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Collection « Histoire du Saguenay-Lac-Saint-Jean »

Le Saguenay au service du Canada (1947)
Liste des photographies


Une édition électronique réalisée à partir de l'article de B.J. McGuire et H.E. Freeman, Le Saguenay au service du Canada. Texte français traduit d’après un article publié dans le numéro de novembre 1947 de la revue, Canadian Geographical Journal. Publication française, janvier 1954. Une édition numérique réalisée par Michel Fortin, bénévole, adjoint à la marie de Ville de Saguenay. [Section: Histoire régionale: Le Saguenay-Lac-Saint-Jean].

Photo de la page couverture.

Photo 1.      Photo du haut : Vue aérienne de la cité-modèle d’Arvida, que l'Aluminum Company of Canada, Ltd. a érigée d'après un plan d'urbanisme. Population : 10,000 âmes. Photo du bas : L’usine d’Arvida, qui occupe un territoire d’un mille et demi de longueur et de trois quarts de mille de largeur, produit 2 millions de livres d’aluminium par jour.

Photo 2.      Les rues larges et les terrains spacieux d’Arvida. Au premier plan, à gauche, le centre des Loisirs des employés.

Photo 3.      Le Saguenay, frémissant et bondissant, s’élance à l’assaut des montagnes qui lui servent de décor. Du lac St-Jean au fleuve St-Laurent, la vallée du Saguenay parcourt 80 milles.

Photo 4.      Les eaux impétueuses du Saguenay ont été harnachées pour engendrer l’énorme quantité d’énergie électrique nécessaire à la production de l’aluminium.

Photo 5.      Les eaux du Saguenay actionnent les générateurs de l’immense centrale de Shipshaw dont la production est de 1,200,000 h.p.

Photo 6.      Les quais de Port-Alfred. Plus de 400 cargos, venant de toutes les parties du monde, transportent chaque année les matières premières de l’aluminium.

Photo 7.      La fabrication du câble d’aluminium à âme d’acier, appelé «A.C.S.R.».

Photo 8.      L’installation de l’un des douze générateurs de la centrale de Shipshaw numéro 2.

Photo 9.      La gigantesque entreprise hydroélectrique de Shipshaw. Au premier plan, la centrale numéro 2. À l’arrière-plan, à gauche, la centrale numéro 1. Entre les deux, le canal, creusé entièrement sur un parcours d’un mille et demi, détourne le cours du Saguenay vers la centrale numéro 2. Les deux centrales peuvent engendrer 1,500,000 h.p. soit environ quatre fois plus que l’énergie électrique consommée à Montréal.

Photo 10.    Pour maîtriser les eaux du Saguenay, il a fallu du courage, de l’audace et de la science.

Photo 11.    La première centrale de la région fut celle de l’Isle-Maligne, érigée en 1926. Capacité : 540,000 h.p.

Photo 12.    Barrage temporaire, au pied de la centrale, pour retenir les eaux pendant les travaux de construction.

Photo 13.    L’énorme masse de béton, devant servir de barrage, en position verticale sur le bord de la rivière.

Photo 14.    Le dynamitage et la chute du barrage.

Photo 15.    Le barrage en place après sa chute.

Photo 16.    Travaux de construction à Shipshaw. À droite, creusage du canal de décharge de l’usine numéro 2.

Photo 17.    L’aménagement de l’un des cinq grands barrage du canal qui amène les eaux du Saguenay à la centrale.

Photo 18.    La construction de la centrale hydroélectrique de Shipshaw numéro 2.

Photo 19.    Les froids les plus rigoureux n’arrêtent pas les travaux.

Photo 20.    Le barrage temporaire à l’emplacement du canal de décharge.

Photo 21.    L’ancien chenal du Saguenay. Sur le plateau, l’on aperçoit les habitations des ouvriers des chantiers en construction.

Photo 22.    Vue après l’explosion. Les eaux du Saguenay retournent à leur chenal naturel après avoir transmis leur énergie aux générateurs.

Photo 23.    Le barrage de la Passe Dangereuse partiellement terminé.

Photo 24.    De haut en bas. L’usine d’Isle maligne, en amont d’Arvida. Cette usine plus petite que celle d’Arvida, produit des lingots d’aluminium. On y a aussi manufacturé des millions de livres de poudre d’aluminium pour la fabrication des bombes incendiaires durant la deuxième guerre mondiale. La coulée en lingots. Des lingots d’aluminium prêts à l’expédition.

Photo 25.    La façade de la centrale hydroélectrique de Shipshaw numéro 2.

Photo 26.    De haut en bas : Attrayantes maisons ouvrières dans un bosquet. Des terrains spacieux, des rues larges et bien pavées, grâce à un plan d’urbanisme bien conçu. L’une des églises de la ville.

Photo 27.    A gauche, de haut en bas : les maisons d’Arvida sont bien construites, modernes et confortables. Des rues sinueuses contrastent avec la monotonie trop fréquente de nos villes. Le Saguenay Inn, construit dans le style d’un vieux manoir français. A droite, de haut en bas : l’une des écoles d’Arvida. Proportionnellement au nombre des écoliers, Arvida occupe probablement le premier rang, parmi toutes les villes de l’Amérique du Nord, quant à l’espace réservé aux classes. Une classe de travaux manuels. Des classes spacieuses, avec un nombre limité d’élèves, permettant une instruction individuelle et efficace.

Photo 28.    Le laboratoire de recherche à Kingston en Ontario, où les techniciens d’une compagnie associées étudient de nouvelles méthodes de production et de nouveaux usages de l’aluminium.

Photo 29.    Les techniciens dans l’une des salles du laboratoire. L’un des laminoirs de l’usine de Kingston, Ontario.

Photo 30.    La fabrication des chaudières d’eau d’érable à l’usine de Toronto.

Photo 31.    Le coulage de l’aluminium dans les moules de sable.


Retour au texte de l'auteur: Eugène l'Heureux, directeur “Progrès du Saguenay” Dernière mise à jour de cette page le samedi 11 février 2006 14:34
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue.
 



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