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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

HISTOIRES D'IMMIGRÉES.
Itinéraires d'ouvrières colombiennes, grecques, haïtiennes et portugaises de Montréal
. (1987)
Avant-propos


Une édition électronique réalisée à partir du livre de Micheline Labelle, Geneviève Turcotte, Marianne Kempeneers, Deidre Meintel, HISTOIRES D'IMMIGRÉES. Itinéraires d'ouvrières colombiennes, grecques, haïtiennes et portugaises de Montréal. Montréal: Les Éditions du Boréal Express, 1987, 275 pp. Une édition numérique réalisée par Diane Brunet, guide de musée, retraitée du Musée de La Pulperie à Chicoutimi. [L'auteure nous a accordé sa permission de diffuser en libre accès à tous ce livre dans Les Classiques des sciences sociales le 9 janvier 2018.]

[7]

HISTOIRES D’IMMIGRÉES.
Itinéraires d’ouvrières colombiennes, grecques,
haïtiennes et portugaises de Montréal.

Avant-propos

Ce livre est le fruit d'une longue enquête menée auprès de soixante-seize ouvrières immigrées de Montréal. Leurs témoignages, recueillis sur cassettes dans la langue d'origine puis traduits et transcrits, représentent près de 15 000 pages de texte. Seuls des extraits, fidèlement restitués, de ce document apparaissent dans notre ouvrage. Le corpus original, tant oral qu'écrit, peut être sans difficulté consulté au département de sociologie de l'Université du Québec à Montréal.

Ce sont ces femmes que nous voulons, d'abord et avant tout, remercier. La richesse de leur expérience, l'acuité de leurs réflexions nous ont révélé des facettes inattendues et par ailleurs bien réelles du travail ouvrier. Certaines se sont montrées étonnées de l'intérêt que nous leur portions et parfois même gênées : leurs récits sont empreints d'une certaine réserve, voire d'une grande pudeur. D'autres, au contraire, y ont vu l'occasion de prendre pour une fois la parole et ont donné libre cours à leurs émotions, à leur générosité aussi, d'où l'extraordinaire intensité de leurs récits. En dépit des charges lourdes, multiples et souvent pénibles, qui sont les leurs, elles ont su nous accueillir avec chaleur. Nous leur exprimons toute notre reconnaissance.

Nous tenons à souligner la précieuse collaboration des chercheures Andrée Demers, Denise Desrosiers et Johanne Dinelle, ainsi que celle des intervieweuses Monique Dauphin, Nora Dinegri, Rosemay Eustache, Irène Furnaris, Ilda Januario, Cecilia Millan, Maria Margarida Salvador et Popi Soteriou qui, à un moment ou à un autre, ont fait partie de notre équipe de recherche.

Plusieurs personnes ont facilité nos démarches : Ertha Elysée Auguste, Adeline Chancy, Ana Paul Cruz, le Père José Manuel Freitas, [8] Galo Guerrero, Aleyda Lamotte, Yolaine Jumelle, Michèle Louis, Mathilde Marchand, Inès Monreal, Fatima Oliveira, le Père Guil-lermo Perez, Lise Pierre-Pierre, Danae Teodorakopoulos, Irène Tipaldos, Marlène Valcin et Clementina Vieira. Nous les en remercions, de même que les organisations et associations suivantes : l'Association des travailleurs grecs, l'Association helléno-québécoise, le Bureau de la communauté chrétienne des Haïtiens de Montréal, le CLSC Montréal-Nord, le CLSC Jean-Talon, le Centre éducatif des Haïtiens de Montréal, le Centre multi-ethnique Saint-Louis, le Centre d'orientation pour immigrants latino-américains, le Centre portugais de référence et de promotion sociale, le Centre social d'aide aux immigrants, l'Hirondelle, la Maison d'Haïti, le Service d'aide aux Néo-Québécois et immigrants, l'Union des travailleurs immigrants du Québec.

Cette recherche n'aurait pas été possible sans l'appui financier fourni par :

— le Conseil des recherches en sciences humaines (CRSH),
— le Conseil québécois de la recherche sociale (CQRS),
— le Fonds institutionnel de recherche de l'Université du Québec à Montréal (FIR, UQAM),
— le Fonds pour la formation de chercheurs et l'aide à la recherche (FCAR),
— le ministère des Communautés culturelles et de l'Immigration du Québec,
— le Secrétariat d'État au multiculturalisme.

Merci enfin à Andrée Yanacopoulo pour la révision du manuscrit et à Chantal Turcotte, Joanne Noël et Ghyslaine Éthier pour leur travail minutieux de traitement de texte.



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le mercredi 21 mars 2018 8:11
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur associé, Université du Québec à Chicoutimi.
 



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