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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

Actes du Colloque étudiant féministe tenu les 27 et 28 avril 2012 à l'Université Laval. (2012)
Notices biographiques


Une édition électronique réalisée à partir des Actes du Colloque étudiant féministe tenu les 27 et 28 avril 2012 à l'Université Laval. Québec: Chaire Claire-Bonenfant - Femmes, savoirs et sociétés, Université Laval, 234 pp. [Autorisation accordée le 4 février 2013 par Hélène Charron, sociologue, professeure et chercheure associée, Chaire Claire-Bonenfant, Femmes, savoirs et société, Université Laval, de diffuser les Actes de ce colloque dans Les Classiques des sciences sociales.]

Notices biographiques


Isabelle Auclair

À la suite de l’obtention d’une maîtrise en anthropologie à l’Université Laval, dont le mémoire de maîtrise portait sur la salsa comme forme de résistance culturelle et incorporation des constructions culturelles genrées en Équateur, Isabelle Auclair a travaillé plusieurs années au sein du système des Nations Unies en Équateur (d’abord auprès d’UNIFEM Région Andine (maintenant ONU-Femmes). Durant cette période, son travail a porté, entre autres, sur le lien entre la féminisation du VIH et les violences faites aux femmes dans la région andine, la formation et l’autonomisation de groupes de femmes vivant avec le VIH, l’accès à la justice pour les femmes de la frontière nord équatorienne et la transversalisation de la perspective de genre dans les projets et programmes de développement. Elle s’est ensuite jointe à l’équipe du Programme de Développement et Paix-Frontière Nord (PDP-FN), une initiative du Bureau du Coordonnateur Résident du système des Nations Unies administrée par le PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement), en tant que coordonnatrice de la stratégie de genre et prévention de conflits. Depuis 2011, elle poursuit ses études doctorales en anthropologie à l’Université Laval et sa recherche, inspirée par son travail antérieur, porte sur le continuum des violences basées sur le genre vécues par les Colombiennes en situation de refuge en Équateur.

isabelle.auclair@ant.ulaval.ca

Marilyne Brisebois

Marilyne Brisebois est étudiante au doctorat en histoire contemporaine à l’Université Laval sous la direction d’Aline Charles, et en cotutelle avec l’Université d’Angers, sous la direction de Christine Bard. Elle s’intéresse à l’histoire des femmes des milieux populaires et du travail domestique, à l’histoire de la consommation et du vêtement. Membre étudiante du Réseau québécois en études féministes (RéQEF) et du Centre interuniversitaire d’études québécoises (CIEQ), elle a notamment publié dans le Bulletin d’histoire politique. Son mémoire de maîtrise s’intéressait au discours sur la consommation quotidienne des familles ouvrières québécoises développé par la Ligue ouvrière catholique, entre 1939 et 1954. Ce discours, développé entre la fin de la Crise économique et le milieu des années 1950, ciblait principalement les ménagères ouvrières du Québec et visait à modifier leurs comportements de consommatrices tout en développant un argumentaire sur leur citoyenneté économique. Elle a participé au 6e congrès international des recherches féministes francophones dont le thème était « Imbrication des rapports de pouvoir : Discriminations et privilèges de genre, de race, de classe et de sexualité » (Lausanne, août 2012) et plusieurs fois aux Congrès de l’Institut d’histoire de l’Amérique française. Elle a enfin été chargée de cours en histoire à l’Université Laval et à l’Université du Québec à Chicoutimi.

marilyne.brisebois.1@ulaval.ca

Amélie Charbonneau

Après un baccalauréat en travail social à l'université Laval, Amélie Charbonneau a entrepris un diplôme d'études supérieures spécialisées (D.E.S.S) en études féministes en septembre 2010. Au cours de son D.E.S.S, elle a pu toucher à plusieurs sujets qui la préoccupent particulièrement. Elle avait déjà remarqué ses affinités avec les approches multidisciplinaires, mais ce n'est que durant son D.E.S.S qu’elle a pu développer des capacités en ce sens. Les sujets qui touchent les personnes lesbiennes, gaies, bisexuelles et transsexuelles gagnent, à son avis, à être traités dans ce type d'approche. Pratiquement en même temps que mon D.E.S.S, elle a commencé à faire des démystifications avec GRIS-Québec. Son engagement ne s'est pas arrêté là. Depuis l'hiver 2012, elle est administratrice de ce même organisme. Dans le prolongement de mon D.E.S.S en études féministes elle a aussi entamé, en janvier 2012, une maitrise en communication.

