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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

Repères en mutation. Identité et citoyenneté dans le Québec contemporain. (2001)
Notes sur les collaborateurs


Une édition électronique réalisée à partir du livre sous la direction de Jocelyn Maclure et Alain-G. Gagnon, Repères en mutation. Identité et citoyenneté dans le Québec contemporain. Montréal: Les Éditions Québec/Amérique, 2001, 435 pp. Collection “Débats”. Programme d’études sur le Québec de l’Université McGill. Une édition numérique réalisée par Diane Brunet, guide de musée, retraitée du Musée de La Pulperie à Chicoutimi. [Autorisation accordée par l'auteur, vendredi le 17 mars 2006, de diffuser tous ses travaux.]

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Repères en mutation.
Identité et citoyenneté dans le Québec contemporain.

Notes sur les collaborateurs

Jacques Beauchemin est professeur au département de sociologie de l'Université du Québec à Montréal. Il se spécialise en sociologie de la société québécoise, en sociologie de l'éthique et en analyse du discours. Dans le domaine de la sociologie du Québec, il a publié de nombreux articles portant sur les transformations de la question nationale québécoise dans le contexte de la mondialisation et de la judiciarisation de la régulation des rapports sociaux. Son travail avait auparavant porté sur l'analyse de la société québécoise des années 1940 et 1950. Il a publié, en collaboration avec Gilles Bourque et Jules Duchastel, La Société libérale duplessiste.

Gérard Bouchard, historien et sociologue, est professeur au département des sciences humaines à l'Université du Québec à Chicoutimi. Ses champs de recherche vont des collectivités neuves (ou cultures fondatrices) aux imaginaires collectifs. Il a publié récemment : La Nation québécoise au futur et au passé, Montréal, VLB Éditeur, 1999 ; Dialogue sur les pays neufs, Montréal, Boréal, 1999 (série d'entretiens avec le journaliste Michel Lacombe) ; et Genèse des nations et cultures du Nouveau Monde. Essai d'histoire comparée, Montréal, Boréal, 2000.

[406]

Linda Cardinal est professeure titulaire au département de science politique de l'Université d'Ottawa. Elle dirige également la revue québécoise de science politique, Politique et Sociétés. Ses recherches portent sur les rapports entre le droit et la politique et sur les minorités linguistiques au Canada. Elle a publié récemment un livre intitulé Chroniques d'une vie politique mouvementée. L’Ontario francophone de 1986 à 1996, Ottawa, Le Nordir, 2001 et codirigé deux ouvrages, La Démocratie à l’épreuve de la gouvernance, Ottawa, Les Presses de l'Université d'Ottawa, 2001 et Shaping Nations. Constitutionalism and Society in Australia and Canada, Ottawa, Ottawa University Press (à paraître).

Alain Dieckhoff est directeur de recherche au CNRS (Centre d'études et de recherches internationales, FNSP, Paris) et maître de conférences à l'Institut d'études politiques de Paris. Spécialiste reconnu de la société israélienne contemporaine et du conflit israélo-arabe, il y a consacré l'essentiel de ses ouvrages : Les Espaces d'Israël. Essai sur la stratégie territoriale d'Israël, Paris, Presses de la FNSP, 1989 ; L'Invention d'une nation. Israël et la modernité politique, Paris, Gallimard, 1993 ; Israéliens et Palestiniens. L'épreuve de la paix, Paris, Aubier, 1996. Parallèlement, il a engagé une réflexion approfondie sur les mutations actuelles du nationalisme. Dans ce cadre, il a dirigé deux ouvrages collectifs : L'Italie. Une nation en suspens, Bruxelles, Complexe, 1995 et Belgique. La force de la désunion, Bruxelles, Complexe, 1996. Il a également fait paraître un ouvrage sur ce thème : La Nation dans tous ses États. Les identités nationales en mouvement, Paris, Flammarion, 2000. Il vient de diriger avec Natividad Guttierez un ouvrage collectif : Modem Roots. Studies on National Identity, Ashgate, 2001.

