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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

Traité de relations internationales. Tome II. Les théories de l'interétatique. (2008)
Sommaire


Une édition électronique réalisée à partir du livre de Gérard DUSSOUY, Traité de relations internationales. Tome II. Les théories de l'interétatique. Paris: Éditions L'Harmattan, 2008, 354 pp. Collection: Pouvoirs comparés dirigée par Michel Bergès. [Autorisation formelle accordée par l’auteur et le directeur de la collection le 4 mai 2011 de diffuser ce livre dans Les Classiques des sciences sociales.]

[5]

Sommaire

Quatrième de couverture

Introduction

Chapitre I.

L’État, acteur central

1. L’État territorial, produit de l’histoire et de la culture européennes

A. De l’empire à l’État territorial

— Formation de l’État et révolution militaire
— Une affirmation territoriale d’ordre sémantique et d’ordre matériel
— Thomisme, nominalisme et modernité
— L’État source de l’autonomie du politique
B. Les déboires de l’universalisation de l’État territorial

— Les formes politiques précoloniales hors d’Europe
— La faiblesse des États post-coloniaux.

2. L’État, acteur souverain ?

A. Qu’est-ce que la souveraineté ?
B. La souveraineté intérieure et la citoyenneté
C. La souveraineté légale internationale ou l’utilité de la souveraineté
D. La souveraineté westphalienne et la réalité de la souveraineté
E. La souveraineté interdépendante ou partagée

3. Les deux niveaux de reterritorialisation de l’État

A. La montée des identités et la prolifération des États : le niveau micro

— La dissémination du nationalisme
— Mondialisation et tensions sécessionnistes

B. «  Grands espaces  » et régionalisme mondial : le niveau macro

— Les transformations du régionalisme économique mondial
— La lente territorialisation de l’Europe et les prérequis géopolitiques du fédéralisme

4. Du réalisme classique à la société des États

A. Les canons du réalisme classique stato-centrique : Hans Morgenthau

— L’état de nature : l’anarchie internationale
— L’intérêt national et la puissance
— L’équation de la puissance
— La critique aronienne et la « vision radicale » de la puissance selon Steven Lukes
— Le réalisme constitutionnaliste de Raymond Aron
B. L’équilibre des puissances selon Morgenthau et les transformations du champ diplomatico-militaire

— Les caractéristiques de la balance of power et la critique
— Équilibre des puissances et dissuasion nucléaire

C. La société des États ou le réalisme libéral d’Hedley Bull

Conclusion : l’équilibre des puissances aujourd’hui


Chapitre II.

Sécurité ou coopération ?
Néoréalisme et néolibéralisme

1. Les premiers contestataires du réalisme

A. David Mitrany et Ernst Haas : le fonctionnalisme et l’intégration régionale
B. Karl. W. Deutsch et le processus du changement grâce à la communication
C. Robert Keohane et Joseph Nye : l’interdépendance complexe

2. Le libéralisme international et le champ des Organisation intergouvernementales (OIG)

A. L’institutionnalisme international et les présupposés du multilatéralisme

— Les acteurs
— Les intérêts des États
— Les OIG et les présupposés du multilatéralisme
— L’ONU, pièce centrale de la gouvernance globale
— Les principaux organes de l’Onu et leur réforme impossible
— Le libéralisme militaire : Peacekeeping et Peacebuilding

3. Les réalisme structural ou néoréalisme (Kenneth Waltz et Robert Gilpin)

A. L’ambition théorique de Waltz

— L’objectif
— La méthode
B. Le système international : structure et interaction des acteurs
C. Critiques et réponses
D. Robert Gilpin et la question du changement

— Le système international et ses configurations
— Les types de changement de système
— Changement et cycles historiques

4. Le réalisme structural selon l’école anglaise

A. La réunion de la structure et du système
B. L’anarchie mature et l’ordre international selon Barry

5. Le renouveau du paradigme de la paix kantienne

A. Des données statistiques favorables, mais une faible théorisation de la paix démocratique
B. Des calculs contestés et la relativisation du concept de « paix démocratique »

6. Les discussions de l’après-guerre froide : sécurité et structure du système international

A. Le sens de la sécurité : de la sécurité nationale à la sécurité internationale

— La sécurité militaire
— La sécurité politique
— La sécurité sociétale ou identitaire
— La sécurité économique
— La sécurité environnementale

B. La structure du système international

— La fin de la guerre froide et la critique du néoréalisme
— De la réévaluation du libéralisme comme théorie des relations internationales au pluralisme théorique, d’après Andrew Moravcsik
— La puissance incontournable

7. Les écoles traditionnelles et les approches chinoises des relations internationales

A. L’idéalisme de la période Printemps-Automne

— L’école de l’Hégémonie
— L’école de la Bonté
— L’école de la Nature

B. La pensée réaliste dans la période des Royaumes combattants

— L’école de l’Irrestriction
— L’école de la Stratégie
— L’école de la Puissance de Han Feizi

C. L’évolution des études de relations internationales en Chine depuis la fin de la guerre froide
D. Les élites chinoises et la sécurité de la Chine face à la globalisation

Conclusion : le jeu des grandes puissances se poursuit


Chapitre III

Constructivisme ou pragmatisme ?

1. Images et perceptions des relations internationales : l’apport de Robert Jervis

A. Signaux et indices
B. « Perceptions et fausses perceptions »
C. L’interactivité des perceptions et des stratégies

2. L’approche constructiviste des identités et des intérêts en relations internationales

A. La dimension intersubjective
B. L’identité de l’État et son changement
C. L’intérêt national et la sécurité

3. L’idéalisme stato-centrique d’Alexander Wendt

A. Le système international en tant que système de sens partagé

— Le système des États : intérêts et identités
— La culture internationale : les trois types d’anarchie

B. Critiques et commentaires de l’essai théorique de Wendt

— La réponse des néoréalistes par la voix de Dale C. Copeland
— Les failles de la méthode de Wendt
— Wendt et l’English School

C. Les dernières orientations de Wendt et les réactions qu’elles suscitent

— L’évolutionnisme et l’absence de réflexivité dans la métathéorie de l’État mondial de Wendt
— La vanité de la théorie de Wendt et son recours au « panpsychisme quantique »

4. Retour au holisme pragmatiste

A. Les nouvelles convergences entre le réalisme  et le constructivisme

— Ethnocentrisme et changement cognitif
— Le pragmatisme comparé aux autres théories de la connaissance
— La démarche cognitive pragmatiste : idéologies, mémoire, contexte et hégémonie

B. L’interprétation du système international

— Axiomes et méthodes de la modélisation systémique
— Le structuro-stratégisme : la construction stratégique du système international
— La structure, à la fois matérielle et idéelle, et le changement

Conclusion :
la connaissance contingente de la réalité internationale



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le mercredi 24 août 2011 15:37
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie retraité du Cégep de Chicoutimi.
 



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