amelie.charbonneau.1@ulaval.ca
charbonneauamelie@hotmail.com

Catherine Charron

Après des études universitaires de premier cycle en histoire et en sociologie, Catherine Charron a complété une maîtrise en histoire à l’université Laval en 2007, portant sur l’histoire de la pensée et de l’action féministe en regard du travail domestique au Québec. Actuellement au doctorat à l’université Laval (dépôt de la thèse prévu en 2013), elle poursuit ma réflexion sur la question de la division sexuelle du travail, et s’intéresse plus spécifiquement à l’inscription des emplois domestiques dans les parcours professionnels féminins dans la deuxième moitié du XXe siècle au Québec. Au cours des dernières années, elle a contribué à divers projets à titre d’assistante de recherche, notamment sur l’histoire des réseaux d’assistance sociale à Québec (sous la direction de Johanne Daigle). À titre de chargée de cours, elle a entre autres enseigné la méthodologie de l’enquête orale en histoire. Récipiendaire de bourses des principaux organismes subventionnaires (FQRSC et CRSH), elle a aussi obtenu la médaille académique de la Gouverneure générale en 2008 pour sa maîtrise.

catherine.charron.1@ulaval.ca

Hélène Charron

Hélène Charron enseigne en études féministes à l’Université Laval. Elle est également chercheure associée et adjointe à la titulaire de la Chaire Claire-Bonenfant – Femmes, Savoirs et Sociétés à l'Université Laval. Elle détient un diplôme de doctorat en sociologie de l'École des hautes études en sciences sociales à Paris et de l'Université de Montréal et a réalisé un post-doctorat au Centre interuniversitaire en études québécoises (CIEQ) entre 2009 et 2012.  Ses recherches portent principalement sur la division sexuée du travail dans les sciences sociales françaises et québécoises, dans une perspective sociohistorique. Elle a notamment publié La sociologie entre nature et culture : genre et évolution sociale dans L'Année sociologique aux presses de l'Université Laval, en 2011.

helene.charron@fsa.ulaval.ca

Sophie Dubé

Sophie Dubé est étudiante au doctorat en psychologie (recherche et intervention) à l’Université Laval. Elle est membre du groupe de recherche ÉVISSA (Équipe Violence Sexuelle et Santé) et du CRIPCAS (Centre de recherche interdisciplinaire sur les problèmes conjugaux et les agressions sexuelles). Sous la supervision de Mme Francine Lavoie, elle réalise un projet de thèse portant sur le rôle de l’état dépressif à l’adolescence et de l’agression sexuelle à l’enfance dans l’implication dans les aventures sans lendemain chez les adolescent/es et les conséquences de tels comportements. Elle a également travaillé à différents projets de recherche s’intéressant au thème de la sexualité, dont l’échange de services sexuels contre rétribution chez les adolescent/es et les danses érotisées non-rémunérées chez les jeunes adultes. Ces études seront présentées respectivement au 7ème Congrès international francophone sur l’agression sexuelle (CIFAS) en mai 2013 et au 74ème Congrès annuel de la Société canadienne de psychologie en juin 2013.

sophie.dube.3@ulaval.ca

Evelyne Dubuc Dumas

Evelyne Dubuc Dumas est diplômée du DESS en études féministes à l'Université Laval et détentrice d'une maîtrise en science politique de l'Université de Montréal. Elle navigue dans la grande famille anti-autoritaire depuis plus de dix ans et son port d'attache est le bar-coop autogéré l'AgitéE où elle a joué différents rôles depuis l'ouverture de l'établissement dans le quartier St-Roch à Québec. Elle fait partie du collectif Ainsi squattent-elles qui anime un magazine féministe et libertaire à la radio communautaire CKIA depuis 2006

evyrtuality@gmail.com

Marie-Claude Gingras-Olivier

Marie-Claude Gingras-Olivier est étudiante à la maîtrise en histoire de l'art avec concentration en études féministes à l'Université du Québec à Montréal. Ses recherches observent sous quelles formes se développe une troisième vague féministe au Québec, à partir des différents débats féministes actuels, et du déplacement de certaines problématiques vers une posture plus inclusive. Elle s'intéresse principalement au champ des théories postmodernes et queer libertaires ainsi qu'à la manière dont les pratiques d'art engagé et activiste favorisent l'émergence de nouveaux discours théoriques par l'action collective. Elle travaille actuellement sur les collectifs Les Fermières Obsédées et Women with Kitchen Appliances. Elle milite au sein des M.O.U.S.T.A.C.H.E.S. et du P!NK BLOC Montréal, un collectif queer et féministe né de la grève étudiante actuelle.

