François L’Iitalien, PRAXIS ET SUBJECTIVITÉ. Contribution à la critique de la philosophie de la pratique de Marx

PRAXIS ET SUBJECTIVITÉ.
Contribution à la critique de la philosophie de la pratique de Marx (2004)
Table des matières

Une édition électronique réalisée à partir de François L’Iitalien, PRAXIS ET SUBJECTIVITÉ. Contribution à la critique de la philosophie de la pratique de Marx. Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures de l’Université Laval dans le cadre du programme de maîtrise en sociologie pour l’obtention du grade de Maître es Arts (M.A.), Département de sociologie, Faculté des sciences sociales, Université Laval, Québec, avril 2004, 155 pp. [Directeur de thèse: M. Olivier Clain, sociologue, directeur du département de sociologie.]. [Autorisation accordée par l'auteur le 11 avril 2007 de diffuser son mémoire de maîtrise dans Les Classiques des sciences sociales.]

Table des matières

Résumé

Remerciements

Introduction

Chapitre 1. L’affirmation du caractère singulier et autodéterminé de l’acte d’être dans différence de la philosophie naturelle chez Démocrite et chez Épicure (1841)

1. Déclinaison de l’atome et loi de la chute. À propos de la contradiction apparente de la physique épicurienne.

2. Sur la différence entre affirmation et régulation, entre logique de production et logique de reproduction de l’être.

Chapitre 2. Le problème de l’identité de l’activité individuelle et de l’essence politique dans la critique de la philosophie de l’État de Hegel (1842-1843)

1. De la subsomption à la généalogie. Le refus de la transcendance et le renversement de la problématique hégélienne de l’État.

2. La recherche de l’immanence dans l’essence politique. À propos de l’«hyperhégélianisme» de Marx.

Chapitre 3. L’activité pratique comme procès d’auto-objectivation de soi de l’homme dans les manuscrits de 1844

1. L’homme au fondement de l’être. L'identification de l’activité générique et du procès d’auto-objectivation de soi de la conscience.

2. Le caractère «théorique» de la pratique feuerbachienne. La signification du matérialisme subjectif du jeune Marx et l’élucidation de l’essence objective de la sensibilité.

Chapitre 4. La détermination de l’essence subjective de la praxis dans les thèses sur Feuerbach (1845)

1. Les fondements subjectifs de la praxis. La mutation décisive du concept de pratique et la critique du caractère contemplatif de l’être de l’action chez Hegel.

2. Entre subjectivité et objectivité de l’action. Les modalités du renversement de l’ontologie de l’objectivité et la question de la pratique sociale.

Chapitre 5. La généalogie de l’idéologie et la critique des catégories dans l’idéologie allemande (1846)

1. Les fondements de la représentation et la généalogie de l’idéologie. La détermination henryenne des trois moments du rapport entre réalité et représentation et l’élucidation des modes d’être de l’idéologie.

2. La critique marxienne des catégories. La question de la réalité de la connaissance et le caractère aporétique de la doctrine de la vérité chez Marx et Henry.

Chapitre 6. Les réalités de la praxis. Éléments pour une théorie générale de l’activité pratique.

1. La question du statut des médiations symboliques. Sur l’objection de Paul Ricœur

2. Éléments pour une théorie générale de l’activité pratique. Les quatre moments formels de la praxis.

Conclusion

Bibliographie