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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

Mondialisation, économie sociale, développement local et solidarité internationale. (2002)
Remerciements


Une édition électronique réalisée à partir du livre de Louis Favreau et Lucie Fréchette, avec la collaboration de Yao Assogba, Daniel Tremblay, Manon Boulianne et Solange van Kemenade et de la Chaire de recherche du Canada en développement des collectivités, Mondialisation, économie sociale, développement local et solidarité internationale. Préface de René Lachapelle et Gérald Larose. Québec: Les Presses de l’Université du Québec, 2002, 252 pp. Collection: “Pratiques et politiques sociales et économiques.” Une édition numérique réalisée avec le concours de mon épouse, Diane Brunet, bénévole, guide de musée retraitée du Musée de la Pulperie de Chicoutimi. [Autorisation formelle accordée par l'auteur le 26 septembre 2008 de diffuser ce texte ainsi que toutes ses publications dans Les Classiques des sciences sociales.]

[xi]

Mondialisation, économie sociale,
développement local et solidarité internationale.

Remerciements

Cet ouvrage couvre une dizaine d'années de recherche dans le domaine de l'économie sociale et du développement local, sur le plan de la coopération internationale. Au terme de cet itinéraire, nous voudrions exprimer notre gratitude à des personnes, des réseaux et des institutions sans lesquels ce projet n'aurait pas vu le jour.

Nos remerciements vont d'abord à nos collaboratrices et collaborateurs immédiats qui nous ont accompagnés à un moment ou à un autre de notre démarche : Lucie Beaudoin, puis Joanie Rollin qui se sont toutes deux succédé comme adjointes à la coordination de la Chaire de recherche du Canada en développement des collectivités (CRDC), Julie Sénéchal et Katerine Larouche qui se sont succédé comme adjointes à la coordination du Centre d'étude et de recherche en intervention sociale (CÉRIS), Flor Peralta d'abord, puis Marie-France Hains qui ont apporté leur soutien secrétarial à la CRDC et au CÉRIS.

Nos remerciements vont ensuite à des collègues chercheurs, Yao Assogba et Abdou Salam Fall pour l'Afrique, Manon Boulianne, Solange van Kemenade et Humberto Ortiz pour l'Amérique latine, chercheurs avec qui nous avons souvent discuté ou enquêté sur l'économie sociale, le développement local et la solidarité Nord-Sud, chercheurs complices de nos travaux de recherche Nord-Sud. Toutes ces personnes ont été des artisans de la mise en musique, à un moment ou l'autre, de ce projet de livre.

Que soient aussi remerciées les personnes avec qui nous travaillons depuis des années dans le cadre de la CRDC et du CÉRIS à l'UQAH. Nous pensons ici tout particulièrement à nos collègues de l'UQAH directement [xii] engagés dans ces questions, soit Yao Assogba, Guy Bellemare, Jacques Boucher et Daniel Tremblay. Sans oublier nos amis et complices dans la création du Groupe d'économie solidaire (GESQ) : René Lachapelle, secrétaire exécutif du GESQ, Gérald Larose, président du GESQ, Marie-Hélène Méthé et Nancy Neamtan du Chantier de l'économie sociale, Marcel Arteau de la Coopérative Anim'action, Danielle Fournier de Relais-Femmes, André Beaudoin de l'UPADI, Réjean Lantaigne de SOCODEVI et François Lamarche de la CSN, Jean-Paul Saint-Germain de Développement et Paix et Robert Gignac de CUSO-Québec, tous artisans et artisanes de la première heure de la Rencontre internationale d'économie sociale et solidaire de Québec (octobre 2001).

