Le Cahier de l’ACSALF
Volume1, numéro 1, avril 2004 

Tendances du XXe siècle québécois

Sous la direction de Simon Langlois et Jean-Philippe Warren

« Cher(e)s membres, en consultant ce document vous découvrirez une nouvelle publication, Le Cahier de l’ACSALF. Ce document thématique succède aux traditionnels « Bulletin de liaison » et « Bulletin d’information ». Le conseil d’administration a convenu d’un titre et d’un graphisme nouveau afin de souligner les projets récemment mis de l’avant par l’ACSALF. L’inauguration de ce titre vise aussi à mieux distinguer son contenu de celui de l’Info ACSALF. En effet, l’appellation « Cahier » est plus fidèle au type d’assemblage d’idées, de discussions, de connaissances et de publicités traditionnellement réalisé dans cet écrit comparativement au mensuel électronique Info ACSALF qui assure la diffusion à la fois d’informations directes auprès des membres sur des événements scientifiques et publics et de consignes de différents ordres. Cette démarche est d’autant mieux soutenue avec les aménagements récents effectués dans notre site web en vue d’échanges rapprochés entre membres et organismes et pour un accès élargi à un public en quête des services de sociologues et d’anthropologues d’ici. Bref, il s’agit d’améliorations pour mieux médiatiser le dynamisme de notre association et celui des disciplines avec lesquelles l’ACSALF collabore ».

(Lucie C. Mercier, Mot de la présidente, « Le cahier de l’ACSALF », volume 1, numéro 1, avril 2004)

« L’initiative de ce numéro spécial a été prise par Simon Langlois – engagé avec Gilles Gagné et Jean-Jacques Simard dans le projet de recherche Le XXe siècle québécois en cours à l’Université Laval – et par Jean-Philippe Warren, de l’Université Concordia (qui a surtout agi ici à titre de coordonnateur). En invitant quelques autres collègues à s’associer à l’idée de mieux saisir le « passage du Canada français historique à la société québécoise », nous avons voulu provoquer une sorte de chassé-croisé des interprétations, de manière à permettre de confronter les points de vue de différents spécialistes. Cette confrontation s’avérait, selon nous, d’autant plus nécessaire qu’une sonde partielle, ou oblique, de l’évolution chiffrée de la société québécoise peut rapidement mener à des conclusions trompeuses, sinon univoques. On sera frappé, en effet, à la lecture de ce petit numéro, par la nécessité d’établir des liens plus forts entre les évolutions empiriques des indicateurs retenus et par la nécessité d’élargir le champ de l’investigation ». (Simon Langlois et Jean-Philippe Warren, Un mot de l’éditeur, « Le Cahier de l’ACSALF », volume 1, numéro1, avril 2004)

Bonne lecture !