Le Cahier de l’ACSALF
Volume 2, numéro 1, février 2005 

Portrait en mosaïque de la relève

Sous la direction Jean-Philippe Warren

"Je suis heureux de vous présenter le nouveau numéro du Cahier de l’ACSALF portant sur les orientations de la recherche des jeunes chercheurs à partir du jugement porté sur celles-ci par leur directeur d’études. C’est Jean-Philippe Warren qui a recueilli ces commentaires qui donnent un portrait fort intéressant et diversifié des questions qui animent les générations nouvelles. Sans prétendre à l’exhaustivité, un tel portrait confirme que nos disciplines sont bien vivantes, qu’elles renouvellent continuellement le questionnement sur la société, bref que les années à venir sont prometteuses." (Joseph Yvon Thériault, Université d’Ottawa, Président de l’ACSALF, Mot du président, « Le cahier de l’ACSALF », volume 2, numéro 1, février 2005)

"C’est poussé par la curiosité que nous avons invité quelques professeurs et l’ensemble des membres de l’ACSALF à dégager, sommairement et grossièrement, quelques-unes des avenues et perspectives de recherche qui semblent aujourd’hui attirer les jeunes chercheurs. Nous voulions pouvoir répondre, de manière toute provisoire, il va sans dire, aux questions suivantes: Quels sont les nouveaux objets ou champs de recherche sur lesquelles travaillent les étudiants en maîtrise et au doctorat en sociologie ? (La question fut aussi posée aux anthropologues, mais aucune réponse ne nous ait parvenu. De même, aucun sociologue de l’Université de Moncton et de l’Université d’Ottawa n’a pas été tenté par l’exercice.) Quelles méthodes privilégient-ils? Quelle démarche certains d’entre eux se décident-ils à suivre? Sur quelle littérature savante fondent-ils leurs analyses? Quelles préoccupations entretiennent-ils quant à la valeur et la portée de leurs analyses? Etc.

    Pour répondre à de telles questions, il était suggéré aux éventuels collaborateurs de se baser d’abord sur leur expérience de direction ou d’évaluation de mémoires et de thèses. Ces mémoires ou thèses n’avaient pas besoin d’être les meilleurs; il leur suffisait d’être, soit parmi les plus originaux, soit au contraire parmi les plus représentatifs de ce que font les étudiants de deuxième et troisième cycles, soit, enfin, exemplaires par l’oubli de perspectives ou thèmes jugés particulièrement prometteurs ou importants." (Jean-Philippe Warren, Université Concordia, Vice-président de l'ACSALF, Un mot de l'éditeur, « Le cahier de l’ACSALF », volume 2, numéro 1, février 2005)

Bonne lecture !