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Critique de l’américanité.
Mémoire et démocratie au Québec
Remerciements
J'ai commencé à écrire ce livre au petit village Les Forges, dans le pays du Poitou, où j'étais reçu, à la Maison des sciences de l'homme et de la société, par l'Institut d'études acadiennes et québécoises (IEAQ) de l'Université de Poitiers et son directeur, André Magord. Celui-ci a mis à ma disposition à la fois les ressources de l'Institut et le calme du pays poitevin. Les étudiants du Programme d'études nord-américaines ainsi que les membres du séminaire Laresco, dirigé par Gilles Ferréol, directeur du Département de sociologie de la même institution, furent les premiers publics à entendre les thèses qui y sont développées.
Ce livre intègre des éléments de deux projets de recherche auxquels j'ai participé au cours des dernières années. Le premier, que je dirigeais avec la participation de Gilles Labelle, Lien social, Démocratie et Modernité (subvention du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada - CRSH), s'est intéressé à comprendre l'aventure de la démocratie au sein de la modernité. Le second, dirigé par Jocelyn Létourneau de l'Université Laval, Lien social. Identité politique, Citoyenneté : radioscopie de l'espace public en contexte d'hypermodernité (subvention du Fonds pour la formation de chercheurs et l'aide à la recherche - FCAR), étudiait plus particulièrement les transformations au sein de l'espace public québécois. Plusieurs étudiants ont comme assistants, dans le cadre de ces projets, collaboré à la recherche à la source de cet ouvrage. Abdourahmane Konaté et Mariève Forest ont participé directement au travail bibliographique.
Les ressources du secrétariat de la recherche de la Faculté des sciences sociales de l'Université d'Ottawa ainsi que du Centre interdisciplinaire de recherche sur la citoyenneté et les minorités (CIRCEM) ont grandement [374] facilité la réalisation de ce travail. Ce sont surtout les discussions que ce contexte institutionnel a favorisées qui ont contribué, plus que tout, aux idées qui y sont développées. François Houle, Gilles Labelle, Marie-Blanche Tahon, Daniel Tanguay ont ainsi souvent eu à commenter certaines hypothèses. D'autres collègues et étudiants, dont la liste serait trop longue à énumérer, ont discuté des parties de cet ouvrage, notamment les participants aux ateliers du CIRCEM.
Enfin, Jacqueline, comme toujours, avec grande sérénité, a partagé avec moi le poids quotidien imposé par les tâches de la rédaction et Annie Claude fut la première lectrice du manuscrit.
Tout en assumant pleinement les propos contenus dans cet ouvrage, je remercie les compagnes et compagnons de route sans qui ce livre ne serait pas ce qu'il est.
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