Le projet Regard sur la Convention de la Baie-James et du Nord québécois est le fruit d'une concertation soutenue. Sous l'impulsion du président du comité directeur, Éric Courdeau, plusieurs partenaires institutionnels ont rapidement accepté de s'associer au projet en y déléguant des personnes-ressources et en avançant les fonds nécessaires à la publication d'un ouvrage de cette importance. Les contributions financières du Secrétariat aux affaires autochtones du gouvernement du Québec, du ministère des Affaires indiennes et du Nord Canada du gouvernement fédéral, d'Hydro-Québec, de la Société d'énergie de la Baie-James (SEBJ) et de la Société de développement de la Baie-James (SDBJ) doivent être soulignées puisqu'elles nous ont permis de tenir un colloque remarqué en octobre 2001 autour d'un thème incontournable et structurant pour la construction à la fois du Canada et du Québec contemporain.

D'emblée, il convient de souligner le dévouement des membres du comité directeur. Aussi je remercie vivement mes collègues au comité, nommément Éric Courdeau, mandaté par le Secrétariat aux affaires autochtones du Québec qui a aussi contribué à la réalisation de ce livre, Jean-Luc Biais du ministère des Affaires indiennes et du Nord du Canada, Don Allard, Stephen Hendrie et Lisa Koperqualuk de la Société Makivik, Michel Biais d'Hydro-Québec, Alfred Loon et Roméo Saganash du Grand Conseil des Cris. Le comité directeur a pu compter également sur l'expertise et l'étroite collaboration de Roger Beaudoin (consultant) et de Stéphan Cervais du Programme d'études sur le Québec de l'Université McCill.

Immédiatement après la tenue du colloque, le travail d'édition a été confié à Guy Rocher du département de sociologie et du Centre de recherche en droit public de l'Université de Montréal et au directeur du Programme d'études sur le Québec de l'Université McGill. Le travail de coordination essentiel à la préparation de l'ouvrage en langues française et anglaise a été assumé par Stéphan Gervais. Ce dernier a été secondé efficacement par Anne-Marie Villeneuve et Michel Joubert de la maison d'édition Québec Amérique. Stéphan Gervais a reçu l'aide précieuse de Lisa Koperqualuk et Winnie Mickeyook (Société Makivik) et de Skawennati Fragnito et Danielle Valade (Beesum Communications) au moment de la préparation [8] des versions inuttitut et cri. Je tiens aussi à exprimer ma gratitude à l'endroit de plusieurs étudiants inscrits au Programme d'études sur le Québec de l'Université McCill pour l'aide apportée tout au cours de la préparation du livre. Il s'agit de Jean-Guy Côté, de Michel Hardy-Vallée, de Marie-Hélène Lacroix et de Sophie Lemoyne-Dessaint.

Au nom des membres du comité directeur, je tiens enfin à exprimer ma reconnaissance aux auteurs, traductrices, réviseurs et collaborateurs qui ont témoigné à maintes reprises leur indéfectible engagement en vue de la réalisation de cette publication. Sans cet appui, cet ouvrage n'aurait pas pu être mené à bien d'une façon aussi professionnelle.

Alain-C. Cagnon

Directeur du Programme d'études sur le Québec

Université McCill

Le 2 septembre 2002