RECHERCHE SUR LE SITE

Références
bibliographiques
avec le catalogue


En plein texte
avec Google

Recherche avancée
 

Tous les ouvrages
numérisés de cette
bibliothèque sont
disponibles en trois
formats de fichiers :
Word (.doc),
PDF et RTF

Pour une liste
complète des auteurs
de la bibliothèque,
en fichier Excel,
cliquer ici.
 

Collection « Les sciences sociales contemporaines »

Une édition électronique réalisée à partir de l'article de Jean-Macaire MUNZELE Munzimi, “ÉLAN DE SOLIDARITÉ DANS LES ÉGLISES DE RÉVEIL DE LA DIASPORA.” Un article publié dans la revue Mouvements et Enjeux sociaux, no 78, mai-juillet 2013, pp. 55-65. [M Jean-Macaire MUNZELE Munzimi, nous a accordé le 1er mai 2014 son autorisation de diffuser électroniquement cet article dans Les Classiques des sciences sociales.]

Jean-Macaire MUNZELE Munzimi

Élan de solidarité
dans les Églises de réveil de la diaspora
”.

Un article publié dans la revue Mouvements et Enjeux sociaux, no 78, mai-juillet 2013, pp. 55-65.

Introduction
Quel type d’approche théorique ?
La crise économique comme creuset de la solidarité
Conclusion

INTRODUCTION

Les « Églises de Réveil » forment un assemblage hétéroclite issu du christianisme. Leur origine et leur expansion remontent au XIXe siècle, lorsqu’aux États Unis d’Amérique fut créé un grand mouvement de réveil religieux dénommé Great Awakening [1]. Si certaines de ces Églises ont une ligne doctrinale et/ou des enseignements adaptés par des pasteurs indépendants, d’autres par contre font partie des structures plus ou moins vastes. Selon Mwene Batende, ces Églises peuvent se regrouper en deux catégories : la première reprend les pentecôtistes, les prophétiques, les messianiques, les nativistes et la deuxième est constituée de mouvements issus des religions telles que l’hindouisme, le bouddhisme, le taoïsme, etc. [2].

Les Églises de réveil dont il est question ici relèvent de la première catégorie. Situées à Anvers en Belgique, elles sont généralement « D’obédience pentecôtiste et évangélique,…issues des migrations congolaises (RDC), elles se comptent à l’échelle de l’Europe, par centaines, pour ne pas dire par milliers » [3].

Force est de constater que l’émergence fulgurante de ces nouvelles formes de religiosité et leur soudaine vitalité posent problème aux yeux de tout esprit critique et lucide. Les questions récurrentes qui nous viennent à l’esprit concernent à la fois les réelles motivations derrière la foi chrétienne qu’elles professent, la prétention qu’elles affichent à résoudre les problèmes quotidiens de leurs adeptes, et le mode opératoire qui fait qu’elles jouissent d’une attraction et d’une popularité grandissante auprès d’un public sans doute naïf et consentant.

C’est pour répondre à ces questionnements que nous avons entrepris d’écrire cet article. Notre hypothèse de base se fonde sur le postulat que les pratiques de solidarité qui s’observent dans ces Églises constituent une soupape de sécurité pour des membres de la diaspora en situation précaire. Pour étayer notre propos, nous avons du recourir aux différentes méthodes et techniques sociologiques ; notamment les entretiens semi-directifs [4] et les  observations ethno méthodologiques (Breaching) [5]. De part les explications et les réponses nous fournies par plusieurs membres de la diaspora et adeptes à ces Églises, nous avons pu déceler les raisons et les motivations derrière le dynamisme apparent de ces Églises d’une part, et la distorsion entre le discours des animateurs de ces Églises et le vécu quotidien de leurs ouailles. Il était également possible de dresser le profil plus ou moins significatif de la plupart de ces fideles.

Enfin, la grille de lecture qui nous a permis l’interprétation de ces faits sociologiques émane de l’application du principe ethno méthodologique d’Alfred Schütz selon lequel « les individus sont tous des sociologues à l’état pratique ». De ce point de vue, ils sont à même de décrire ce qu’ils vivent au quotidien. Le sociologue n’a pas le monopole du savoir sur les acteurs. Il ne peut qu’exercer un regard critique dans l’exercice de sa profession.

