RECHERCHE SUR LE SITE

Références
bibliographiques
avec le catalogue


En plein texte
avec Google

Recherche avancée
 

Tous les ouvrages
numérisés de cette
bibliothèque sont
disponibles en trois
formats de fichiers :
Word (.doc),
PDF et RTF

Pour une liste
complète des auteurs
de la bibliothèque,
en fichier Excel,
cliquer ici.
 

Collection « Les auteur(e)s classiques »

La presse française. Tome I. Des origines à la Révolution, le Consulat, l'Empire (1943)
Table des matières


Une édition électronique réalisée à partir du texte de Fernand Mitton, La presse française. Tome I. Des origines à la Révolution, le Consulat, l'Eempire. Paris: Guy Le Prat, Éditeur, 1943, 228 pp. Collection: Jadis et naguère. Une édition numérique de Claude Ovtcharenko, journaliste à la retraite dans le sud de la France.

Table des matières

Table des gravures hors-texte.

Chapitre I.
LES PRÉCURSEURS

Les traces du Journal dans l’antiquité. — Chez les Égyptiens et les Babyloniens. — Son existence dans l’ancienne Rome. — La table des Pontifes ou les Grandes Annales. — Les Acta publica et les Acta diurna. — Leur rôle et leur développement. — Leur faveur auprès de la société romaine.

Chapitre II.
PREMIÈRES VOIX DU JOURNALISME

Le manque de nouvelles au moyen âge. — Premiers chroniqueurs et poètes. — Journalisme oral. - La création des Postes favorise l’envoi des nouvelles. — Journalisme écrit. Les lettres deviennent de véritables gazettes hebdomadaires. — Occasionnels ou imprimés d’actualité. — Papiers-nouvelles et complaintes. — Chansons et Almanachs.

Chapitre III.
LES NOUVELLISTES

Gazettes manuscrites et prohibées. — Nouvelles et nouvellistes à la main. — Discoureurs de plein vent ou gazetiers à la bouche. — Leurs spécialités. — Leur organisation. — Pelotons et bureaux. — Examens et discussion des nouvelles. — Lieux de réunion des nouvellistes. — Le bonhomme Métra. — Les cafés. — Un bureau de rédaction. _ Quelques nouvelles à ma main. — Nouvellistes policiers. — Cabinets littéraires. — Mme Doublet et la Paroisse. — Les Mémoires secrets.

Chapitre IV.
L’AURORE DE LA PRESSE

Théophraste Renaudot et le Bureau d’adresse. — Il fonde la Gazette. — Succès qu’elle reporte. Les suppléments de ce journal. — Les troubles de la Fronde. La Gazette à Saint-Germain. — Pour sauvegarder son privilège, Renaudot crée à Paris le Courrier Français. — Les journaux burlesques de la Fronde. — La paix rétablie, la Gazette reprend sa place dans la capitale. — Sa faveur ne s’est pas démentie. — Le Courrier Français disparaît ainsi que ses concurrents. La Muse historique de Loret. — Sa vogue. — Ses continuateurs ne purent la maintenir. Le Journal des Savants. — Le Mercure Galant. — Ses transformations. Le Journal de la Ville de Paris et les feuilles de Colletet. — Développement de la presse littéraire. — La Gazette devient journal officiel du gouvernement. — Elle s’intitule Gazette de France. —Le Journal de Paris, premier quotidien français. — Il est bien accueilli. — Plaisanteries et épigrammes. — Le privilège de la Gazette lui interdit toute politique. Ses vicissitudes. — Il triomphe de ses adversaires. — Le Cabinet, puis Magasin des Modes. — L’ensemble de la presse.

