côte, et vivaient principalement de la pêche à la morue (l'été), du piégeage des animaux à fourrure (l'automne), de la pêche au phoque (décembre à janvier) et de la chasse au caribou (l'hiver).

[10]

Le regroupement des familles et la concentration de la population dans un petit nombre de villages autour des services communautaires tels que l'école, l'église et le bureau de poste, a suscité un premier déséquilibre entre la population, devenue moins mobile sur le territoire, et son milieu d'exploitation. Aujourd'hui, les activités traditionnelles sont en déclin : le piégeage est abandonné en grande partie, la pêche au loup-marin est une source de revenu très incertaine et, bien que plus de 85% des individus la pratiquent encore faute de pouvoir concevoir une autre possibilité de production durant l'été, la pêche à la morue donne des résultats médiocres. Une ouverture plus grande vers l'extérieur, due au développement de nouveaux moyens de communication comme la radio et à la diffusion de différents éléments de la culture de masse, se traduit surtout par l'adoption de nouveaux modèles de consommation ; les nouvelles ressources monétaires apportées par la réalisation d'un programme de « travaux d'hiver » (de 1963 à 1968) du gouvernement fédéral ont surtout favorisé l'achat massif de motoneiges, moteurs hors-bord, etc.... Un écart croissant apparaît entre ces besoins nouveaux révélés à l'occasion d'un nouvel apport de revenu (les travaux d'hiver sont, à toute fin pratique, des paiements de transfert déguisés), [2] et la possibilité de les satisfaire au moyen d'activités de production locales.

Indépendamment de l'intérêt qu'on peut porter à la région du fait qu'elle ait été négligée depuis très longtemps et que des changements profonds dans la situation économique actuelle apparaissent comme urgents, l'isolement de la Basse-Côte-Nord en fait le terrain privilégié pour une première étude ethnologique d'ensemble sur le Canada français. [3] D'une part, les modèles culturels traditionnels s'y sont conservés mieux qu'ailleurs en raison de l'impact plus faible des facteurs extérieurs de changement et, d'autre part, la diversité des stocks culturels d'origine (québécois et terreneuvien) permet de saisir dans une même aire écologique la spécificité et les constantes culturelles de chaque groupe comme les processus et résultats des changements lies aux contacts interculturels.


a) Objectifs de l'approche ethnologique

Par le biais de l'analyse des similitudes et des différences, l'approche ethnologique devrait nous permettre d'énoncer, à partir de certaines communautés-types, des généralisations valables pour l'ensemble de la sous-aire culturelle qu'est la Basse-Côte-Nord. La distribution des traits et complexes culturels ainsi considérée peut ensuite être expliquée en tenant compte du [11] dynamisme de facteurs historiques (facteurs endogènes qu'il nous faudra identifier au cours de l'analyse) et de l'impact de l'avancement technique et de l'ouverture sur l'extérieur (facteurs exogènes). Cette analyse s'appuie sur la comparaison des communautés jugées représentatives de toutes les autres (comparaisons intraculturelles) à l'intérieur de l'univers culturel plus large que nous avons découpé en trois zones géographiques distinctes pour des fins strictement opératoires.

