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Collection « Les auteur(e)s classiques »

Henri Sée, L’évolution commerciale et industrielle de la France sous l’ancien régime. (1925)
Table des matières


ne édition électronique réalisée à partir du livre d'Henri Sée, L’évolution commerciale et industrielle de la France sous l’ancien régime. Paris: Marcel Giard, Libraire-éditeur, 1925, 396 pages. Une édition numérique réalisée par Jean-Marc Simonet, professeur retraité de l'enseignement, Université de Paris XI-Orsay, bénévole.

Table des matières


Préface

PREMIÈRE PARTIE

LES SURVIVANCES DU PASSÉ (XVIIe SIÈCLE)


Chapitre premier.
Les origines de l’organisation du travail. Le Moyen Age.

I. Les origines des communautés de métiers. Métiers libres et métiers jurés.

II. L’action de l’autorité royale sur les métiers au XVe siècle.

III. Les origines de l’industrie capitaliste.

Chapitre II.
L’industrie et le commerce au XVIe siècle.

I. L’extension du régime corporatif ; les édits de 1581 et de 1597. L’action du pouvoir royal.

II. L’expansion économique. La révolution monétaire et la hausse des prix.

III. Les progrès du commerce.

IV. Les fabrications nouvelles : industries de luxe et d’art. Atteintes au régime corporatif.

V. Mercantilisme et système protecteur.

VI. Le capitalisme. Conflits entre le capital et le travail.

Chapitre III.
L’organisation des métiers au XVIe siècle.

I. Prédominance des petites exploitations.

II. Extension du régime corporatif. Métiers libres transformés en jurandes.

III. L’apprentissage. La condition de l’apprenti.

IV. Les compagnons et la main-d’œuvre.

V. Difficulté croissante de l’accès à la maîtrise.

VI. L’administration du métier. Les jurés et leurs fonctions.

VII. La confrérie.

VIII. Rôle des communautés de métiers. Concurrence et procès.

IX. La hiérarchie des métiers.

X. Conséquences économiques et sociales de l’organisation corporative.

Chapitre IV.
Le pouvoir royal et les métiers.

I. Les effets des édits de 1581 et de 1597.

II. L’édit de 1673 et la politique de Colbert. Dans quelle mesure le régime corporatif s’est développé.

III. La fiscalité royale. Les offices des communautés et leur rachat.

Chapitre V.
Le commerce au XVIIe siècle. Conditions de son développement.
La technique commerciale
.

I. Conditions défectueuses. Voies de communication, transports, monnaies.

II. Les obstacles : péages ; régime des douanes.

III. Persistance des foires.

IV. Le commerce en gros. La technique commerciale. Les banques. Les courtiers et commissionnaires.

V. L’ordonnance de commerce de 1673.

Chapitre VI.
Le commerce extérieur.

I. Le système protecteur. Les tarifs de 1664 et de 1667.

II. Politique commerciale plus libérale ; les traités de commerce.

III. Relations commerciales avec l’Angleterre, la Hollande, l’Espagne, les pays du Nord.

IV. Importance du commerce du Levant.

V. Le grand commerce maritime et colonial. Les grandes Compagnies de commerce.

VI. Progrès des possessions coloniales.

VII. Le commerce avec l’Amérique du Sud. La contrebande sur la côte du Pacifique.

Chapitre VII.
Les manufactures au XVIIe siècle.

I. La théorie mercantile et la politique de Colbert.

II. Le Conseil du Commerce. Les manufactures de l’État.

III. Colbert l’ait appel à des ouvriers étrangers.

IV. Les privilèges accordés aux manufactures. Les monopoles. Les primes.

V. Caractère des manufactures. L’industrie rurale et domestique.

VI. Les industries de luxe.

VII. Bas au métier ; bonneterie, draperie. La métallurgie.

VIII. La réglementation industrielle.

IX. Création des juges des manufactures, des inspecteurs.

X. Comment est appliquée la réglementation.

XI. La décadence des manufactures après 1690. Ses causes.

XII. Elle s’accentue après 1700.

XIII. Tableau de l’industrie à la fin du règne de Louis XIV.

Chapitre VIII.
La condition et la vie des classes ouvrières et marchandes
au XVIIe siècle
.

I. Charges qui pèsent sur les gens de métiers.

II. Mode de vie des artisans.

III. Différences de conditions : métiers aisés et métiers pauvres.

IV. Marchands, entrepreneurs et directeurs de manufactures.

V. Les compagnons.

VI. La journée de travail et les salaires.

VII. Les compagnonnages.

VIII. Les grèves.


DEUXIÈME PARTIE

LES TENDANCES NOUVELLES (XVIIIe SIÈCLE)


Chapitre premier.
La décadence des corporations de métiers au XVIIIe siècle.

