RECHERCHE SUR LE SITE

Références
bibliographiques
avec le catalogue


En plein texte
avec Google

Recherche avancée
 

Tous les ouvrages
numérisés de cette
bibliothèque sont
disponibles en trois
formats de fichiers :
Word (.doc),
PDF et RTF

Pour une liste
complète des auteurs
de la bibliothèque,
en fichier Excel,
cliquer ici.
 

Collection « Les sciences sociales contemporaines »

JOURNAL DES ARMES, vol. 1, no 2, 1979
Liste des illustrations


Une édition électronique réalisée à partir du texte de la revue de La Société des collectionneurs d'armes du Québec [SOCAQ] (directeur de l'édition: Russel Bouchard), JOURNAL DES ARMES, vol. 1, no 2, 1979, 24 pp. [Document diffusé avec l'autorisation du directeur de la revue accordée le 22 septembre 2005.]


Figure page 3. Louis-Joseph Marquis de Montcalm.
Figure page 4. Vue de la face supérieure du tonnerre et de la mire. Croquis de Russel Bouchard et photos de Patrick Altman.
Figure page 5a. a) Profil et dimensions du canon. Croquis de Russel Bouchard.
Figure page 5b. la mire. Croquis de Russel Bouchard.
Figure page 9a. Épée de soldat à "la Mousquetaire" vers 1700. La garde est de laiton y compris la fusée. Collection et photo: Parcs Canada, Ottawa.
Figure page 9b. Détail de l'épée à "la Mousquetaire" vers 1700. Notez le travail grossier de ces armes faites en série. Collection et photo: Parcs Canada, Ottawa.
Figure page 10a. Épée de soldat à "pontat simple" vers 1750. La garde est de laiton et la fusée est de bois recouvert d'un filigrané de fil de laiton. Collection et photo: Parcs Canada, Ottawa.
Figure page 10b. Détail de l'épée à "pontat simple" qui illustre cette caractéristique. Collection et photo: Parcs Canada, Ottawa.
Figure page 12. Soldat des Compagnies Franches de la Marine vers 1725. Il y avait alors 28 de ces compagnies en garnison au Canada et 6 à Louisbourg. L'épée est dans son fourreau, suspendue au ceinturon, en dessous de la bayonnette. L'uniforme porté est un juste au corps gris-blanc doublé de bleu avec de larges parements bleus. La veste, la culotte et les bas sont également bleus. Les boutons sont en laiton et le tricorne noir est bordé de galon "d'or faux" et ornementé d'une cocarde noire retenue par un bouton de laiton. Les buffleteries sont de cuir naturel avec boucles de laiton tandis que le gargoussier est muni d'une patte de cuir rouge-brun avec une bordure et une ancre de cuir blanc. Le fusil de Tulle est reconstitué d'après les marchés de l'époque. Aquarelle de Michel Pétard. Collection et photo: Parcs Canada, Ottawa.
Figure page 13. Épée à la Mousquetaire, ceinturon et fourreaux vers 1725. Dessin de Michel Pétard. Collection et photo: Parcs Canada, Ottawa.
Figure page 14. Photographie du pistolet Modèle 1911 de la North American Arms portant le numéro de série 35. (Photo J.C. Paradis).
Figure page 15. Détail du numéro de série, 35, placé immédiatement à l'arrière des striations situées sur la face latérale gauche de la culasse, (Photo J.C. Paradis).
Figure page 16. Détail de l'inscription située sur la face latérale gauche de la culasse, (Photo J.C. Paradis).
Figure page 18. Usine "Quebec Ross Rifle" Photo de Fairchild Aerial Surveys Co. of Canada Ltd, Grand-Mère, 1926. Archives Nationales du Québec à Québec.
Figure page 20. Les Winchester demeurent les favorites de biens des collectionneurs qui réussissent à bâtir de très belles tables d'exposition lors des salons des armes.
Figure page 22. Sur cette photo prise lors du Palais du Commerce du Cap-de-la-Madeleine, nous reconnaissons autour de notre directeur de la Région de la Mauricie, Jacques Guilbeault, M. Marcel Gagnon, député de Champlain et son épouse, de même que M. Jacques Dugal, promoteur du Palais du Commerce.
Figure page 23. Le Musée de l'Île Sainte-Hélène.
Figure page 24. Les fusils du poste de traite Pontchartrain ; 1690-1760. Cette dernière étude de Russel Bouchard, apporte une lumière nouvelle sur les armes à feu utilisées en Nouvelle-France au cours de cette période.


Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le dimanche 16 février 2014 8:43
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie retraité du Cégep de Chicoutimi.
 



Saguenay - Lac-Saint-Jean, Québec
La vie des Classiques des sciences sociales
dans Facebook.
Membre Crossref