Ce livre est par définition et de plus d'une façon le résultat de la collaboration invisible ou explicite d'un grand nombre de bonnes volontés. En tout premier lieu, il est l'œuvre des auteurs qui avaient accepté de présenter des travaux au symposium et qui ont ensuite généreusement consenti à réviser leurs textes pour la publication. À leurs noms sont associés les noms de ceux qui nous ont fait l'honneur de présider nos cinq séances d'étude et grâce au doigté desquels nos discussions furent si fécondes : MM. F. A. Knox, B. S. Keirstead, Jean-C. Bonenfant, le T. R. P. Georges-H. Lévesque, o.p., et M. Esdras Minville.

Quelques amis de langue anglaise, le R. P. P.-S. Mifflen, MM. R. Eigner, Douglas Barlow et William Mackey, ont eu la patience de lire et de corriger les manuscrits anglais des auteurs de langue française. Il ne faut pas leur imputer ce qui subsiste de faiblesse dans ces textes mais seulement leur savoir gré d'avoir aidé à actualiser notre intention générale de correction. Je tiens à dire ma reconnaissance toute spéciale à ceux de mes collègues de la Faculté des Sciences sociales qui, à plusieurs reprises au cours de l'élaboration du volume, m'ont spontanément accordé leur encouragement, leurs conseils ou leur aide : MM. James Hodgson, Guy Rocher, Jean-C. Bonenfant, Albert Faucher et Maurice Lamontagne. Les critiques et les suggestions de MM. Lamontagne et Faucher m'ont été particulièrement précieuses pour la rédaction du dernier chapitre. Je m'en voudrais, enfin, d'oublier madame Pauline G. Côté et mademoiselle Renée La Rochelle qui, avec une égale bonne grâce, se sont partagé la fastidieuse tâche de la transcription des manuscrits.

La préparation de ce volume a été facilitée par une subvention du Conseil canadien de Recherche en Sciences sociales. Le même Conseil, auquel j'exprime ma très vive gratitude, a accordé une seconde et généreuse subvention au moment de la publication.

J.-C. F.