Nos remerciements ne vont pas qu'à des personnes. Ils s'adressent également à des groupes, des collectifs ou des réseaux de recherche en économie sociale et coopération internationale au Québec et en Europe avec qui nous échangeons, travaillons et débattons régulièrement depuis des années. Nous pensons particulièrement au réseau du Centre interuniversitaire de recherche sur les innovations sociales dans l'économie sociale, les entreprises et les syndicats (CRISES) animé depuis plus de dix ans par Benoît Lévesque (UQAM) et dans lequel on retrouve de nombreux chercheurs pour qui l'économie sociale est un objet central d'étude et de réflexion : Manon Boulianne, Jacques Boucher, Marie Bouchard, Yvan Comeau, Benoît Lévesque, Marie-Claire Malo, Marguerite Mendell, Carol Saucier et Yves Vaillancourt. Nous pensons également à cette Alliance de recherche universités et communautés (ARUC) en économie sociale qui regroupe quatre universités (UQAM, UQAH, Concordia et UQAC) et est toujours animée par l'infatigable Benoît Lévesque. Nous pensons au Centre d'économie sociale de l'Université de Liège animé par l'économiste Jacques Defourny et à des chercheurs de l'Université de Louvain, Patrick Develtere et Bénédicte Fonteneau, au CRIDA-CNRS animé par le sociologue Jean-Louis Laville, au Collège coopératif d'Aix-en-Provence animé par l'économiste Maurice Parodi, aux deux chercheurs Guy Roustang et Daniel Cérézuelle et, enfin, à l'équipe du programme STEP (Stratégies et tactiques de lutte contre l'exclusion sociale et la pauvreté) du Bureau international du travail (BIT), animé par Christian Jacquier. Même si la problématique de l'économie sociale élaborée dans cet ouvrage a en partie été inspirée par toutes ces personnes, nous ne revendiquons pas moins l'entière responsabilité des erreurs dues aux raccourcis ou aux simplifications qu'on pourrait relever dans cet ouvrage.

[xiii]

Nos remerciements vont aussi à notre université, l'UQAH, qui a soutenue notre démarche. Nous pensons en particulier à notre vice-recteur à l'enseignement et à la recherche Denis Dubé et à notre recteur Francis Whyte dont on sait la volonté claire d'encourager la recherche en économie sociale et la coopération internationale dans le contexte d'une petite université en région qui a des ambitions fortes et une vision de l'université dans la société en dépit des contraintes financières et autres.

Enfin, et ce ne sont pas les moindres, nous sommes très redevables aux pionniers de la première Rencontre internationale sur l'économie sociale et solidaire (Lima, 1997), les Péruviens Alfonso Cotera, Ismael Munoz, Humberto Ortiz et les Québécois et Québécoises Josée Belleau, Léopold Beaulieu (Fondaction), Lorraine Guay, Clément Guimont (Caisse d'économie des travailleurs et travailleuses) et René Lachapelle (CSN) ; aux pionniers de la seconde rencontre (Québec, 2001), les infatigables et tenaces Péruviens Cotera, Munoz et Ortiz et les Québécois Yves Lapierre (CDC du Bas-Richelieu), Jean-Paul Saint-Germain (Développement et Paix), René Lachapelle (CSN et RQIIAC) et Gérald Larose (CSN et UQAM) ; à tous ces coopérants et volontaires des ONG du Québec, de Développement et Paix, de Solidarité Sud, de Plan Nagua... Nous pensons particulièrement à Michel Lacroix (Développement et Paix), à Mario Lula et Franscesca Suza (Solidarité Sud), à Marysa Gutierrez (CDÉC de Gatineau) et Jean-Guy Lacoursière (CUSO-Québec), Claude Giles (SUCO-Mali) et Francine Barbeau de Plan Nagua.

Mentionnons, enfin, les soutiens de recherche sur lesquels se sont appuyées les enquêtes à la base de cet ouvrage :

  • la Chaire de recherche du Canada en développement des collectivités de l'UQAH,
  • le Centre d'étude et de recherche en intervention sociale (CÉRIS-UQAH),
  • le Centre de recherche en développement international (CRDI),
  • le fonds de recherche du programme STEP du Bureau international du travail.

Louis Favreau et Lucie Fréchette

[xiv]



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le samedi 5 septembre 2020 16:20
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur associé, Université du Québec à Chicoutimi.
 



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