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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

Les rites de possession chez les Gaddis du Dhaulâdhâr
(Himachal Pradesh, Inde): spiritualité, guérison, société
(2007)
Translitération


Une édition électronique réalisée à partir de la thèse de doctorat de Daniel Côté, Les rites de possession chez les Gaddis du Dhaulâdhâr (Himachal Pradesh, Inde): spiritualité, guérison, société. Thèse présentée à la Faculté des études supérieures en vue de l’obtention du grade de doctorat (Ph.D.) en anthropologie, à l'Université de Montréal, mars 2007, 470 pp. [Autorisation de l'auteur de diffuser sa thèse de doctorat dans Les Classiques des sciences sociales accordée le 11 juin 2008.]

Translitération

 

Le trait horizontal au-dessus des voyelles a, i, et u indique une voyelle longue. Les mots hindis ou gaddis, de même que les mots sanskrits sont mis en italique à l’exception des noms propres, des noms de caste, des noms de lieu et des noms qui ont été francisés (ex. mantra, Brahmane,). Les parenthèses (h.), (skt.) et (p.) indiquent respectivement un mot de langue hindi, ou d’origine sanskrite ou persane. Pour identifier l’origine des mots répertoriés je me suis référé à McGregor (2006). J’utilise la parenthèse (h.), (skt.) ou (p.) lorsqu’un mot gaddi fait aussi partie de ces lexiques. Cependant, quant un mot indien (gaddi) est placé entre parenthèse sans désignation de son origine lexicale, c’est qu’il s’agit d’une expression vernaculaire gaddie qui n’appartient pas aux lexiques hindi, sanscrit ou persan (mais qui peut être utilisée aussi par d’autres peuples himalayens qui ont un dialecte pahari occidental) (Grierson 1966). Un mot gaddi n’est donc pas nécessairement exclusivement gaddi. Les mots écrits en hindi ou en gaddi qui sont translittérés ne portent pas le « s » du pluriel pour éviter de confondre le lecteur sur la prononciation correcte du mot. Par exemple, « les Celã », est un mot translittéré, car il est écrit en italique et porte le trait horizontal, il s’écrit donc sans le « s ». Par ailleurs, un mot d’origine sanscrite qui se prononce différemment dans la langue locale conserve la marque (skt.) pour ne pas confondre le lecteur. Ainsi, le mot sanscrit vidhyã (connaissance) conserve la marque (skt.) lorsqu’il est désigné localement par le mot vidhi. 

Par ailleurs : E se prononce É, U se prononce OU, R, se prononce Ri, AU et AI indiquent une diphtongue, C se prononce TCH, J se prononce DJ, H indique une aspiration, les chuintantes Ś et S, se prononcent CH. Un point sous une consonne indique une rétroflexe, le signe « ~ » au-dessus d’une consonne ou d’une voyelle indique une nasalisation. Ainsi: Ã se prononce AN et lorsqu’il est placé au-dessus du N (J;) il devient alvéolaire pré-palatale). D’autres consonnes portent des caractères diacritiques : c’est le cas des consonnes vibrantes r,a (#,) et r,ha ($,); des rétroflexes t,a (!), t,ha (@), d,a (#), d,ha ($) et n,a ([;) et de la vélaire ńa (V). 

Caractères indiens ou devanagari.

 



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le samedi 19 juillet 2008 9:22
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi.
 



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