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Collection « Les auteur(e)s classiques »

Prosper-Olivier Lissagaray, HISTOIRE DE LA COMMUNE DE 1871. (1876)
Table des matières


Une édition électronique réalisée à partir du livre de Prosper-Olivier Lissagaray, HISTOIRE DE LA COMMUNE DE 1871. Avant-propos de Jean Maitron, 1957. Paris: Petite collection Maspero, 1970, 500 pp. Une édition numérique réalisée par Claude Ovtcharenko, bénévole, journaliste à la retraite, France.

Table des matières

Préface de la première édition (1876)

Préface de la deuxième édition (1896)

Prologue du combat. La France avant la guerre

Comment les Prussiens eurent Paris et les ruraux la France



Chapitre i. Premières attaques de la coalition contre Paris. — Les bataillons de la Garde nationale se fédèrent et saisissent leurs canons. — Les Prussiens entrent dans Paris

Chapitre ii. Les monarchistes ouvrent le feu contre Paris. — Le Comité Central se constitue. — M. Thiers ordonne l’assaut

Chapitre iii. Le 18 Mars

Chapitre iv. Le Comité Central convoque les électeurs. — Les maires de Paris et les députés de la Seine se lèvent contre lui

Chapitre v. Le Comité Central s’annonce, réorganise les services publics et tient Paris

Chapitre vi. Les maires, les députés, les journalistes, l’Assemblée, se ruent contre Paris. — La réaction marche sur la place Vendôme et se fait châtier

Chapitre vii. Le Comité Central triomphe de tous les obstacles et contraint les maires à capituler

Chapitre viii. Proclamation de la Commune

Chapitre ix. La Commune à Lyon, à Saint-Étienne, au Creusot

Chapitre x. La Commune à Marseille, Toulon et Narbonne

Chapitre xi. Premières séances de la Commune. — Désertion des maires et adjoints

Chapitre xii. Sortie du 3 avril. — Les Parisiens sont repoussés partout. — Flourens et Duval sont assassinés. — Les Versaillais massacrent des prisonniers

Chapitre xiii. La Commune est vaincue à Marseille et à Narbonne

Chapitre xiv. Les grandes ressources de la Commune. — Les faiblesses de son Conseil. — Le Comité Central. — Décrets sur les otages. — La Banque

Chapitre xv. Les premiers combats de Neuilly et d’Asnières. — Organisation et défaite des conciliateurs

Chapitre xvi. Le Manifeste de la Commune. — Les élections complémentaires du 13 avril font naître une minorité. — Premières disputes. — Germes de défaite

Chapitre xvii. Les Parisiennes. — Suspension d’armes pour l’évacuation de Neuilly. — L’armée de Versailles et celle de Paris

Chapitre xviii. Les services publics : Finances, Guerre, Police, Relations extérieures, Justice, Enseignement, Travail et Echange

Chapitre xix. Les Francs-Maçons se rallient à la Commune. — Première évacuation du fort d’Issy. — Création du Comité de salut public

Chapitre xx. Rossel remplace Cluseret. — Les compétitions éclatent. — Querelles à la Commune. — Rossel continue Cluseret. — La défense du fort d’Issy

Chapitre xxi. Paris est bombardé. — Le fort d’Issy succombe. — La Commune renouvelle son Comité de salut public. — Rossel s’enfuit

Chapitre xxii. Les conspirations contre la Commune

Chapitre xxiii. La politique de M. Thiers avec la province. — La Gauche livre Paris

Chapitre xxiv. Impuissance du second Comité de salut public. — Le fort de Vanves et le village d’Issy sont évacués. — Le manifeste de la minorité. — L’explosion de l’avenue Rapp. — La colonne Vendôme est tombée

Chapitre xxv. Paris la veille de la mort. — Versailles

Chapitre xxvi. Les Versaillais entrent le dimanche 21, à trois heures de l’après-midi. — L’assemblée de la Commune se dissout

Chapitre xxvii. Lundi 22. — Les Versaillais envahissent les quartiers de l’est. — Paris se lève

Chapitre xxviii. Mardi 23, Montmartre est pris. — Les premiers massacres en bloc. — Paris s’embrase. — La dernière nuit de l’Hôtel-de-Ville

Chapitre xxix. Mercredi 24. — Les membres de la Commune évacuent l’Hôtel-de-Ville. — Le Panthéon est pris. — Les Versaillais fusillent les Parisiens en masse. — Les Fédérés fusillent six otages. —La nuit du canon

Chapitre xxx. Jeudi 25. — Toute la rive gauche aux mains des troupes. — Delescluze meurt. — Les brassardiers activent le massacre. — La mairie du XIe est abandonnée

