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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

François Chesnais, La mondialisation du Capital. (1997)
Sommaire


Une édition électronique réalisée à partir du livre de François Chesnais, La mondialisation du Capital. Nouvelle édition actualisée. Paris: Les Éditions Syros, 1997, 333 pp. Une édition numérique réalisée avec le concours de Pierre Patenaude, bénévole, professeur de français à la retraite et écrivain, Chambord, Lac—St-Jean. [Livre diffusé dans Les Classiques des sciences sociales en libre accès à tous avec l'autorisation de l'auteur accordée le 14 février 2020.]

[9]

Sommaire

Quatrième de couverture

Avant-propos [15]

Chapitre 1. Comment comprendre le terme « mondialisation » ? [21]

La mondialisation est-elle un « mythe » ? [23]
Le sens du terme « global » pour le capital concentré [28]
Un capital « sans nationalité » ? [29]
La sélectivité élevée des opérations du capital  [31]
Le besoin d’une approche systémique [31]
Penser à la fois le politique et l’économique [33]
Le tournant de 1979-1980 [34]
La place et le statut des États-Unis [35]
La capacité de déterminer les « règles du jeu » [37]
Mondialisation et aggravation de la polarisation [38]
La mise en concurrence internationale des salariés [39]
Mondialisation et croissance très lente [42]

Chapitre 2. La finance, pivot de la mondialisation du capital [47]

Une forme très particulière de mondialisation [49]
Les principaux acteurs de la finance de marché [51]
[10]
« Motif de spéculation » et arbitrage des portefeuilles [53]
La diversification des portefeuilles [54]
La finance se nourrit de transferts réels [57]
Les étapes de la réémergence du capital rentier [59]
La « dictature des créanciers » a supposé un « coup d'État » [63]
La « boule de neige » de la dette publique [65]

Chapitre 3. L'investissement direct à l'étranger (IDE) : préséance, aspects qualitatifs et tendances récentes [69]

Le rôle des IDE dans les spécialisations commerciales nationales  70]
Les travaux théoriques fondateurs [71]
Les trois modalités de l'internalisation
et le cycle différencié du capital [72]
L'économie mondiale comme système hiérarchisé politiquement [74]
Les dimensions qualitatives de I'IDE [75]
Investissements directs et investissements de portefeuille depuis les années quatre-vingt [76]
Le rôle prédominant de I'IDE dans les services [82]
Investissements croisés et acquisitions/fusions [85]
L'IDE et la polarisation au niveau mondial [88]

Chapitre 4. La firme multinationale aujourd'hui [91]

Les définitions des FMN et leurs limites [92]
La portée de la constitution de la FMN en groupe [96]
La stratégie techno-financière et les FMN « nouveau style » [97]
Les « nouvelles formes d'investissement » [99]
Pour comprendre les FMN, il faut maîtriser la notion de capital [101]
Coûts de transaction et internalisation [103]

Chapitre 5. Concentration internationale du capital et formation des oligopoles mondiaux [109]

L'oligopole international ou mondial [111]
Le caractère mondialisé de la concurrence revêt deux sens différents [112]
La mesure de la concentration mondiale [113]
Le décloisonnement des anciens oligopoles nationaux [116]
Concurrence entre oligopoles ou concurrence systémique ? [118]

[11]

Trois niveaux dans les stratégies de mondialisation des groupes [121]
La place particulière des États-Unis dans l’oligopole mondial [123]
Les « avantages firmes » tenant à la cohésion systémique de l’économie d’origine [126]
Les périls de I’IDE sortant massif [129]

Chapitre 6. Rivalité oligopolistique, localisation de la production industrielle et firme réseaux [133]

« Industries globales » ? « Usines globales » ? [135]
Investissements croisés et concurrence oligopolistique [136]
Les investissements étrangers des groupes français [139]
Production flexible, proximité du marché et disparités salariales entre pays [142]
L’intégration industrielle « continentale » [144]
Coûts de coordination, technologies de l’information et concentration [149]
Externalisation et firmes réseaux [152]
La firme japonaise : keiretsu et « toyotisme » [153]
Internalisation des externalités et quasi-intégration [155]
Les délocalisations sans investissements directs [158]

