Insertion des jeunes,
organisation communautaire et société.

L’expérience fondatrice des Carrefours jeunesse-emploi
au Québec.

Remerciements

Je remercie tous ceux et celles qui, de près ou de loin, m'ont permis d'écrire ce livre. Chronologiquement, je dois commencer par adresser mes vifs remerciements à l'équipe des années 1985-1986 de la direction régionale de l'Office de planification et de développement du Québec (OPDQ) qui m'a introduit dans le milieu des organisations communautaires dans l'Outaouais et m'a fourni l'occasion de me sensibiliser très tôt aux problèmes de l'exclusion des jeunes du Québec. Je garde de très bons souvenirs de tous les membres de cette équipe au sein de laquelle j'ai passé les meilleurs moments en milieu de travail.

Mes sincères remerciements vont ensuite aux pionniers et novateurs du Carrefour jeunesse-emploi de l'Outaouais, notamment les organisateurs communautaires en CLSC au début des années 1980 Jacques Carrière, Daniel Fortin, Louise Boillard, Constance Allain, Monique Pellerin et tant d'autres. Les uns et les autres m'ont associé de près aux différentes étapes, non sans soubresauts, de la création de ce dispositif qui, au milieu des années 1990, après dix années d'expérimentation et de succès en employabilité et insertion des jeunes, est devenu un exemple généralisé dans tout le Québec.

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La relève de ces pionniers a maintenu cette collaboration avec moi. J'adresse en particulier toute ma reconnaissance à Martine Morissette, directrice générale du Carrefour jeunesse-emploi de l'Outaouais, qui a toujours cru à l'importance de la recherche en intervention sociale. Elle m'a toujours fait confiance et a facilité ma tâche de chercheur tout en respectant ma liberté intellectuelle.

Au cours des années, plusieurs assistants et assistantes de recherche m'ont accompagné à l'une ou l'autre étape de mes enquêtes, études et recherches sur le mouvement communautaire, l'exclusion et l'insertion des jeunes. je dois d'abord remercier Marthe Lafrenière, Abdou Saouab et Paul Labelle, qui ont été mes premiers assistants de recherche. Caroline Gagnon a pris la relève à titre de professionnelle de recherche à l'Université du Québec à Hull (UQAH). Je la remercie de façon particulière de sa collaboration constante. Daniel Turcotte, actuellement professeur à l'École de service social de l'Université Laval, a été associé, à l'époque où il était professeur au Département de travail social de l'Université du Québec à Hull (UQAH), à l'étude sur les participants du programme OTO. J'ai apprécié travailler avec ce collègue et je garde de lui un bon souvenir.

Enfin, je dis un sincère merci à mes collègues Louis Favreau et Lucie Fréchette, respectivement coordonnateur de la Chaire de recherche en développement communautaire (CRDC) et coordonnatrice du Groupe d'étude et de recherche en intervention sociale (GERIS) de l'Université du Québec à Hull (UQAH), qui m'ont beaucoup encouragé à écrire ce livre. J'ai souvent bénéficié du soutien technique de Lucie Beaudoin et Julie Sénéchal, respectivement adjointes à la coordination de la CRDC et du GERIS. J'ai eu aussi des échanges d'informations très fructueux avec elles. Que l'une et l'autre trouvent ici mes sincères remerciements. je remercie également pour son aide Flor Peralta du personnel de soutien à la recherche au GERIS et à la CRDC.

J'ai bénéficié du soutien financier du Fonds interne de recherche de l'Université du Québec à Hull et du Programme de subventions en santé publique du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec, administré par la Régie régionale de la santé et des services sociaux de l'Outaouais (RRSSSO). Ma sincère reconnaissance à ces deux instances.