Chapitre xxxi. La résistance se concentre dans Belleville. — Vendredi 26, quarante-huit otages sont fusillés rue Haxo. — Samedi 27, tout le XXe est envahi. — Prise du Père-Lachaise. — Dimanche la bataille finit à onze heures du matin. — Lundi le fort de Vincennes est rendu

Chapitre xxxii. La furie versaillaise. — Les abattoirs. — Les cours prévôtales. — Mort de Varlin. — La peste. — Les enfouissements

Chapitre xxxiii. Les convois de prisonniers. — L’Orangerie. — Satory. — Les arrestations. — Les dénonciateurs. — La Presse. — L’Extrême Gauche maudit les vaincus. — Démonstrations à l’étranger

Chapitre xxxiv. Les pontons. — Les forts. — Les premiers procès

Chapitre xxxv. Les Conseils de guerre. — Les supplices. — Bilan des condamnations

Chapitre xxxvi. La Nouvelle-Calédonie. — L’Exil

Chapitre xxxvii. L’Assemblée de malheur. — Le Mac-Mahonnat. — Les grâces. — Le Grand retour

1896

Appendices

I. — Dans l’aimable intimité ils s’amusaient beau coup de cette défense

II. — Le Comité Central surpris comme tout Paris

III. — Les plus injurieux depuis cherchaient d’humbles défaites

IV.— Bien souvent le fils marche à côté du père

V. — En rase campagne, ils faisaient des prodiges de bravoure

VI.— M. Thiers qui s’efforçait d’affamer Paris

VII. — Service des postes

VIII. — Sous la direction d’un comité communal

IX. — Contributions directes. — Imprimerie nationale

X. — Dans un état de surexcitation extrême, contre Paris

XI. — S’appelant modestement l’incarnation du peuple

XII. — Tout remplis d’espions, mâles et femelles

XIII. — Il ordonna à Dombrowski de faire suivre la négociation

XIV. — Avec qui traiter à Paris, disait Louis Blanc

XV. — Il pourrait être utile aux conspirateurs de jeter la panique

XVI. — C’est la seule exécution militaire sous la Commune

XVII. — La fable des mines d’égout imaginée pour justifier leur indécision

XVIII. — On les dépêchait ensuite sur le versant des buttes

XIX. — Quelques-uns paient d’audace et pénètrent dans les conseils

XX.—Les cadavres sont fouillés

XXI. — Comme si la spéculation et le crime de certains « honnêtes gens » n’avaient pas eu une part dans les ruines

XXII. — Qu’ils égorgent dans les ambulances

XXIII. — La tête de Millière, noire de poudre, parut regarder la foule

XXIV. — Applaudissait aux tapissières sanglantes

XXV. — on massacre ainsi plus de dix-neuf cents personnes

XXVI. — Le nombre, le siège, les attributions de ces cours avaient été fixés

XXVII. — du Châtelet, ils étaient conduits dans la cour de la caserne Lobau

XXVIII. — Les victimes mouraient simplement, sans fanfaronnade

XXIX. — « On vit des femmes exaspérées tirer sur des officiers »

XXX. — « Le général de Lacretelle donna l’ordre de fusiller M. Cernuschi »

XXXI. — « Un de ces gens dont on se débarrasse »

XXXII. — « Les dénonciations, même de fonctionnaires qui avaient des tares à cacher »

XXXIII. — « Ils fusillèrent un Billioray »

XXXIV. — Ils fusillèrent un Brunel, dans les appartements de Mme Fould

XXXV. — Le Gaulois publia le récit d’un chirurgien qui avait assisté à l’exécution de Vallès

XXXVI. — Sicre vola sa montre et s’en fit une parure

XXXVII. — On utilisa des puits

XXXVIII. — Les massacres en masse durèrent jusqu’aux premiers jours de juin

XXXIX. — Longtemps des drames mystérieux visitèrent le Bois de Boulogne

XL. — Quelquefois attaché à la queue d’un cheval

XLI. —Des mitrailleuses apparurent

XLII. — Le Figaro publia l’histoire des derniers jours de l’Hôtel-de-Ville

XLIII. — Le Gaulois rééditait au compte de Delescluze une infamie sadique attribuée en 1848 à Ledru-Rollin

XLIV. — Elles figurèrent les pétroleuses imaginées par les journaux

XLV. —L’industrie parisienne en fut écrasée

XLVI. — Les pontons, les forts

XLVII. — Il n’y a qu’une explication à ce fait étrange, c’est que Beaufort leur appartenait

XLVIII. — Il faut bien que les requins mangent



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le samedi 18 juin 2011 6:43
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie retraité du Cegep de Chicoutimi.
 



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