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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

Martin Blais, L'oeil de Caïn. Essai sur la justice (1994)
Avant-propos


Une édition électronique réalisée à partir du livre de Martin Blais, L'oeil de Caïn. Essai sur la justice. Montréal: Éditions Fides, 1994, 289 p. [L'auteur nous a autorisé, le 22 septembre 2004, à diffuser toutes ses publications.]

Avant-propos

Après avoir jeté l'ancre dans les eaux tranquilles du port, je tiens à remercier toutes les personnes amies qui m'ont aidé à naviguer sur la mer houleuse de la justice. Je me suis adressé à des personnes « amies », car elles seules sont intéressées à ce qu'un ouvrage soit le moins imparfait possible. En lisant la version qui suit, certaines d'entre elles diront peut-être : « Ah la tête de mule : il n'a pas tenu compte de telle suggestion que je lui ai faite. » C'est vrai. J'ai toujours enseigné qu'il faut prendre conseil, mais que la décision finale revient à la personne qui assumera la responsabilité. 

Voici donc la liste de ces personnes qui m'ont encourage a poursuivre ma recherche, ou qui m'ont donné de judicieux conseils, et fait d'excellentes suggestions : M. le juge Gilles Plante du Tribunal du travail ; M. Arthur Bourdeau, professeur de philosophie au cégep et à l'Université du Québec à Chicoutimi ; M. Claude Masson, professeur au département d'économique de l'Université Laval ; M. Marc Gagné, professeur au département des littératures de la même université ; Me Michel Giroux, professeur de philosophie et consultant en éthique médicale ; M. Nestor Turcotte, professeur de philosophie au cégep de Matane ; Mme Diane Simpson du ministère de l'Éducation ; enfin et surtout, Monique, ma femme, qui, en plus, devait veiller à l'honneur et à la sécurité de la famille. 

Pour ne pas étirer un texte déjà long, j'ai évité les expressions du genre suivant : les citoyens et les citoyennes, les auteurs et les auteures, les avocats et les avocates, etc. D'autant que le procédé conduit vite au cul-de-sac des médecins et des.... des témoins et des... Le plus souvent possible, j'ai employé le mot personne, qui désigne aussi bien un homme qu'une femme. 

Selon mon habitude, j'ai cité beaucoup d'auteurs, mais aucun ne l'a été en tant qu'autorité. La plupart, on le verra, me fournissaient une opinion à redresser, quelques-uns une formule heureuse ou un exemple piquant. Par déformation professionnelle, j'ai cité Thomas d'Aquin plus souvent que tout autre. Je m'en excuse auprès de ceux qui n'accueillent jamais une idée sans en connaître l'auteur. De toute façon, lui non plus n'a jamais été cité comme une autorité. S'il n'a pas tenu les propos étonnants que je lui prête, tant pis pour lui : je les prends à mon compte...


Retour au texte de l'auteur: Martin Blais, philosophe, retraité de l'Université Laval. Dernière mise à jour de cette page le mardi 12 septembre 2006 14:24
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur au Cégep de Chicoutimi.
 



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