Chapitre V.
LES PETITES AFFICHE ET LA PRESSE COMMERCIALE

La Feuille d’Avis du bureau d’adresse créée par Renaudot. — Sa présentation. — Boudet et les Affiches de Paris. — La Gazette, arguant de son privilège, en obtient la suppression. — Elle fonde les Annonces, Affiches et Avis divers, plus connus sous le nom de Petites-Affiches. — Deux éditions : l’Affiche de Paris et l’Affiche de Province. — L’abbé Aubert est chargé de la partie littéraire de la première. — Leur fusion en un seul organe quotidien. — Facéties qu’il engendre.

Chapitre VI.
JOURNAUX FRANÇAIS PUBLIÉS SOUS RUBRIQUE ÉTRANGÈRE

Les gazettes de Hollande. – Celles de langue française jouissent d’une faveur méritée. — Certaines, imprimées à Paris, portent nu lieu d’origine étranger. — Les Nouvelles de la République des Lettres de Bayle. — Le Journal de Verdun. — Fréron et ses Lettres sur quelques écrits de ce temps. — Ses démêlés littéraires. — Le Journal Encyclopédique, de Pierre Rousseau. — Obstruction des autorités liégeoises. — Le duc de Bouillon l’accueille. — Le Journal de Bouillon. — Panckoucke fonde à Paris le Journal de Genève. Il le fait suivre du Journal de politique et de littérature. — Linguet en devient le rédacteur en chef. — Un article virulent l’oblige à quitter ce poste. — Sa protestation auprès du ministre. — Le fougueux pamphlétaire gagne Londres, où il crée les Annales politiques, civiles et littéraires. — Le Courrier de l’Europe. — Difficultés qu’il rencontre pour son admission en France.

Chapitre VII.
LIBELLISTES ET PAMPHLÉTAIRES

La découverte de l’imprimerie favorise l’éclosion des pamphlets. — Les libellés de François Ier à Henri III. — Ils deviennent violents sous la Ligue. — Leur nombre diminue au début du règne de Henri IV. — La Satyre Ménippée. — Recrudescence des satires après le crime de Ravaillac. — La Chemise sanglante d’Henry le Grand. — Les factums n’épargnent pas Richelieu. — La Fronde et les Mazarinades. — Tour à tour aventureux, romanesques, libertins, les libellés atteignent un chiffre incalculable au siècle de Louis XIV. — Ils ne sont pas moins nombreux sous le pouvoir de Louis XIV. — Louis XVI, et surtout Marie-Antoinette, fournissent les sujets de vives diatribes.

Chapitre VIII.
ASPECT DES PREMIERS JOURNAUX

Formats divers. — On ne trouve au début aucun article de fond, mais seulement des informations de provenances diverses. — Peu à peu, le texte prend plus d’ampleur. — La Gazette augmente son nombre de pages, ainsi que sa périodicité. — La collection de l’ancienne Gazette. — Prix de divers journaux. — Le Journal des Savants et ses suppléments. — Le Journal de Paris et ses Avis aux souscripteurs. — Particularités diverses. — Le Magasin des Modes se développe. — Annonces au bas des pages. — Un avis « essentiel ». Nombre de périodiques publiés.

Chapitre IX.
LA CENSURE ET LA LIBERTÉ DE LA PRESSE

Entraves à la liberté d’écrire. — Deux censures : le Parlement et la Faculté de Théologie. — Rigueurs contre les pamphlétaires. Ordonnance de février 1566. — Le Code Michaut de 1629. — Institution des censeurs. — Le règlement du 28 février 1723. — Privilèges et autorisations. — Permissions tacites. — Malesherbes et la liberté de la Presse. — Relâchement de la sévérité. — Simples tolérances et approbations officielles. — Répression contre les Nouvelles à la main. — Berryer et Mme Doublet. — Manuel, partisan de la tolérance. M. de Vergennes montre moins de souplesse. — Les petits profits de l’agent provocateur Jacquet.



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le mardi 10 mars 2009 11:13
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie au Cegep de Chicoutimi.
 



Saguenay - Lac-Saint-Jean, Québec
La vie des Classiques des sciences sociales
dans Facebook.
Membre Crossref