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Alain-G. Gagnon est professeur titulaire au département de science politique et directeur du Programme d'études sur le Québec de l'Université McGill depuis 1992. Il agit à titre de coordonnateur du Groupe de recherche sur les sociétés plurinationales et occupe le poste de vice-président (recherche et programmes) de l'Association internationale des études québécoises. Parmi ses plus récents ouvrages, mentionnons Quebec y el federalismo canadiense, Madrid, Consejo superior de investigaciones sociales, 1998 ; Quebec, Oxford, ABC Clio, 1999 ; Canadian Politics, 3e édition, Broadview Press, Peterborough (dirigé avec James Bickerton, 1999) ; en collaboration, L'Union sociale canadienne sans le Québec, Montréal, Éditions Saint-Martin, 2001 et Multinational Democracies, Cambridge, Cambridge University Press, 2001 en codirection avec James Tully.

Michael Keating est professeur en études écossaises à l'Université d'Aberdeen et professeur en études régionales à l'Institut universitaire européen situé à Florence. Il a été professeur invité dans plusieurs universités européennes et nord-américaines. Ses recherches portent principalement sur le régionalisme, le nationalisme et la politique européenne. Il est notamment l'auteur de Les Défis du nationalisme moderne. Québec, Catalogne, Écosse, Montréal, Les Presses de l'Université de Montréal, 1997. Son prochain livre s'intitulera Plurinational Democracy. The United Kingdom, Spain, Belgium and Canada in a Post-Sovereign Era et sera publié chez Oxford University Press.

Micheline Labelle est professeure titulaire au département de sociologie de l'Université du Québec à Montréal. Elle est actuellement directrice de recherche du Centre de recherche sur l'immigration, l'ethnicité et la citoyenneté [408] (CRIEC) et a été titulaire et fondatrice de la Chaire Concordia-UQÀM en études ethniques (1993-1996). Auteure de nombreux articles et ouvrages sur l'immigration, la gestion de la diversité, la citoyenneté, la nation et la diversité ethnoculturelle, elle travaille présentement sur le thème du transnationalisme.

Diane Lamoureux est professeure au département de science politique de l'Université Laval. Elle s'intéresse aux enjeux reliés à la citoyenneté et à la démocratie et plus particulièrement aux possibilités de l'action politique dans les démocraties occidentales contemporaines. Ses travaux récents ont principalement porté sur les limites des politiques identitaires. Elle a publié plusieurs articles et ouvrages dont Fragments et collages en 1986, Citoyennes ? Femmes, droit de vote et démocratie en 1989 et L’Amère Patrie en 2001. Elle a aussi dirigé Les Limites de l’identité sexuelle en 1998 et, en collaboration, Malaises identitaires. Tous ces ouvrages ont été publiés aux Éditions du Remue-ménage.

Jocelyn Maclure poursuit un doctorat en philosophie politique à l'Université de Southampton en Angleterre. Ses recherches portent sur la philosophie politique contemporaine, la modernité, les théories de la démocratie, le pluralisme, la politique de l'identité et l'aménagement de la diversité au Québec. Il a notamment publié Récits identitaires. Le Québec à l’épreuve du pluralisme, Montréal, Québec Amérique, coll. « Débats », 2000.

Chantai Maillé est professeure agrégée en études des femmes à l'Institut Simone-de-Beauvoir de l'Université Concordia. Détentrice d'un doctorat en science politique, elle est vice-présidente du Conseil du statut de la femme et [409] chercheure au Centre de recherche sur l'immigration, l'ethnicité et la citoyenneté (CRIEC) de l'Université du Québec à Montréal. Ses projets de recherche actuels portent sur la présence des femmes dans les débats constitutionnels Québec-Canada, le mouvement des femmes comme agent de changement, la théorie féministe et les courants postmodernes. Chantal Maillé a publié des textes dans les revues Politique et Sociétés, Recherches féministes, Québec Studies, Revue d'études canadiennes, Globe. Revue internationale d'études québécoises et elle est l'auteure de plusieurs études sur la présence des femmes en politique : Les Québécoises et la conquête du pouvoir politique (1990), Vers un nouveau pouvoir : les femmes en politique au Canada (1990), Malaises identitaires : échanges féministes autour d'un Québec incertain, codirigé avec Diane Lamoureux et Micheline de Sève (1999).

