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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

Suzie Robichaud, LE BONHEUR... à deux pas d’ici. Essai. (2010)
Remerciements


Une édition électronique réalisée à partir du livre de Suzie Robichaud, LE BONHEUR... à deux pas d’ici. Essai. Chicoutimi, Québec: Les Éditions JCL inc., 2010, 281 pp. [Autorisation conjointe accordée le 23 novembre 2012 par l’auteure et l'éditeur, Les Éditions JCL. inc., de diffuser ce texte dans Les Classiques des sciences sociales.]

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Remerciements


Au moment où arrive la fin d’un ouvrage vient l’heure des remerciements. Je vois des sourires se dessiner sur les visages ; ils viennent tendrement me rappeler ce mot de Saint-Exupéry : Il n’y a qu’un luxe véritable et c’est celui des relations humaines. Le rideau se lève sur ces personnes qui, tout au long du parcours, m’ont apporté leur soutien bienveillant et amical. Tantôt elles ont soulevé la discussion ou alimenté la conversation, tantôt elles ont forcé les portes de l’intuition ouvrant sur l’inspiration. Il m’est impossible de toutes les identifier. Néanmoins, je veux les assurer de ma profonde gratitude en espérant ardemment qu’au hasard d’une citation ou d’une réflexion, elles sauront se reconnaître.

D’autres personnes ont partagé leur savoir-faire, leur disponibilité ou leur amitié en lisant, commentant ou revisitant une partie ou l’intégralité du livre. Il s’agit de : Yvon Joly, Stéphane Aubut, Clément Martel, Josée Savard, Vincent Lemieux, Jacques T. Godbout, Michelle Perron, Claude Gilbert, Gherty Rhainds, Eman Ali, Éric Pilote, Mustapha Fahmi, Cynthia Harvey, Roland Bourdeau. Je suis aussi redevable envers la merveilleuse équipe des Éditions JCL et l’Université du Québec à Chicoutimi, cette institution qui [280] m’accueille depuis plus de quinze ans maintenant. Je remercie également Yves Vaillancourt, Christian Jetté, Lucie Dumais, Marielle Tremblay, Sébastien Savard de l’équipe de recherche Economie sociale, santé et bien-être et Danielle Maltais pour la précieuse collaboration qui s’est nouée au cours des années.

Certaines personnes ont été des acteurs de premier plan dans ma démarche. Merci, Jean-Claude Larouche, tu as encouragé le projet dès l’instant où j’en ai caressé l’espérance. Et, pour une cinquième fois, tu as accepté de m’accompagner sur la longue route sinueuse qui mène à la création. Tu es un éditeur fidèle et complice ; un homme sensible et bon. Merci, Léandre Bouffard, cher ami psychologue pour qui les nombreuses facettes du bonheur n’ont plus beaucoup de secrets ; merci d’avoir accueilli avec tant de générosité ma demande d’écrire la préface. Tu as enrichi ma démarche en me transmettant ta profonde connaissance du sujet, en rendant possible la rencontre de mes amis philosophes avec tes amis psychologues. Le bonheur. tu le lis, l’écris, le traduis, le saisis, le mûris, le vis. Ce n’est pas pour rien que ceux qui te côtoient te nomment Monsieur bonheur. C’est d’ailleurs sous ce nom que tu m’avais été présenté, il y a une dizaine d’années de cela.

D’autres personnes méritent ma reconnaissance. Vous, mes sœurs, mes beaux-frères, ma nièce et mon neveu, ma famille élargie, ma belle-famille, mes amies — ici le féminin englobe le masculin ! —, vous êtes chers à mon cœur et grâce à votre présence vous avez donné une saveur délicate à mon projet tout en enrichissant mon existence.

Non je ne t’ai pas oublié, maman. Comment le pourrais-je ? J’ai eu l’heureuse et incroyable chance d’échanger avec toi tout au long de cet ouvrage et surtout [281] j’ai eu le temps de te signifier, lors du dernier propos, toute ma reconnaissance. Ton amour inconditionnel, ton soutien indéfectible, ta grandeur d’âme sont des trésors du cœur que tu m’auras laissés en héritage. Du reste, que dire à la femme qui vous a fait don du plus grand des bienfaits ? Sinon, un tendre merci. Et je t’adresse un sourire de connivence afin que tu transmettes à papa, dans l’au-delà, ce message rempli de gratitude.

Enfin, un autre remerciement s’amène, le dernier, cette fois-ci. C’est vers mon amour qu’il se dirige ; mon compagnon de route qui écoute patiemment ce que je lui raconte, ce que je lui explique. Tu te révèles, Jean, un merveilleux complice dans ma recherche du bonheur. « J’aime te suivre, m’as-tu écrit un jour, dans tes leçons d’humilité, de ténacité et d’émerveillement, dans tous les efforts que tu fournis pour faire entrer dans ton cœur ces étincelles de joie, ces parcelles de sagesse. » C’est donc une affectueuse et vive reconnaissance que je te manifeste aujourd’hui en te dédiant ce petit livre, en toute simplicité.



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le jeudi 3 janvier 2013 19:08
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie retraité du Cégep de Chicoutimi.
 



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