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Collection « Les auteur(e)s classiques »

Questions économiques à l'ordre du jour (1906)
Table des matières


Une édition électronique réalisée à partir du texte de Gustave de Molinari (1906), Questions économiques à l'ordre du jour. Paris: Guillemin et Cie., éditeurs du Journal des Économistes, 1906, 309 pp. Une édition réalisée par Serge D'Agostino, bénévole, professeur de sciences économiques et sociales en France.

Table des matières

Présentation de l’auteur
par Serge D’Agostino, bénévole, professeur de sciences économiques et sociales en France,
11 février 2005.

Préface

Première partie : La fonction régulatrice des lois de la concurrence et de la valeur

I.      Le besoin, l'utilité et la valeur.
II.    La production directe et la production indirecte. L’échange
III.   L'opération régulatrice des lois naturelles de la concurrence et de la valeur.
IV.  Comment la concurrence, en se développant, a créé ses instruments et ses organes.
V.   Les agents de mobilisation des produits.
VI.  Les agents de la mobilisation des capitaux.
VII. Conclusion

Deuxième partie : La production et le commerce du travail

Chapitre I

I.   La séparation de l'industrie et du commerce. Que ce progrès de la division du travail est subordonné à l'extension du marché. Qu'il a pour conséquence la diminution du prix des choses
II.    Comment se fixe le prix
III.  La limitation des marchés du travail. Que la proclamation de la liberté du travail n'a pas eu pour effet immédiat de la rendre effective. Obstacles naturels et artificiels qui s'y opposaient. Les lois sur les coalitions. Que la liberté du travail et de l'industrie a suscité des progrès dont a profité la classe ouvrière. Que le travail est devenu plus mobilisable, quoique les marchés soient demeurés plus ou moins localisés et isolés, en y perpétuant la pratique du marchandage
IV.   Causes de ce retard. L'esprit de monopole des ouvriers. Qu'ils prétendent à leur tour commander les prix et conditions du travail. L'objet et la pratique des coalitions et des grèves
V.  Que cet état de guerre prendra fin par la mise au service du travail d'organes de transmission analogues à ceux qui desservent les produits et les capitaux, mais que ces organes se créeront seulement lorsqu'ils seront demandés

Chapitre II

I.     Pourquoi les organes de transmission font défaut aux producteurs et aux consommateurs de travail. Que cela ne tient pas à la nature du travail. Que ces organes existaient sous le régime de l'esclavage. La production et le commerce des esclaves aux Etats-Unis sous ce régime. La condition des esclaves. L'esclavage mode primitif de l'assurance.
II.    Que l'ouvrier en devenant propriétaire de son travail a été rendu responsable de son existence. Qu'il peut y pourvoir en exploitant lui-même son travail ou en le louant. Eléments constitutifs du salaire. Pourquoi l'organisme de placement que possédait l'éleveur d'esclaves manque à l'ouvrier libre. Inégalité de situation qui en est résultée entre l'entrepreneur et l'ouvrier. Progrès qui ont amoindri cette inégalité sans la faire disparaître partout.
III.    Les remèdes socialistes. Qu'à l'asservissement primitif du travail au capital ils ont voulu faite succéder celui du capital au travail. La participation aux bénéfices. Pourquoi le salaire est mieux approprié à la situation des travailleurs.
IV.   L'organisation du commerce du travail sous le régime de l'esclavage. Causes et conséquences de sa disparition. Que les marchés du travail se sont néanmoins agrandis. Les ouvriers devenus monopoleurs à leur tour. Vanité de leurs tentatives de faire hausser artificiellement le salaire.
V.   Comment leurs syndicats peuvent rendre le travail commerçable. Pourquoi ils ne peuvent faire eux-mêmes ce commerce. Nécessité d'un intermédiaire.

Chapitre III

I.    Que les forces productives de l'homme constituent un capital. Le propriétaire d'esclaves s'attribuait le profit de l'emploi de ce capital, mais il était obligé de pourvoir à sa conservation. Les profits de l'éleveur et ceux du marchand d'esclaves. Que l'ouvrier devenu propriétaire de son travail a pu s'attribuer le profit de son emploi, sauf à pourvoir à la conservation de ses forces productives et à en chercher lui-même le placement. Obstacles qu'il a rencontrés dans l'accomplissement de cette double tâche.
II.   Que la multitude émancipée de la servitude n'a qu'imparfaitement résolu le problème du gouvernement de soi-même. De l'accroissement des besoins d'assistance.
III.   Utilité de la charité. Qu'elle n'est point toutefois une dette de la société. Ses défectuosités et son insuffisance. Qu'elle est un palliatif et non un remède.
IV.  Les lois ouvrières. La réglementation du travail des enfants et des femmes. La loi sur les accidents du travail. L'assistance obligatoire de la vieillesse. Effets nuisibles de ces lois.

Chapitre IV. Résumé et conclusion

I.    Que l'esclave et l'homme libre, malgré la différence de leur condition, sont soumis aux mêmes lois économiques. La condition et le rôle des esclaves dans l'antiquité et aux Etats-Unis, des serfs en Russie. L'intérêt des propriétaires assurait la conservation de la population esclave et sa multiplication dans la proportion nécessaire.
II.   Que sous le régime de liberté comme sous le régime de l'esclavage, la production exige la coopération des mêmes facteurs : le capital investi dans l'homme et le capital investi dans les choses. Que l'un et l'autre naissent du travail et de l'épargne et se forment en vue d'un profit. Obstacles que rencontre la solution du problème de la conservation et de la reproduction utile de la population sous le régime de la liberté. Pourquoi ces obstacles étaient moindres sous le régime de l'esclavage.
III.  Maux causés par la disparition de l'organisme de la mobilisation du travail sous le régime de la liberté. Que cet organisme n'est pas moins nécessaire au travail qu'aux capitaux et aux produits Conditions auxquelles l'homme libre peut conserver ses forces productives et réaliser le profit afférent à leur emploi.
IV.  L'insuffisance de la capacité gouvernante de la multitude et les remèdes socialistes. Que ces remèdes se résolvent dans le rétablissement de la servitude. Qu'il ne faut pas supprimer la liberté, mais augmenter la capacité d'en user.

Troisième partie : Le fondement et la raison d'être de l'intérêt du capital

I.   II.   III.   IV.   V.   VI.   VII.   VIII.   IX.

Quatrième partie : L'évolution du protectionnisme

I.   II.   III.   IV.   V.   VI.   VII.   VIII.   IX.

Cinquième partie : La convention de Bruxelles est-elle conforme au principe du libre-échange ?

I.   II.   III.

Sixième partie : Étalon d'or et étalon d'argent

I.   II.   III.   IV.   V.

Septième partie : Les rapports de la morale et de l'économie politique avec la religion

I.   II.   III.   IV.

Huitième partie : Où est l'utopie ?

I.   II.


Retour au livre de l'auteur: Gustave de Molinari (1819-1912) Dernière mise à jour de cette page le Lundi 18 juillet 2005 17:57
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue.
 



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