Gérard Bergeron (1922-2002), Révolutions tranquilles à la fin du XIXe siècle. Honoré Mercier, Félix-Gabriel Marchand.

Révolutions tranquilles à la fin du XIXe siècle. Honoré Mercier, Félix-Gabriel Marchand (1997)
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Une édition électronique réalisée à partir de l'article de M. Gérard Bergeron (1922-2002), Révolutions tranquilles à la fin du XIXe siècle. Honoré Mercier, Félix-Gabriel Marchand. Montréal: Les Éditions Fides, 1997, 232 pp. Une édition numérique réalisée par Marcelle Bergeron, bénévole, professeure à la retraite de l'École polyvalente Dominique-Racine de Chicoutimi, Ville de Saguenay. Autorisation formelle accordée, le 12 avril 2005, par Mme Suzane Patry-Bergeron, épouse de feu M. Gérard Bergeron, propriétaire des droits d'auteur des oeuvres de M. Gérard Bergeron]

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Avant-propos

Première partie. HONORÉ MERCIER (1887-1891): Chapitre 1. Un « national » québécois qui s’impose en se faisant d’abord élire à Ottawa; Chapitre 2. La longue marche d’une lente opposition; Chapitre 3. Enfin au pouvoir, c’est-à-dire à l’œuvre : 1887-1891; Chapitre 4. Chassé du pouvoir, c’est-à-dire l’épreuve : 1891-1894; Chapitre 5. Fin de régime dans des ambiances de scandales publics; Chapitre 6. En partie fondée, en partie mythique, la renommée d’Honoré Mercier; Appendice. La postérité politique de Mercier sur deux générations
Deuxième partie. FÉLIX-GABRIEL MARCHAND (1897-1900): Chapitre 7. Aux antipodes, mais aussi continuateur de Mercier; Chapitre 8. La maturation d’un « brillant second »; Chapitre 9. Au temps de la destitution d’Honoré Mercier; Chapitre 10. Une autre « révolution tranquille » avec Marchand; Chapitre 11. Coexistence de l’homme politique et de l’homme de lettres; Chapitre 12. « C’est l’édifice fédéral renversé »
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