Geneviève Nootens a obtenu un doctorat en philosophie politique à l'Université Laval en 1995. Elle est professeure de science politique à l'Université du Québec à Chicoutimi depuis 1998. Elle a contribué à plusieurs ouvrages collectifs : Jocelyne Couture, Kai Nielsen, Michel Seymour (dir.), Rethinking Nationalism en 1996 ; Michel Seymour (dir.), Nationalité, Citoyenneté, Solidarité en 1999 ; K. Mellos et P. Savidan (dir.), Pluralisme et délibération en 1999 ; B. Melkevik et P. Dumouchel (dir.), Tolérance, pluralisme et histoire en 1998. Ses travaux de recherche récents portent sur l'identité politique, l'État national et le territoire, dans le contexte de la mondialisation.

Philip Resnick est professeur titulaire au département de science politique de l'Université de la Colombie-Britannique. Ses ouvrages principaux sont Lettres à un ami [410] québécois ; The Masks of Proteus : Canadian Reflections on the State ; Towarda Canada-Quebec Union ; Thinking English Canada ; Twenty-First Century Democracy ; et The Politics of Resentment : British Columbia Regionalism and Canadian Unity.

Daniel Salée est professeur titulaire de science politique et directeur de la School of Community and Public Affairs à l'Université Concordia. Il est membre du Centre de recherche sur l'immigration, l'ethnicité et la citoyenneté (CRIEC). Il est l'auteur de plusieurs travaux d'analyse sur la vie politique et les rapports sociaux au Québec et au Canada. Ses recherches les plus récentes portent sur la dynamique des rapports interethniques au Québec, sur la question nationale et sur la citoyenneté au Canada et au Québec.

Michel Seymour est professeur titulaire au département de philosophie à l'Université de Montréal. Il est notamment l'auteur de La Nation en question, ouvrage paru aux éditions de l'Hexagone en 1999. Il a également publié, en tant que directeur ou codirecteur de publication, Une nation peut-elle se donner la constitution de son choix ? aux Éditions Bellarmin en 1995, Rethinking Nationalism aux Presses de l'Université de Calgary en 1998, et Nationalité, Citoyenneté, Solidarité aux éditions Liber en 1999. Il a été président de la Société de philosophie du Québec (SPQ) de 1994 à 1996 et président du regroupement des Intellectuels pour la souveraineté (IPSO) de 1996 à 1998. Plus récemment, il a coprésidé le chantier sur le partenariat pour le Bloc québécois. Ses recherches subventionnées portent sur les droits collectifs des peuples dans les États multinationaux.

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Georges Sioui est né en 1948 dans la réserve du Village-des-Hurons (Wendaké) près de Québec. En 1990, son clan matrilinéaire (Éléonore Sioui) obtint l'« arrêt Sioui », une décision de la Cour suprême du Canada qui continuera à rétablir les droits des peuples autochtones de l'hémisphère. Historien, philosophe, homme de lettres, éducateur et administrateur, Georges Sioui est conférencier international et polyglotte. Il est l'auteur de deux livres de portée mondiale : Pour une autohistoire amérindienne : essai sur les fondements d'une morale sociale et Les Hurons-Wendats, une civilisation méconnue, tous deux d'abord publiés en français aux Presses de l'Université Laval.

Daniel Weinstock est le titulaire de la Chaire de recherche du Canada en éthique et philosophie politique. Il est professeur au département de philosophie de l'Université de Montréal. Il a écrit de nombreux articles sur les problèmes politiques et sociaux auxquels ont à faire face les sociétés multiculturelles et multinationales. Il s'est également intéressé dans certains de ses derniers écrits au renouveau de la théorie démocratique dite « délibérative ».

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Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le vendredi 6 octobre 2017 8:25
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue,
professeur associé, Université du Québec à Chicoutimi.
 



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