Quel type d’approche théorique ?

La dynamique de solidarité qui s’observe dans les Églises de réveil à Anvers [6] peut être appréhendée sous deux types d’approche: une approche matérialiste (utilitariste) et une approche anthropologique. La dimension spirituelle est le socle sur lequel repose ces deux approches.

L’approche matérialiste repose sur les enjeux économiques. En effet, les motivations d’ordre essentiellement économique sont à la base de la création de ces Églises. Nombre d’adeptes les fréquentant sont frappés durement par la crise économique, le chômage et la pauvreté. Vivant comme des reclus, traumatisés et fragilisés par leur précarité, ils trouvent le réconfort nécessaire dans les prêches enflammées du culte dominical, rythmé par des chants envoûtants et aux accents très évocateurs qui rappellent sans cesse la musique « mondaine » que les chrétiens désapprouvent quand bon leur semble. Dans ces prêches, prospérité et succès font bon ménage. Les prédications tournent généralement autour de ces mots. Subtiles et instrumentalisant leurs adeptes, certains pasteurs n’hésitent pas à s’octroyer un salaire. Pour seul argument, ils consacrent tout leur temps à prier et à veiller sur le peuple de Dieu. Sont-ils reconnus par l’État ? Paient-ils des impôts liés à leur statut de pasteur? Telles sont les questions qui restent en suspens et laissent incrédules tout esprit lucide.

Suivant toujours cette approche matérialiste (utilitariste), le succès des Églises de réveil se construit au rythme de la détérioration de la conjoncture économique qui déstructure les valeurs communautaires (solidarité, amour, partage) au profit de la modernité (individualisme). Confrontés aux difficultés d’intégration dans le pays d’accueil, des membres de la diaspora congolaise ont tendance à se diriger vers les Églises de réveil dans lesquelles ils espèrent trouver leur salut. Celles-ci sont alors un exutoire au sein duquel se résolvent les tensions et les incertitudes de tout genre. Ainsi, le pasteur sort de son rôle traditionnel (ne se limite plus à l’enseignement biblique) en devenant un « père social ». Son implication dans le vécu concret de ses adeptes prend une dimension plus importante. Il n’hésite pas non plus à s’identifier au Christ. Il entend aussi « réaliser un accompagnement qui promeut l’éclosion de nouveaux modes de rapports interindividuels et apporter une légitimation religieuse à l’autonomie du sujet » [7].

L’approche anthropologique considère les mouvements (Églises) de réveil comme un « véhicule des imaginaires et des nouvelles formes de subjectivité. Ils ont une signification politique et un impact sur les changements historiques. Ce sont les modes de subjectivation par lesquels les membres se constituent en tant que sujets moraux, prônant des conduites de vie et des stylistiques de l’existence » [8].

Ainsi, face à la dévalorisation qu’impose le chômage, à la dureté des conditions de vie, que le discours léinifiant de ces Églises soit porteur d’espoir pour des gens désemparés n’est pas étonnant. L’espoir fait vivre, dit-on. Un tel contexte n’est-il pas propice à leur foisonnement?

La prolifération des Églises de réveil [9] qui s’observe en RDC trouve un prolongement parmi les membres de la diaspora de ce pays [10]. En Belgique, par exemple, où vit une importante communauté congolaise, ces Églises rivalisent d’ardeur.

La crise économique
comme creuset de la solidarité


Face aux avatars de la conjoncture économique et à leur statut socioéconomique instable, les immigrés sont plus durement touchés par le chômage que les autres catégories sociales. Fragilisés par cet état de choses, ils sont contraints à s’organiser. L’élan de solidarité qui s’observe dans ces Églises de réveil apparaît comme une alternative susceptible de faciliter l’accueil et l’insertion de nouveaux arrivants. Voici ce qu’en dit Estanilas Ngodi :

« Le recours  au religieux  est  devenu  une  alternative  pour  les populations  urbaines dans  le  tissage des  liens  confraternels et  des réseaux  d’influence. Ces  populations  tendent  de plus  en plus  à construire ou  à  conforter  leur  statut social  et à résoudre  les  problèmes quotidiens  par l’activisme religieux (malheur, infortune, maladie…). Il s’agit  là des  moyens de revitaliser les  vies  chrétiennes  et  de restaurer la vitalité des Églises  indépendantes. Les  Églises  de  Réveil  se  présentent  comme   des  lieux  de  guérison  sociale, où  la  solidarité joue  à plein et où se  recréent  les  liens  rompus  dans  la crise des modes de fonctionnement familiaux » [11].

