RECHERCHE SUR LE SITE

Références
bibliographiques
avec le catalogue


En plein texte
avec Google

Recherche avancée
 

Tous les ouvrages
numérisés de cette
bibliothèque sont
disponibles en trois
formats de fichiers :
Word (.doc),
PDF et RTF

Pour une liste
complète des auteurs
de la bibliothèque,
en fichier Excel,
cliquer ici.
 

Collection « Les sciences sociales contemporaines »

TAMBOURS DES DIEUX. Musique et sacrifice d'origine tamoule en Martinique. (1996)
Remerciements


Une édition électronique réalisée à partir du livre de Monique Desroches, TAMBOURS DES DIEUX. Musique et sacrifice d'origine tamoule en Martinique. Montréal: L'Harmattan, 1996, 180 pp. [Avec l'autorisation de diffuser ce livre dans Les Classiques des sciences sociales accordée par Mme Desroches le 8 décembre 2008.]

Remerciements

La rédaction de ce livre n'aurait pu se réaliser sans l'encouragement, le support et l'assistance de nombreuses personnes. Je pense en premier lieu à Charles L. Boilès, décédé en 1984, alors professeur d'ethnomusicologie à la Faculté de musique de l'Université de Montréal. Dès les débuts de ma recherche, il m'a transmis la passion du terrain, le goût du détail, et inculqué l'importance d'une ethnographie exhaustive dans la conduite de l'analyse. Puisse cette recherche rendre hommage à sa mémoire. Mais si ce livre a pu voir le jour, c'est en grande partie grâce aux encouragements soutenus de Jean-Jacques Nattiez, professeur titulaire à la même institution. C'est lui qui m'a incitée à transformer ce qui était auparavant le contenu d'une thèse de doctorat en un essai d'ethnomusicologie. La démarche d'analyse de ce livre doit beaucoup à sa méthode sémiologique appliquée aux musiques de tradition orale. Ses lectures répétées du manuscrit et les nombreux échanges que nous avons eus, notamment au niveau du cadre d'analyse, ont été de puissants catalyseurs.

Mais l'ethnomusicologie n'aborde pas le phénomène musical que sous le seul angle musicologique. La démarche suppose une analyse des événements musicaux dans leur contexte social, historique, politique qui leur donne vie et sens. Cette dimension de l'ethnomusicologie permet de donner ici tout le relief qu'elle mérite à la contribution de Jean Benoist, maintenant professeur à l'Université d'Aix-Marseille III. C'est lui qui, alors qu'il était directeur du Centre de recherches caraïbes de l'Université de Montréal, m'a introduite à la communauté indienne de la Martinique. Au-delà des connaissances qu'il m'a transmises sur la culture et la religion indiennes en milieu créole, ses encouragements répétés, ses nombreux conseils et la confiance qu'il m'a toujours témoignée ont soutenu mon cheminement tout au long de la recherche.

Je tiens également à remercier Mireille Helffer, directeur de recherche honoraire au CNRS et professeur à l'Université de Paris X-Nanterre où elle a enseigné l'ethnomusicologie jusqu'en 1992, pour sa lecture minutieuse du manuscrit et la pertinence de ses commentaires.

La matière première de l'ethnomusicologie provient des acteurs mêmes des événements, ceux qui créent la musique, ceux qui conduisent les rituels, ceux qui interprètent, chantent et dansent. Ceux aussi qui participent aux événements par leur présence et leur encouragement. La liste de ces personnes serait ici trop longue à énumérer. Je citerai néanmoins l'interprète des rituels, Zwazo, aujourd'hui décédé, avec qui la collaboration sur le terrain s'est vite transformée en un échange réciproque de confiance et d'amitié. Je mentionnerai également le tambourineur Nossin, les prêtres, André, Ponin et Loulou Carpin, les Associations culturelles, MartiniqueInde et ADEVI, Yves Gamess et Gerry l'Étang pour la qualité de nos échanges sur la religion et la culture tamoule à la Martinique et pour leur constante disponibilité. Je ne saurais finalement passer sous silence la chaleur de l'accueil de la population du quartier Fonds St-Jacques où j'ai séjourné pendant la majeure partie de mes recherches.

Je tiens aussi à remercier Marie-Pierre Bermond, Mihran Essegulian, Guy Lapointe, Elisabeth Crosnier et Lise Lapointe, ainsi que Claudette Bibeau, respectivement pour la première lecture du manuscrit, la version midi des transcriptions, les dessins à l'encre noire, la dactylographie et la mise en page électronique.

Enfin, j'exprime ma gratitude au Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSHC), au Fonds FCAR du Ministère de l'Éducation du Québec, au Centre de recherches caraïbes et au Comité d'attribution des bourses de l'Université de Montréal pour leur soutien financier.


Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le mercredi 1 avril 2009 14:23
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi.
 



Saguenay - Lac-Saint-Jean, Québec
La vie des Classiques des sciences sociales
dans Facebook.
Membre Crossref