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Collection « Les auteur(e)s classiques »

William Gifford Palgrave, Une année dans l’Arabie centrale (1862-1863).
Table des matières


Une édition électronique réalisée à partir du texte de William Gifford Palgrave, Une année dans l’Arabie centrale (1862-1863). Traduction d’Émile Jonveaux Abrégée par J. Belin-De Launay. Librairie de L. Hachette et Cie, Paris, 1869, 340 pages, 1 carte. Une édition numérique réalisée par M. Jean-Marc Simonet, professeur retraité de l'enseignement, Université de Paris XI-Orsay.

Table des matières

Introduction 

Chapitre I — Le Djôf et le Chomeur 

William Gifford Palgrave. Objet de ce voyage. — Départ de Maan. — Baracat passe pour mon élève. — Je me donne pour un médecin. — Le désert pier-reux. — Le simoun. — Les gentilshommes de la Ouadi Seurhan. — Le Djôf. — Demeure de Ghafil. — Khavoua et cafetières. — Préparation et distribution du café. — Les dattes et leur assaisonnement. — Présentation au gouverneur. — Nous partons du Djôf. — Les ouvrages des chrétiens. — Néfoud occidental. — Mauvais projets des Chérarats. — Djobba. — Hayel. — Le chambellan Seyf. — Le prince Télal. — Zamil. — Abdel-Masin. — Installation. — Clientèle. — Les fils de Télal. — Le paysan et ses rhuma-tismes. — Le forgeron Doheym et sa famille. — Métaab, frère de Télal. — Entrevue confidentielle du prince. — Obeyd le Loup est le chef de nos ad-versaires. — Sa lettre de recommandation. — Je fais alliance avec Télal et pars pour Riad. 

Chapitre II — L’Arabie et les Arabes 

Quels sont les Arabes et ce qu’est l’Arabie à proprement parler. — Le fertile litto-ral et la chaîne qui le borne. — La ceinture de sable. — Nedjed ou plateau central. — Les Néfouds et leurs ondulations. — Excavations en forme de cratère. —Les ouadis et leurs eaux visibles ou souterraines. — Le massif du Toweyk, son altitude, ses gradins, ses vallées et ses eaux hivernales. — Sta-tistique du Chomeur, —Division politique et statistique du Nedjed et de l’Oman. — Sédentaires et nomades. — Les bédouins sont des Arabes dégé-nérés ou restés sauvages. — Le sam, le mésa et le lait forment leurs princi-paux aliments. — Amour du pillage, perfidie et hospitalité des bédouins. — Ismaélites, Kâtanites et Nabathéens. — Les nègres et les mulâtres. — Af-franchis et esclaves. — La langue du Coran est celle que parlent les Ismaéli-tes. — Au sud de Riad, l’idiome kâtanite, et, plus au midi, l’himyarite. — Dattes. — Café. — L’Europe ne reçoit pas un grain de Moka. — Absence d’insectes. — Gibier. — Moutons et laine. — Bœufs et vaches. — Perles. — Chameaux et dromadaires. — Excellence des chevaux nedjéens. 

Chapitre III. — Le Cacim inférieur et le Nédjed 

Notre caravane et ses aventures. — Le Cacim inférieur. — Les pierres de Darim. —Bereyda. — Camp de pèlerins chiites. — Demeure payée 2 fr. par mois. — Entrevue avec le gouverneur Mohanna. — Le guide Abou-Eysa. — Il consent à nous conduire à Riad. — Combat, au faubourg, entre les Vouaha-bites et les défenseurs d’Oneyza. — Le Naïb Mohammed-Ali. — Comment acheter du tabac dans le Nedjed ? — Toweym — Un Européen faux dervi-che tué à Déreya. — Vue de Riad et de sa vallée. — Le palais des rois vouahabites. — Le vizir Abdel-Aziz. — Notre arrivée remplit Feysoul de frayeur et le force à se cacher. — Le théologien Abdel-Hamid. — Abboub le zélateur. — Des cadeaux nous obtiennent le droit d’exercer la médecine à Riad. — Abou-Eysa s’allie à nous. — Notre installation dans le quartier le moins dévôt. — Les quatre quartiers. — Le trésorier Djôhar. — L’ex-zélateur Abdel-Kérim me paye malgré lui. — Le chapelain Abder-Raman. — Le cadi Abdel-Latif. — Abdalla, fils aîné de Feysoul, veut apprendre la médecine. —Le premier ministre Mâboud nous croit des envoyés égyptiens. — Les zélateurs joués et mis en fuite. — Comment le Naïb obtint répara-tion. — Abou-Eysa est nommé chef unique des caravanes persanes. — Saoud, second fils de Feysoul. —Mésintelligence fraternelle. — Abdalla veut m’établir à Riad. — Je refuse de lui laisser du poison. — Il me menace de mort. — Nous nous évadons de Riad pendant l’heure de la prière. 