Suivant l’approche anthropologique, les Églises de réveil semblent « Récupérer et restaurer la fonction de régulation et la force de vitalisation jadis assurées par les religions traditionnelles… En outre, elles récupèrent le climat de fraternité, de solidarité et de prise en charge mutuelle caractéristiques des sociétés traditionnelles et que recommande l’Évangile» [12]. Elles se veulent des havres de paix où se mène une lutte contre le processus de l’individualisation et du relâchement des mœurs de la société qu’impose la mondialisation économique.

Cette tendance à la resocialisation est soutenue par une assistance morale (funérailles, maladie) et matérielle (cotisation, entraide…). Ces Églises sont un trait d’union entre le pays d’accueil et celui d’origine. L’éloignement d’avec ce dernier fait que nombre d’immigrés trouvent dans celles-ci un lieu de ressourcement, d’écoute et de solidarité que les structures du pays d’accueil n’offrent pas toujours. Pour avoir été coordonnateur de projets de développement durant des années en Belgique, j’ai pu côtoyer différentes associations des migrants et me rendre compte de l’existence au sein des Églises de réveil d’un mécanisme opératoire qui ressemble fort aux tontines. Celles-ci s’organisent suivant un mode rotatif. Des critères d’ancienneté, de régularité, d’assiduité à la prière…, etc. sont essentiels pour bénéficier d’une assistance.

Les nouveaux arrivants doivent prouver par leur assiduité à la prière et leur participation aux manifestations organisées au sein de l’Église qu’ils sont dignes de confiance pour mériter une assistance et de surcroit la reconnaissance de celle-ci. Les actes de solidarité englobent des aides financière ou matérielle.

Le mode mis en place pour bénéficier de cette assistance révèle la structure qui régente le fonctionnement de l’Église. Si en théorie, l’Assemblée générale est l’organe le plus élevé qui ordonne et acte les décisions importantes, en pratique, c’est le pasteur et les anciens qui décident de tout. L’Assemblée générale devenant un organe figuratif. Au début de chaque mois, une liste de personnes nécessiteuses est dressée et transmise aux anciens (ceux qui ont vu l’Église naître). En position confortable et étant au cœur du dispositif de solidarité qui dynamise la vie de l’Église, ils orientent et influencent la marche de l’Église. Rien ne parvient au « père » pasteur, (qu’ils ont désigné) sans leur accord. En l’absence de celui-ci, l’un d’eux officie en qualité de diacre et préside la prière. Au bas de l’échelle se trouve l’ensemble des ouailles dont le rôle protocolaire et folklorique est d’entériner les décisions prises par les instances les plus « importantes » de l’Église.

Si les critères présentés paraissent acceptables pour tous, leur application rencontre parfois des difficultés lorsque certaines catégories de personnes qui ne répondent pas aux critères énoncés mais se trouvent dans une extrême urgence matérielle. L’ordre établi s’en trouve ainsi perturbé parce qu’il faut répondre à l’urgence et compte tenu de la position de la personne demanderesse.

Gustave (56 ans), diacre d’une Église de réveil d’Anvers m’a raconté ce qui suit : « Quand j’étais un sans-papiers, le loyer de ma famille ainsi que les charges (électricité et eau) étaient payées par l’Église. Aujourd’hui, je suis très reconnaissant envers tous mes frères et sœurs qui se sont dévoués pour moi ». En effet, depuis quelques mois ce diacre est régularisé. Durant sa période des vaches maigres (où il vivait des offrandes collectées), il a pu compter sur une solidarité sans faille au moment où il en avait le plus besoin. Une solidarité qui lui a fait défaut malgré ses demandes auprès des associations officielles s’occupant des Sans papiers.