gingras-olivier.marie-claude@courrier.uqam.ca

Jessica Hamel-Akré

Actuellement candidate à la maîtrise en études littéraires avec une concentration en études féministes à l'Université du Québec à Montréal, Jessica Hamel-Akré explore, sous la direction de Martine Delvaux, les liens entre violence et féminité lors de la construction de l'identité sexuée des filles en l'inscrivant dans un contexte de classe et de race tel que décrit par la littérature états-unienne des femmes. Pendant deux ans, elle a participé comme rédactrice à la revue Féminétudes. Elle est maintenant directrice de la revue littéraire Postures. Elle a également été conférencière lors du colloque interdisciplinaire « Féminisme et changement social » de l'Université Féministe d'Été à l’Université Laval en 2012.

hamel.jessica_lynn@courrier.uqam.ca


Sarah Jacob-Wagner

Sarah Jacob-Wagner détient un baccalauréat en science politique de l’Université Laval et elle complète présentement, sous la direction d’Anne-Marie Gingras,  une maîtrise en science politique avec mémoire au sein du même établissement. Au cours de sa formation de baccalauréat, elle a étudié pendant un semestre à l’Institut d’études politiques de Lille (France). Ses intérêts de recherche concernent la sociologie politique, la politique comparée et le féminisme. Son mémoire de maîtrise porte sur le traitement médiatique des affaires DSK en France et aux États-Unis. Plus précisément, elle s’intéresse à la manière dont la distinction privé/public et la distinction libertinage/violence sexuelle ont été traitées dans le contexte de ces affaires.

sarah.jacob.wagner@gmail.com

Geneviève Lafleur

Geneviève Lafleur est étudiante au doctorat en histoire de l’art et à la concentration de troisième cycle en études féministes à l’Université du Québec à Montréal, sous la direction de Thérèse St-Gelais et Yolande Cohen. Ses recherches actuelles, financées par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, portent sur les femmes ayant créé et dirigé des organismes de diffusion des arts visuels au Québec dans les décennies 1940 et 1950. Elle a pour hypothèse que ces femmes ont joué un rôle de premier plan dans le développement et la reconnaissance de la modernité artistique au Québec, mais que cet apport a été jusqu’alors minorisé dans l’histoire de l’art. Elle a été commissaire, a l’été 2011, de l’exposition Down the rabbit hole, De l’autre côté du miroir à La Centrale Galerie Powerhouse et est rédactrice pigiste pour la galerie Art Mûr depuis 2007. Membre du collectif féministe Les Déferlantes, elle a participé à la coordination du colloque Féminisme(s) en mouvement / Feminism(s) in motion (2008) et à la direction de l’ouvrage Remous, ressacs et dérivations autour de la troisième vague féministe, publié par les éditions du remue-ménage (2011).

lafleur.genevieve.2@courrier.uqam.ca


Vincent Landry

Vincent Landry est présentement étudiant à la maîtrise en études françaises à l'Université de Sherbrooke et membre du Réseau québécois en études féministes (RéQEF). Alors qu'il effectue des études en psychologie, il est introduit à l'univers des lettres par ses lectures du philosophe Karl Marx et du fondateur de la psychanalyse Sigmund Freud. Bien vite, les approches psychanalytiques et marxistes le guident vers les études féministes où les notions de représentation de la sexualité, d'altérité et de rapports de domination recouvrent ses champs d'intérêt. Il axe alors ses recherches sur la littérature pornographique, l'agentivité sexuelle des personnages féminins et sur les scripts sexuels relayés dans la littérature contemporaine. Son mémoire de maîtrise porte sur le genre trouble qu'est l'autofiction théorique féministe. Par l'étude des œuvres de Virginie Despentes, Wendy Delorme et Beatriz Preciado, il souhaite déterminer l'interinfluence de l'écriture autofictionnelle théorique et de la construction d'une identité postmoderne queer propre au métaféminisme.