Dans l'immédiat, il s'agit de construire l'ethnologie de l'une de ces zones territoriales en utilisant l'ensemble des matériaux dont nous disposons (journaux de bord, notes d'observation et d'entrevue, rapports de recherche, statistiques descriptives et documentation écrite) selon une méthodologie qui permette de les systématiser, de les unifier et de les intégrer en des perspectives analytiques qui tiennent compte a la fois de l'aspect qualitatif et quantitatif des données, des divers paliers de la réalité socio-culturelle, des unités sociales fonctionnelles ainsi que de la sous-région prise globalement et, finalement, de la dialectique continuelle entre la persistance des traditions et la dynamique culturelle. Deux démarches distinctes, mais complémentaires, l'une systémique, l'autre comparative, nous permettraient de concilier ces divers impératifs. L'approche systémique consiste à considérer chacun des paliers ou niveaux de la réalité sociale [4] en tant que systèmes autonomes mais interdépendants. Nous y voyons un double avantage pour dégager avec précision les constantes et les mutations profondes à l'intérieur d'un système particulier, les répercussions qu'y entraînent dans la configuration globale les transformations qui surviennent à un niveau spécifique par le biais des interrelations entre les différents niveaux. Par voie de conséquence nous pourrons élaborer des cadres particuliers de référence qui seront utilisés dans l'étude de chacun des niveaux de la réalité. Une premier modèle théorique se rapportant à l'étude de l'organisation économique et s'inspirant des schémas conceptuels de l'anthropologie économique a été construit. [5] Il met en évidence les facteurs historiques, les processus de décision économique opérant au niveau des économies de village, les activités économiques étant conçues comme des moyens à la disposition d'un agent en vue de satisfaire ses besoins et de se projeter dans l'avenir, enfin le rôle des groupes de travail. Il sera également possible de considérer chacun de ces niveaux comme une variable dépendante ou l'impact de variables indépendantes (telles que les contacts avec la culture urbaine, l'avancement technologique, l'interdépendance des villages et les facteurs de régionalisation, etc....) peut être observé à un moment donne [12] et suivi dans ses répercussions en chaîne. L'analyse porte ici surtout sur les aspects synchroniques du fonctionnement d'un système donné même si les aspects diachroniques ne sont point négligés. Une analyse complètement satisfaisante des processus de changement ne peut être menée que dans la mesure où l'information historique est très abondante et comparable point par point à celle qui fonde l'analyse contemporaine d'une situation. C'est là une exigence difficile puisque la culture valorise des processus de sélection et d'élimination de l'information historique.

D'intention plus globalisante, la seconde démarche de notre analyse, l'approche comparative, consiste à isoler des unités territoriales significatives par rapport à des caractéristiques globales (communautés typiques) et à situer ces communautés typiques sur un axe de transformations socioculturelles en utilisant des critères de base identiques. Par ce biais aussi nous abordons l'analyse des changements socio-culturels mais cette fois dans des unités géographiques et sociales. La problématique centrale de toute recherche comparative vise à mettre en place les divers éléments théoriques qui permettront d'élucider les liens logiques qui existent entre la distribution de certains traits culturels ou états de variables, choisies dans un certain nombre d'unités sociales. Il faut démontrer que leur coexistence ne découle pas du hasard et que les similitudes et différences observées sont le produit de moteurs identiques de changement et qu'elles résultent de processus sous-jacents analogues.

Nous nous intéressons ici à la comparaison intraculturelle qui, contrairement à la comparaison transculturelle, dispose d'un cadre culturel relativement homogène, ce qui permet 


1˚ de contextualiser davantage les traits ou institutions comparées, leur matrice culturelle étant semblable ;

2˚ de contrôler davantage les corrélations établies, le nombre d'éléments susceptibles de varier étant limité par rapport à ceux qu'on enregistre dans la comparaison de sociétés différentes.


La démarche qui consiste à comparer les communautés entre elles se situe dans la tradition de l'anthropologie sociale anglaise ; elle se prolonge aux États-Unis, entre autres avec les travaux de F. Eggan. [6]

Le contraste entre les deux démarches, la première s'intéressant aux constantes socio-culturelles et s'appuyant sur l'analyse synchronique d'un des paliers de la réalité sociale, la seconde aux processus permettant d'expliquer les similitudes et différences observables au niveau de communautés types, a été volontairement accentué. L'anthropologie sociale et l'anthropologie économique, en effet, s'intéressent non seulement au système des [13] relations sociales et au système économique, mais aussi à leur dynamique, tenant compte du contexte spécifique et des contraintes qui affectent chaque système.


b) Exigences méthodologiques
de l'analyse ethnologique



1. Les matériaux ethnographiques. L'analyse ethnologique présuppose l'existence de nombreux matériaux ethnographiques afin de permettre une compréhension en profondeur des événements, des situations et des comportements et de rendre possible l'énoncé de généralisations. La qualité de ces généralisations et des explications repose sur la qualité et la variété des données recueillies, supposant, bien entendu, qu'on a respecté les règles de l'observation comparative (équivalence des vocabulaires conceptuels et des techniques d'observation).

C'est ainsi que les villages de Saint-Augustin (1965), Tête-à-la-Baleine et Blanc-Sablon (1966), La Tabatière (1967), Rivière-Saint-Paul (1968), Harrington Harbour et Kégaska ont été étudiés de manière intensive et ont fait l'objet d'études monographiques.