Gisèle (45 ans), adepte a déclaré ce qui suit :

« Grâce à mes connaissances, en ma qualité de membre d’une « Église de réveil » où on se considère tous comme frères et sœurs, je peux compter sur la solidarité des autres membres au cas où il deviendrait difficile pour moi de payer mes dettes. En général, je prends quelques denrées et paie à la fin du mois ».

Ces propos reflètent le désarroi et la précarité dans lesquels se trouve confinée cette femme. Elle manque de liquidité pour honorer ses achats. Mais, elle connaît bon nombre d’épiciers avec qui elle a su tisser des liens. Pour éviter la spirale d’un endettement sans fin, elle n’hésite pas à faire appel à la solidarité des membres de son Église qui peuvent organiser une collecte en sa faveur. Cependant, il est impensable qu’elle puisse recourir continuellement à la solidarité de la communauté car elle n’est certainement pas la seule à être en difficulté. En outre, les petits détaillants qui lui font crédit de temps en temps connaissent eux-mêmes des difficultés dans leur approvisionnement. Du jour au lendemain, et pour des raisons économiques, ils peuvent ne plus être capables de continuer à lui faire crédit.

L’Église « La Vie Nouvelle » d’Anvers fournit un autre exemple de solidarité comme le rapportent Musitu Lufungula W. et Kitoko Matumona W :

« Cette église se caractérise par des activités de solidarité essentiellement en faveur de ses membres. En effet, l’Église visite, assiste et accompagne les membres confrontés à des événements malheureux de la vie : maladie, accident, décès, etc. Cette assistance peut prendre la forme d’interventions matérielles ou financières rendues possibles par les cotisations ponctuelles des membres »[13].

En outre, les interventions sont destinées « En priorité aux plus démunis de la communauté. C’est le cas notamment d’un sac de riz et d’un sac de semoule de blé distribués il y a peu à deux familles monoparentales…. Au sein de l’Église existe « Une petite caisse « du social » alimentée chaque premier dimanche du mois par des cotisations non obligatoires des membres et sympathisants.  Un emprunt peut être sollicité en fonction de disponibilités et en cas d’extrême nécessité. Lorsque l’argent emprunté ne peut être remboursé, il peut alors se muer en don » [14].

Au-delà de l’aide financière et matérielle, surgit la chaleur humaine qui agit comme un véritable catalyseur des relations sociales. La vitalité de l’Église s’en retrouve ainsi renforcée. Un renforcement illustré par le dynamisme des femmes « Dont les rencontres mensuelles se tiennent aux domiciles des membres de façon alternée. Ce groupe a entre autres objectifs l’entraide, l’organisation des enseignements en rapport avec les droits et devoirs de la femme au foyer, l’éducation des enfants, l’économie domestique etc. En ce qui concerne l’entraide par exemple, les mamans rendent visite à leur consœur devenue mère et lui apportent des cadeaux (pampers, etc.). La maman visitée offre en retour à boire et à manger à ses hôtes » [15].

Du point de vue anthropologique, la solidarité (collecte d’argent, cotisations mensuelles) qui s’organise dans ces Églises permet de soulager tant soi peu la misère des membres. Cependant, il y a lieu de craindre que certains pasteurs véreux ne puissent abuser de leurs adeptes.

Du point de vue utilitariste, les recettes générées par la vente des objets tels que les DVD, les cassettes audio, les T-shirt et les produits cosmétiques doivent prioritairement servir à l’Église au nom de laquelle les transactions se font. Mais, en réalité,  il n’en est rien. Car, le profit généré par la vente de ces objets prend souvent une destination inconnue de l’auguste assemblée chrétienne comme le constatent avec amertume des adeptes désabusés. Les inquiétudes soulevées par ces derniers semblent fondées d’autant plus que les pasteurs exploitent la solitude, la détresse et le désespoir des adeptes afin de réaliser des affaires juteuses sur leur dos.

Conclusion

Pour comprendre l’engouement des Congolais de la diaspora (ceux habitant Anvers en Belgique), pour les Églises de réveil, nous avons opté pour une approche ethno méthodologique appuyée par des entretiens semi directifs.