À la croisée de la mise en scène de soi et de la théorisation d'un féminisme de la troisième vague, cette autofiction théorique permettrait, tant aux féministes de la deuxième vague qu'à celles de la troisième, d'attaquer les bases du régime patriarcal dominant, du capitalisme ou, comme c'est le cas chez Preciado, du féminisme libéral, autant de métarécits décriés par les tenants de la postmodernité. Dans le futur, il s'emploiera à établir une généalogie de l'autofiction théorique qui remonterait jusqu'à la fiction théorique québécoise.

vincent.landry@usherbrooke.ca

Kévin Lavoie

Bachelier en service social de l'Université Laval, Kévin Lavoie complète présentement une maîtrise en travail social à l'Université du Québec en Outaouais, en collaboration avec l'Université de Liège en Belgique. Son mémoire de maîtrise consacré aux représentations sociales de la violence dans les couples d'hommes gais bénéficie du soutien du Conseil de recherche en sciences humaines du Canada, du Fonds de recherche Société et culture du Québec, de la Fondation de l'Université du Québec en Outaouais et du Conseil québécois LGBT. Dans le cadre de ses travaux de recherche, il s'intéresse à la violence conjugale chez les couples de même sexe, ainsi qu'aux pratiques émergentes de lutte contre l'homophobie et à l'intervention auprès des personnes de minorités sexuelles et de leurs parents. Il mène présentement une étude exploratoire sur les familles lesboparentales recomposées, à titre d'assistant de recherche au sein de l'ARUC Séparation parentale, recomposition familiale basée à l'Université Laval. Il est également agent de développement et formateur à la Coalition des familles homoparentales, dans le cadre du projet De la diversité familiale aux stratégies pour en finir avec l'homophobie financé par le ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport du Québec. Précédemment, il a été responsable des services d'information et de sensibilisation au Groupe régional d'intervention sociale de Québec, un organisme communautaire qui vise à promouvoir une vision positive de l'homosexualité et de la bisexualité en vue de favoriser une intégration harmonieuse des personnes gaies, lesbiennes et bisexuelles dans la société.

kevin.lavoie@me.com

Caroline Moisan

Caroline Moisan a fait un baccalauréat en psychologie pour ensuite poursuivre ses études en anthropologie de la santé dans le cadre d'une maîtrise avec mémoire à l’Université Laval. Son mémoire portait sur l’évaluation du programme national de santé « Swadhar » élaboré pour aider les femmes indiennes en détresse. Elle a participé à plusieurs projets de recherches au Québec, en Inde, en Malaisie et au Nunavik. Elle a également travaillé comme auxiliaire d’enseignement en psychologie communautaire et environnementale, anthropologie et orientation. Ces intérêts de recherche se situent principalement en santé communautaire, inégalités sociales, déterminants de la santé et en santé des femmes au Nunavik et en Inde. Caroline a également débuté un doctorat en épidémiologie et travaille en ce moment comme professionnelle de recherche au Centre de recherche du Centre Hospitalier Universitaire de Québec.


Catherine Plouffe Jetté

Catherine Plouffe Jetté est étudiante à la maîtrise en Administration et évaluation en éducation, concentration Fondements sociaux de l’éducation, à l’Université Laval, avec une spécialisation en Études féministes. Elle est détentrice d’un baccalauréat en enseignement du français au secondaire de l’Université du Québec en Outaouais et d’un certificat en littérature québécoise à l’Université Laval. Dans le cadre de sa maîtrise, elle s’intéresse aux rôles des médias chez les filles, à la littérature jeunesse, aux stéréotypes et aux rapports sociaux de sexe. Elle travaille comme animatrice au Centre filles de la YWCA Québec et elle fait partie du comité exécutif de la FEMUL (association étudiante féministe de l’Université Laval) et de l’équipe du blogue Jesuisféministe.com.