I. Accroissement du nombre des métiers jurés. L’édit de 1767.

II. La tutelle de l’autorité royale.

III. Le métier est de plus en plus une caste fermée. Les métiers maintiennent jalousement leurs monopoles, sont hostiles à toute innovation.

IV. La fiscalité royale : offices et lettres de maîtrise. Les dettes des communautés.

V. Tentatives de réformes.

VI. Turgot et la suppression des corporations.

VII. Les corporations à la fin de l’ancien régime.

Chapitre II. L’évolution commerciale,
conditions déterminantes de cette évolution
.

I. Les progrès des voies de communication : routes et canaux. Leurs imperfections.

II. Les transports laissent encore à désirer. Décadence des foires.

III. Les banques et le crédit.

IV. La technique commerciale.

V. La nouvelle politique commerciale.

VI. Les traités de commerce ; le traité de 1780 avec l’Angleterre.

Chapitre III.
Les progrès du commerce au XVIIIe siècle.

I. Le commerce intérieur.

II. Les relations commerciales avec l’Espagne, l’Angleterre, la Hollande, l’Italie, les États-Unis.

III. Le commerce du Levant.

IV. Le commerce colonial et la Compagnie des Indes.

V. Le monopole de la métropole et le commerce des Antilles.

VI. Prospérité des ports de l’Atlantique : Bordeaux, Nantes, La Rochelle, Saint-Malo, Le Havre.

VII. Données générales sur le développement du commerce.

Chapitre IV.
Le développement des manufactures au XVIIIe siècle.
La première période (1713-1750)
.

I. L’administration du « commerce » : Conseil et bureau du commerce ; députés du commerce et chambres de commerce : inspecteurs des manufactures ; gardes jurés ; intendants.

II. Manufactures royales et manufactures privilégiées. Encouragements aux manufactures. Monopoles et ligues.

III. La réglementation ; comment elle empêche les progrès de l’industrie.

IV. L’activité industrielle de 1715 à 1750.

Chapitre V.
Les manufactures dans la seconde moitié du XVIIIe siècle
et les origines de la grande industrie
.

I. Les nouvelles conceptions économiques : Vincent de Gournay ; les physiocrates.

II. Atténuation du régime prohibitif ; la question îles toiles peintes.

III. La réglementation se relâche.

IV. Extension de l’industrie rurale et domestique.

V. Partout, c’est le régime des moyennes ou petites industries qui prédomine.

VI. Cependant progrès de la technique industrielle. Introduction des métiers anglais.

VII. Fondation de quelques grandes usines, surtout dans la fabrication cotonnière et dans l’industrie métallurgique.

VIII. Quelques grandes exploitations houillères : Anzin, Carmaux, Alais.

IX. La crise industrielle de 1787 1789. Ses causes.

X. Cependant, dans l’ensemble, une grande expansion industrielle marque la seconde moitié du XVIIIe siècle.

Chapitre VI.
Les artisans, les négociants et les gros entrepreneurs
au XVIIIe siècle
.

I. Mode de vie des artisans.

II. Artisans tombant à la condition de salariés : les maîtres ouvriers en soie de Lyon.

III. Les négociants et les gros entrepreneurs.

IV. Les marchands.

V. Les artisans des campagnes.

Chapitre VII.
Le mode de vie des compagnons au XVIIIe siècle.

I. L’apprentissage el la condition de l’apprenti.

II. Les compagnons des petits ateliers ; leur esprit exclusif.

III. Les compagnons des grandes manufactures : discipline auxquels ils sont soumis ; l’origine du livret ouvrier.

IV. Logement, nourriture, habillement. — Durée de la journée de travail. Les salaires ; se sont-ils élevés autant que le coût de la vie ?

V. Mesures tendant à empêcher la hausse des salaires.

VI. État moral des compagnons ; mœurs grossières et brutales.

Chapitre VIII.
L’organisation ouvrière au XVIIIe siècle.

I. Les compagnonnages. Leur organisation. Lutte des patrons et de l’autorité contre les compagnonnages. Les devoirs rivaux se combattent. Associations des ouvriers papetiers.

II. Les grèves. Leurs causes et leur caractère. Les grèves à la veille de la Révolution.

III. Entente des patrons contre les ouvriers. Le pouvoir royal contre les coalitions ouvrières : les lettres patentes de 1749 ; l’édit de Turgot de 1776 ; le règlement de 1781. Le décret Le Chapelier (juin 1791).

IV. On se défie même des mutualités.

V. Y a-t-il une question ouvrière en 1789 ? En quel sens les ouvriers ont-ils contribué à la Révolution ?

Conclusion

Bibliographie

Index


Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le lundi 11 octobre 2010 16:32
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie au Cegep de Chicoutimi.
 



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