Les approches théoriques choisies (utilitariste et anthropologique) ont permis de cerner le soubassement de la solidarité qui s’observe dans les Églises de réveil. Cependant, si celle-ci permet tant soi peu de soulager la misère des ouailles, il faut reconnaître que derrière cet élan de solidarité se cache un obscurantisme qui désole. Des affaires juteuses se réalisent sur le dos des ouailles crédules à souhait. Certains pasteurs véreux abusent de la confiance de ces derniers pour s’enrichir au détriment des valeurs qu’ils proclament. Il y a là, un œil à ouvrir par toutes les composantes de la diaspora : parents, sociologues, encadreurs des ouailles et toutes les personnes de bonne foi qui doivent s’impliquer afin d’arrêter toute dérive. Un contrôle externe de ces Églises amènerait un minimum de transparence. Sinon, le risque de créer des petits gourous est réel.

Jean-Macaire MUNZELE Munzimi



[1] Le terme de Great Awakening est apparu vers 1842. Ce grand réveil correspond à une période de redynamisation de la vie religieuse.  Joseph Tracy consacre un ouvrage au renouveau religieux qui débuta en Grande-Bretagne avant de connaître une grande expansion aux États-Unis avec la création d’un groupe portant le même nom.

[2] MWENE BATENDE., « Les sectes : un signe des temps ? Essai d’une lecture sociologique des religions nouvelles issues du christianisme », in Sectes, Cultures et Sociétés., Actes du colloque international du C.E.R.A du 14 au 21 novembre 1992, Facultés catholiques, Kinshasa, 1994, pp. 25-42.

[3] DEMART S., « Le combat pour l’intégration’ des Églises issues du Réveil congolais (RDC) », Revue européenne des migrations internationales, vol. 24, n°3, 2008.

[4] Les entretiens ont été réalisés durant la période allant du 29 juin au 28 août 2012 auprès des membres de la communauté congolaise fréquentant les Églises de réveil et habitant la ville d’Anvers.

[5] COULON A., L’ethnométhodologie, Paris, PUF, 2007.

[6] La ville d’Anvers compte une vingtaine d’Églises de réveil notamment l’Arche de l’Eternel, Mont de Sion, Nouvelle Alliance, La Nouvelle Jérusalem, Le Trône de l’Eternel, Mont des Oliviers, Source de bénédiction, Bima, Bétsheda, Nzambe malamu, Cité Bethléem, Sans Précieux, Plein Réveil, La bonne Semence, Vie Comblée, Le Rocher du salut, Table de Pierre, La Grâce de Dieu, Vie Nouvelle, L’Église d’Anvers

[7] NGODI E., « Foisonnement religieux et crise urbaine au Congo-Brazzaville », in CESNUR, Communication faite à Palerme, Sicile, 2005.

[8] Idem.

[9] SAINT MOULIN (De)., La perception du salut et de la délibération à Kinshasa, http//www.cenco.cd.facultescath/saintmoulin.htm, consulté le 23 décembre 2012.

[10] Rien que pour la ville de Kinshasa, on enregistre plus de 8000 Églises de réveil

[11] NGODI E.,Op. cit., 

[12] MUNDAYA Baheta., «L’apport des sectes dans la conception de la théologie chrétienne. Les enjeux spirituels du temps présent », in Sectes, Cultures et Sociétés., Actes du colloque international du C.E.R.A du 14 au 21 novembre 1992, Facultés catholiques, Kinshasa, 1994, pp. 155-164.

[13] MUSITU Lufungula W et KITOKO Matumona W., « Nouveaux mouvements religieux et identité culturelle », texte inédit, une publication originale des Classiques des Sciences Sociales, 6 avril 2007, 21p.

[14] MUSITU Lufungula W et KITOKO Matumona W., Op. cit.,

[15] Ibidem



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le mercredi 18 avril 2018 7:28
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur associé, Université du Québec à Chicoutimi.
 



Saguenay - Lac-Saint-Jean, Québec
La vie des Classiques des sciences sociales
dans Facebook.
Membre Crossref