catherine.plouffe-jette.1@ulaval.ca

Joëlle Steben-Chabot

Détentrice d’un baccalauréat en science politique de l’Université Laval, Joëlle Steben-Chabot complète actuellement une maîtrise en science politique au sein de la même institution, sous la direction de François Gélineau. Son mémoire de maîtrise portera sur l’abstentionnisme au Québec. Elle est également étudiante-chercheure au sein de la Chaire de recherche sur la démocratie et les institutions parlementaires où elle a travaillé sur différents projets, de la participation électorale au rôle des députés en circonscription, passant par la perception du lobbyisme chez les titulaires de charges publiques. Toutefois, ses intérêts de recherche se portent plus largement sur la politique comparée et le féminisme.

joelle.chabot@gmail.com

Marie-Ève Thibodeau

Étudiante au doctorat en psychologie (recherche et intervention) à l’Université Laval, Marie-Ève Thibodeau est membre du groupe de recherche ÉVISSA (Équipe Violence Sexuelle et Santé) et du CRIPCAS (Centre de recherche interdisciplinaire sur les problèmes conjugaux et les agressions sexuelles), ainsi que membre bénévole dans un CALACS (Centre d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel). Son intérêt pour le thème de la violence sexuelle se reflète également dans ses nombreux projets de recherche. En effet, la thèse qu’elle réalise sous la direction de Mme Francine Lavoie s’intéresse au lien entre l’agression sexuelle à l’enfance et l’implication dans les amitiés avec bénéfices à l’adolescence. Ses autres intérêts de recherches portent sur les différents comportements sexuels intimes et non intimes à l’adolescence. Son premier article traitant des activités sociales sexualisées est présentement sous presse. Les recherches auxquelles elle participe feront l’objet de trois communications à venir en 2013: dont une au CIFAS (Congrès international francophone sur les agressions sexuelles) en mai, une à l’ACFAS (Association francophone pour le savoir) en mai, et une autre au 74e Congrès annuel de la Société canadienne de psychologie en juin.

m-eve.thibodeau.1@ulaval.ca

Éliane Trottier

Éliane Trottier est candidate à la maîtrise en histoire à l’Université Laval, sous la direction d’Aline Charles. Ses études cherchent à croiser deux critères d’analyse historique : l’âge et le genre. C’est dans cet esprit que ses recherches portent sur l’histoire des Québécoises au cours de la Seconde Guerre mondiale, dans une perspective d’âges de la vie. Son mémoire de maîtrise se penche sur les questions des seuils d’âges, des cycles de vie et des rapports générationnels chez les femmes de la province entre 1939 et 1945, dans un contexte où les modèles féminins sont questionnés par l’effort de guerre et les discours patriotiques.

En plus de ses activités académiques, elle s’intéresse aussi à la transmission des connaissances en histoire et aux activités de développement culturel. C’est dans cette optique qu’elle s’implique dans sa communauté à titre de vice-présidente de Culture et Patrimoine Deschambault-Grondines et que bon nombre de ses expériences de travail ont pour mission la vulgarisation ou la diffusion de l’histoire québécoise auprès de différents publics. Ses intérêts convergent également vers le développement durable sous tous ses angles, ce qui l’a poussée à entreprendre une formation en responsabilité sociale et environnementale des organisations et à participer activement à la mise en œuvre d’une politique de développement durable pour les municipalités de Deschambault-Grondines et de Portneuf, ainsi qu’à l’élaboration d’un plan de mobilité durable pour le quartier Saint-Sauveur, à Québec.

eliane.trottier@hotmail.com

Ariane Vinet-Bonin

Ariane Vinet-Bonin est détentrice d’un baccalauréat en psychologie de l’Université de Montréal et d’un diplôme d’études supérieures spécialisées en études féministes de l’Université Laval. Elle a travaillé à différents projets de recherche sur la santé en lien avec l’immigration et les rapports sociaux de sexe. Depuis les dernières années, ses intérêts de recherche, d’intervention et son engagement social ont trait plus spécifiquement à la question de l’exploitation sexuelle commerciale. Elle poursuit actuellement des études de maîtrise à l’École de service social de l’Université de Montréal. Son projet de mémoire porte sur les obstacles auxquels sont confrontées les femmes en processus de sortie de la prostitution pour pouvoir bénéficier ressources d’aide accessibles et adaptées à leurs besoins.

ariane.vinet-bonin@umontreal.ca



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le mercredi 17 avril 2013 10:03
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie retraité du Cégep de Chicoutimi.
 



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