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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

Alice Parizeau, La charge des sangliers. Roman. (1982)
Quatrième de couverture


Une édition électronique réalisée à partir du roman d'Alice Parizeau, La charge des sangliers. Roman. Ottawa: Le Cercle du livre de France, ltée; Montréal: Les Éditions Pierre Tis-seyre, 1982, 384 pp. Une édition numérique réalisée par Réjeanne Toussaint, bénévole, Chomedey, Ville Laval, Québec. [Autorisation formelle accordée par M. Jacques Parizeau, économiste, ancien premier ministre du Québec, le 18 septembre 2006 de diffuser la totalité des publications de sa première épouse décédée.]

Quatrième de couverture

UNE SAGA, UN GRAND AMOUR, UN PAYS...

Après « Les lilas fleurissent à Varsovie », le deuxième volume de la saga d'Alice Parizeau relate la façon suivant laquelle ses personnages ont vécu l'épopée de Solidarité.

Le conflit entre le pouvoir et la société, les luttes pour la reconnaissance des syndicats libres, la crise au sein du Parti et les prétendus suicides de certains de ses dirigeants, constituent la trame de ce roman des années 1980-1982.

Autour de Kazik et Inka qui vivent un grand amour, évoluent André, Helena, Robert, Irena et Maria Solin. Chacun à sa manière, il se battent pour la démocratie, la liberté et l'indépendance de la Pologne, victime de l'impérialisme soviétique dont Magda, la paysanne, dira « qu'il faut en parler pour que le monde sache ce qui l'attend. »

Comme dans « Les lilas fleurissent à Varsovie », Alice Parizeau a réussi, dans « La charge des sangliers », à mêler la vérité historique à la fiction, ce qui rend cette saga polonaise vivante et fascinante.

Alice Poznanska-Parizeau, née en Pologne, d'une mère très belle et d'un père très amoureux d'elle, élevée dans le maquis (AK), éduquée en France, adoptée par le Québec, a fait plusieurs métiers.

À dix ans, agent de liaison, soldat de l'insurrection de Varsovie, prisonnier de guerre (Allemagne), étudiante (baccalauréat, École des Sciences Politiques, Faculté de Droit - France), clerc d'avoué (Paris), annonceur de radio (Québec), responsable de l'organisation d'une bibliothèque économique pour une banque, officier de réhabilitation du service de la ville de Montréal, journaliste (quotidiens et revues), recherchiste pour la télévision (Radio-Canada), analyste et chargée de mission pour trois Commissions Royales d'Enquête (deux fédérales et une provinciale), co-fondatrice de la Société Québécoise de Protection de l'Enfance et de la Jeunesse, titulaire de recherche (criminologie, Université de Montréal), écrivain québécois.

De l'avis d'Alice Parizeau :

- Le plus beau métier du monde : journaliste et écrivain.
- La plus importante richesse : la vie.
- Le plus grand drame : l'infirmité.
- Le plus grave problème : l'impuissance.


Retour au texte de l'auteure: Colette Parent, criminologue, Université d'Ottawa Dernière mise à jour de cette page le vendredi 13 mars 2009 8:58
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue,
professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi.
 



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