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Collection « Sciences du développement »
Une édition électronique réalisée à partir du texte de M. Dominique MWEZE Chirhulwire Nkingi, “Le NEPAD et sa politique relative aux nouvelles technologies de l'information et de la communication”. Un article publié dans le Bulletin de l’ANSD, volume 5, décembre 2004, pp. 55-65. Kinshasa: Académie nationale des sciences du développement. [Autorisation accordée par le professeur et transmise par le professeur Michel Maldague, le 5 janvier 2005.] Introduction Le 23 mai 2002, le ministre sud-africain des finances (M. Trevor Manuel) et son homologue le ministre des finances des États-Unis (M. Paul O'Neill) avaient rendu public un communiqué dans lequel ils déclaraient que « le développement durable est une condition préalable essentielle de la croissance économique des pays en développement et de l'élimination de la pauvreté dans le monde ». Les deux pays cosignataires affirmaient qu'ils soutenaient sans réserve le Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NFPAD) qui a mis sur pied une stratégie solide en vue d'améliorer la gestion des affaires politiques et économiques dans l'ensemble du continent et de créer un climat favorable à des investissements productifs et à la création des entreprises [1]. Il m'a semblé que le développement durable dont il est ici question ainsi que la politique du NEPAD ne peut se concevoir en dehors de la révolution numérique dans laquelle les nations industrialisées ont tiré profit pour leur propre développement. Ma communication [2] comprendra trois points :
[2] Pour de plus amples renseignements, on se référera à nos recherches antérieures, citées en Annexe.
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