Bien que les données qualitatives que l'on trouve dans les monographies de villages de la Basse-Côte-Nord soient comparables entre elles, il est nécessaire de les enrichir par des informations numériques à l'échelle du territoire tout entier. Celles-ci calibrent, dans une large mesure, les différences liées aux intérêts théoriques des ethnologues sur le terrain. Toute ethnologie, comme nous le disions plus tôt, établit un équilibre entre ces deux types de données, chacun de ceux-ci fournissant un ensemble d'hypothèses à vérifier sur le terrain par le moyen de l'autre. Paul Charest et Yvan Breton, par leurs travaux généalogiques et démographiques ont oeuvré dans ce sens, en y ajoutant une dimension historique. [7]

2. Le système de codification. Toutes les données recueillies sur le terrain ont été codifiées selon un système qui s'inspire de celui de George Peter Murdoch dans ses études transculturelles [8] mais qui met en valeur les caractéristiques pertinentes au milieu, regroupées sous neuf catégories générales (milieu physique, milieu humain, histoire, démographie, économie, organisation sociale, organisation politique, vie religieuse et vision du monde) elles-mêmes subdivisées en de multiples sous-catégories. Ces catégories permettent de classer tous les matériaux bruts et de regrouper ensemble, pour les rendre plus accessibles, les données de même nature. Le système de codification fut complété en 1969 pour assurer plus d'exhaustivité, apporter des précisions dans la définition des concepts utilisés [14] et élaborer des critères précis de classification. [9] Cette révision du système de codification visait à satisfaire quatre impératifs fondamentaux. En premier lieu, le système doit tenir compte de l'expérience croissante des chercheurs sur le terrain, ainsi que de la précision accrue de leurs descriptions et élaborations théoriques : il faut désormais introduire des éléments culturels auparavant négligés ou regroupés dans des catégories hétérogènes. En deuxième lieu, l'extension du champ géographique de la recherche (Moyenne-Côte-Nord et Terre-Neuve) a rendu nécessaire la multiplication des catégories de description. Troisièmement, le système codificateur doit permettre une définition sans équivoque des unités descriptives : l'application de la méthode comparative impose cette uniformité dans les conceptions subjectives des codificateurs. Enfin, la maquette générale - qui intègre l'ensemble des connaissances empiriques documentaires et théoriques sur le milieu - ne peut atteindre son but qu'à la condition expresse que les catégories soient suffisantes en nombre, claires dans leur conception et mutuellement exclusives les unes des autres. Ce trait spécifique et distinctif des catégories du code n'empêche toutefois pas une codification multiple d'une même information.

3. La maquette d'analyse. La maquette d'analyse est un instrument de systématisation des informations disponibles à un niveau théorique donné. Essentiellement, elle permet de situer les données récoltées et autres informations [10] dans un tableau à double entrée. L'information d'ordre ethnographique est résumée selon les catégories du code à la verticale, et à l'horizontale, selon les unités d'observation (les villages). Nous posséderons ainsi, en principe, toutes les données sur l'ensemble des sujets étudiés par les membres de l'équipe ou d'autres chercheurs. C'est un outil d'analyse des données qualitatives tout aussi essentiel que les langages utilisés pour le traitement électronique des données quantitatives.

4. Une typologie des communautés. Un examen détaillé des résultats des recherches entreprises sur la Basse-Côte-Nord nous a permis de constater qu'il était possible d'élaborer les instruments de l'analyse comparative : un de ceux-ci est l'établissement d'une typologie à cinq dimensions des communautés. [11] Les critères de différenciation qui nous ont paru pertinents [15] sont l'ancienneté du peuplement, la pratique de la transhumance, la taille du village, l'origine ethnique et l'affiliation religieuse. En appliquant ces critères à l'ensemble des communautés existantes, nous constatons qu'ils possèdent un pouvoir discriminant suffisamment grand pour établir à peu près sept types majeurs de communautés. Ces facteurs, soit seuls ou associés à d'autres, peuvent être à l'origine de processus de différenciation de l'organisation économique et de l'organisation sociale.