Chapitre 7. La technologie dans le déploiement mondial des groupes [163]

Quelques traits actuels majeurs de la technologie [164]
Coalitions États-groupes et concurrence systémique [167]
Les cinq dimensions du déploiement technologique des FMN [169]
Les missions des laboratoires à l’étranger [172]
Les tendances récentes de la R-D délocalisée [174]
Potentiels techniques et « invasion réciproque » [176]
Les différences par pays dans le degré de délocalisation de la R-D [178]
Quel indicateur choisir dans le cas du Japon ? [180]
La situation différenciée des groupes européens [181]
La R-D internationalisée des groupes français  [182]

Chapitre 8. Technologie, coopération oligopolistique et barrières à l’entrée [185]

La prise de brevet à l’étranger [186]
Oligopoles et réseaux d’alliances [188
[11]
Appropriabilité des innovations et oligopole [191]
Partage de savoirs et commercialisation croisée [193]
Les barrières à l’entrée aujourd’hui [195]
L’exemple des barrières dans l’électronique [197]
Oligopoles et normes industrielles [198]
L’exemple des télécommunications [200]
La coopération comme instrument de rivalité oligopolistique [203]

Chapitre 9. Les services, « nouvelle frontière » pour la mondialisation du capital [207]

Les ressorts différenciés de l’internationalisation [208]
Les impasses de l’approche résiduelle [211]
Le souci de rester maître de la chaîne de valeur [213]
La multinationalisation d’activités à fort contenu relationnel [218]
Quelques traits spécifiques des relations internes aux FMN de services [20]
Le caractère oligopolistique de nombreuses activités [223]
Les combinaisons de I’IDE et des alliances [226]
Les firmes réseaux dans les services [227]
L’exploitation de sources de main-d’œuvre qualifiée [230]
L’internationalisation des télécommunications [231]
Le multimédia : « nouvelle frontière » pour I’IDE dans les services [236]

Chapitre 10. Les groupes industriels, agents actifs de la mondialisation financière [239]

La variété des formes d’interpénétration entre industrie et finance [241]
Diversification vers la finance et banques de groupe [242]
« Ingénierie financière » et mondialisation du capital [246]
Instabilité monétaire et formation du marché financier privé internationalisé des groupes [249]
Groupes industriels et spéculation sur les changes [252]
Quelques remarques sur le corporategovemance [255]

Chapitre 11. Les échanges commerciaux dans le cadre de la « mondialisation » [259]

Les facteurs façonnant le système des échanges et ses traits les plus marquants [261]

[13]

Le taux de croissance supérieur des échanges par rapport aux PIB [263]
La bifurcation des années soixante-dix [266]
Polarisation et marginalisation : le sort des pays débiteurs du tiers monde [268]
Des substitutions de matières de base destructrices de courants d’échanges [270]
Les rôles nombreux des FMN dans le système des échanges [273]
La formation d’ensembles ou de « blocs » régionaux [278]
L’« impératif de la compétitivité » [280]

Chapitre 12. Un régime d’accumulation mondialisé à dominante financière [287]

Des transformations de caractère systémique [288]
La reconstitution d’un capital financier rentier puissant sous des traits originaux [290]
Les traits spécifiques du capital financier [291]
Une mondialisation financière d’un type déterminé [293]
Le capital industriel dans la phase de l’accumulation à dominante financière [294]
Sans régime d’accumulation mondialisé, comment le « mauvais capitalisme » pourrait-il chasser le « bon » ? [297]
L’accumulation lente et la dépression rampante des années quatre-vingt-dix [300]
Des mécanismes cumulatifs à effet dépressif [302]
Dans le cadre d’un régime d’accumulation unique, des situations nationales différenciées [305]
« Les États-Unis hors la crise », mais pour combien de temps ? [307]
La situation à la périphérie du système mondialisé [310]
Où le réalisme se situe-t-il ? [312]

Bibliographie [315]



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le vendredi 29 mai 2020 6:35
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur associé, Université du Québec à Chicoutimi.
 



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