Chapitre IV. — Religion et morale 

État religieux de l’Arabie avant Mahomet. — Monothéisme, sabéisme, fétichisme et christianisme. — L’idée mère de l’islam : « Il n’y a d’autre Dieu que Dieu, » est un panthéisme despotique. — Dès la création, tous les hommes futurs ont été prédestinés à l’enfer ou au paradis. — Ils ont pour égaux les chameaux et les archanges. — Le mahométisme est l’égoïsme et l’immobilité. — Les prohibitions ont pour objet de séparer les mahométans des autres hommes et surtout des chrétiens. — La religion, la guerre et les femmes doivent consumer l’énergie de l’homme. — La famille est anéantie par le harem. — Le joug avilissant de l’islam est repoussé par la conscience. — Doctrines de Moseylema, des carmathes, des kadérites et des biadites. — Restauration de l’islam par Mahomet, fils de Vouahab. — Réforme du vouahabisme et institution des zélateurs. — Les vouahabites négligent les pratiques religieuses. — Ils ne reconnaissent que deux grands péchés : 1° rendre les honneurs divins à une créature ; 2° fumer du tabac. — La pros-cription du tabac sépare les vouahabites des autres musulmans. — La mo-rale n’a pas de place dans les sermons vouahabites. — Rien n’égale la cor-ruption des principaux centres du mahométisme. — La prospérité de l’Arabie ne renaîtra qu’après la disparition de l’islam et du vouahabisme. — Le retour des Arabes au christianisme est possible. 

Chapitre V. — Histoire des Vouahabites 

Révolution qui précède Mahomet. — État politique de l’Arabie à l’époque de la prédication de l’islam. — Khaled bat et tue Moseylema à Raouda. — Ha-roun-al-Rachid rend imminent le morcellement de l’empire des califes, — Victoire des carmathes à Moghasi. — L’Arabie après la défaite des carma-thes. —Amed-ebn-Saïd délivre de l’autorité persane l’Oman, dont Saïd, le sultan, fonde la puissance maritime. — Histoire de Mahommed-ebn-Abdel-Vouahab. — Saoud, chef de Dereya, prend son parti (1760). — Ses conquê-tes. — Position dans l’État nedjéen des descendants d’Abdel-Vouahab. — Abdel-Aziz ayant attaqué la Perse et l’Oman meurt assassiné par un chiite. — Abdalla saccage Mechid. — Hosseyn pille La Mecque et Médine. — Il est maudit par une femme. — Invasion de Tarsoun-Pacha. — Ibrahim « roule le tapis arabique, » défait Abdalla à Coreyn et prend Dereya — Son œuvre est détruite par ses successeurs. — Tourki choisit Riad pour capitale, fuit devant Hossein-Pacha, et met à la tête de ses troupes Abdalla, fils de Rachid. — Celui-ci venge l’assassinat de Tourki par Mechari, restaure Feysoul et devient vice-roi héréditaire du Chomeur. — Télal lui succède. — Feysoul, Courchid-Pacha, Caled, et Ebn-Théneyan. — Abbas-Pacha remet en liberté Feysoul, qui est rétabli. —Les dissensions des fils du sultan Saïd donnent à Feysoul occasion d’attaquer l’Oman. —Massacre des Aleyans. — Le chérif de La Mecque se porte au secours d’Oneyza. — Le Haut-Cacim se donne à Télal qui s’empare aussi du Djôf. — Feysoul recommence le siège d’Oneyza. — Son pouvoir est détesté. 

Chapitre VI — Le Haça 

Première nuit hors de Riad. — Manfouha. — Nous nous cachons dans la Ouadi Soley. — Abou-Eysa nous rejoint la troisième nuit. — Nous rattrapons la caravane —Salemya. — Les gradins du Toweyk. — Le Néfoud oriental. — Les deux points de repère et la rivalité d’Abou-Eysa et d’El-Ghannam. — La Ouadi Farouk. —Arrivée dans le Haça. — La fontaine thermale de l’Étoile, détruite au nom de Dieu par Feysoul. — Demeure et famille d’Abou-Eysa. — Hofhouf, ses quartiers et ses habitants. — J’y exerce avec succès la médecine. — Haine à l’islam et conspiration presque générale contre les Nedjéens. — Foire de Hofhouf. — Les khalas. — Visite à la Mère-des-Sept. — Catif et sa baie. — Le vaisseau de Feysoul. — Farhat, gouverneur, nous fait une excellente réception grâce à Djôhar. — La douane refuse de rien recevoir pour nos bagages. 

Chapitre VII — L’Oman 

Nos matelots. — Enfin nous sommes hors de la tyrannie vouahabite. — Les El-Khalifas. — Moharrek. — Débarquement à Ménama. — Nous y allons au café, où l’on fume publiquement. — Abou-Eysa, après un long retard, arrive en grand appareil. — Ses projets pour mon voyage de l’Oman. — Je quitte Baracat et pars avec Yousef-ebn-Khamis. — De Bahraïn à Bedaa. — Les habitants du Catar sont les esclaves de la perle et la défendent contre les bé-douins. — Du Catar à la côte persane. — Le passagers sont les hôtes du ca-pitaine. —- La charmante Lindja. —Chardja et sa crique. — Yacoub, agent britannique pour la répression de la traite. — Hospitalité omanite. — Do-bey. — Le cap de l’Enclume et les Fils du lieu de la Sécurité. — Désolation sans égale d’Ormouz. — Hospitalité à Sohar. —Tempête et naufrage. — Conduite opposée des musulmans et des biadites dans le danger. — Palais de Thoweyni. — Le roi nous donne l’hospitalité. — Je m’y dérobe afin de ne pas compromettre Abou-Eysa. — Yousef et moi nous partons nu-pieds. — Matrâ. — la marine de Thoweyni. — Mascate est en décadence. — J’échappe à peine à la fièvre typhoïde et je retrouve Abou-Eysa à Abou-Cher et Baracat à Bagdad. — Retour en Syrie.  

Carte d’Arabie pour servir au voyage de W. G. Plagrave



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le samedi 20 octobre 2007 18:30
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie au Cegep de Chicoutimi.
 



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