Voilà, dans les grandes lignes, les principes directeurs de même que les stratégies d'opérationalisation qui nous guideront dans la construction d'une ethnologie de la Basse-Côte-Nord du Saint-Laurent. Ce sont des schémas théoriques et méthodologiques qui sont en pleine phase d'élaboration. Pour autant ils sont sujets à des remaniements plus ou moins substantiels au fur et à mesure qu'ils se déploieront et qu'ils seront appliqués aux matériaux disponibles. Nous connaissons bien le point de départ et les différentes avenues sur lesquelles il débouche, mais nous ne pouvons entrevoir le point d'arrivée.

Les articles qui apparaissent dans ce numéro spécial sur nos études ethnographiques présentent certains éléments de la culture globale à l'échelle de l'aire territoriale étudiée (articles de P. Charest et M. Daneau) ainsi que des études qualitatives au niveau des paliers analytiques dans des villages particuliers différents (articles de P. Beaucage, Y. Breton et J. Mailhot) ; on trouvera enfin une tentative d'interprétation des processus d'adaptation des nord-côtiers à la vie urbaine cosmopolitaine (note de N. Lamarre et L. Baril).

Chacune de ces études contribue à nous faire comprendre les traditions qui sont encore opérantes dans le milieu, les transformations socio-culturelles en cours ainsi que les capacités d'adaptation et de survie de ces populations isolées face aux développements économiques et sociaux qui sont l'aboutissement soit de processus naturels ou encore d'interventions directes d'agents extérieurs.


Marc-Adélard TREMBLAY et André LEPAGE
Département de sociologie et d'anthropologie,
Université Laval.



* Nous tenons à remercier le Conseil des arts du Canada, dont les subventions généreuses ont permis la mise en oeuvre de ces recherches d'envergure qui constituent une étape importante dans la connaissance ethnologique du Canada français.

[1] Marc-Adélard TREMBLAY, Paul CHAREST et Yvan BRETON, Les changements socio-culturels à Saint-Augustin, Québec, Les Presses de l'université Laval, 1969. [Texte disponible dans Les Classiques des sciences sociales. JMT.]

[2] Marcel DANEAU, Le développement socio-économique des pêcheries de la Côte-Nord du golfe Saint-Laurent, Ottawa, Ministère des pêcheries du Canada, 1968, p. 74.

[3] Les raisons qui ont motivé le choix de cette aire culturelle dans la construction d'une ethnologie du Canada français, apparaissent dans : Marc-Adélard TREMBLAY, « L'ethnographie de la Cote-Nord du Saint-Laurent », Recherches sociographiquex, VIII, I, 1967, pp. 81-87.

[4] Nous voulons dire : la démographie, la technologie, l'organisation économique, la structure sociale, les systèmes de valeurs et la vision du monde.

[5] André LEPAGE, « Propositions pour l'étude de l'organisation économique de la Basse-Côte-Nord », Laboratoire d'ethnographie, mars 1970. Signalons, à ce propos, la contribution significative de Pierre Beaucage dont l'article sur l'organisation économique à La Tabatière apparaît plus loin.

[6] F. EGGAN, « Social Anthropology and the Method of Controlled Comparison », American Anthropologist, 56, octobre 1954, 743-763.

[7] L'article de Paul Charest sur le peuplement de la Basse-Côte-Nord rend compte d'un aspect de cette étude longitudinale.

[8] G. Peter MURDOCK, Outline of Cultural Materials. New Haven, Yale University Press, 1950.

[9] Ces critères ainsi que leurs définitions apparaissent dans un document manuscrit de 100 pages rédigé sous la direction de Nicole Leblanc et Marc-Adélard Tremblay, « Guide pour la codification des matériaux ethnographiques de la Côte-Nord du Saint-Laurent », 1969.

[10] Les informations intégrées dans la maquette peuvent être identifiées quant à leur provenance, à leur niveau d'interprétation, à leur nature historique et spatiale, à leur caractère réel ou hypothétique. La maquette est actuellement fabriquée par Nicole Leblanc, assistante de recherche.

[11] Ont participé à l'analyse typologique : Louis Baril, Réjean Beaulieu, Denis Blondin, Serge Genest, Pierre Joubert, Denis Lachance, Nicole Lamarre, Nicole Leblanc, André Lepage et François Trudel, membres de l'équipe de recherche.



Retour au texte de l'auteur: Marc-Adélard Tremblay, anthropologue, retraité de l'Université Laval Dernière mise à jour de cette page le lundi 10 octobre 2011 12:04
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie retraité du Cegep de Chicoutimi.
 



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