Table des matières
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Préface de la première édition (1876)
Préface de la deuxième édition (1896)
Prologue du combat. La France avant la guerre
Comment les Prussiens eurent Paris et les ruraux la France
Chapitre i. Premières attaques de la coalition contre Paris. Les bataillons de la Garde nationale se fédèrent et saisissent leurs canons. Les Prussiens entrent dans Paris
Chapitre ii. Les monarchistes ouvrent le feu contre Paris. Le Comité Central se constitue. M. Thiers ordonne l’assaut
Chapitre iii. Le 18 Mars
Chapitre iv. Le Comité Central convoque les électeurs. Les maires de Paris et les députés de la Seine se lèvent contre lui
Chapitre v. Le Comité Central s’annonce, réorganise les services publics et tient Paris
Chapitre vi. Les maires, les députés, les journalistes, l’Assemblée, se ruent contre Paris. La réaction marche sur la place Vendôme et se fait châtier
Chapitre vii. Le Comité Central triomphe de tous les obstacles et contraint les maires à capituler
Chapitre viii. Proclamation de la Commune
Chapitre ix. La Commune à Lyon, à Saint-Étienne, au Creusot
Chapitre x. La Commune à Marseille, Toulon et Narbonne
Chapitre xi. Premières séances de la Commune. Désertion des maires et adjoints
Chapitre xii. Sortie du 3 avril. Les Parisiens sont repoussés partout. Flourens et Duval sont assassinés. Les Versaillais massacrent des prisonniers
Chapitre xiii. La Commune est vaincue à Marseille et à Narbonne
Chapitre xiv. Les grandes ressources de la Commune. Les faiblesses de son Conseil. Le Comité Central. Décrets sur les otages. La Banque
Chapitre xv. Les premiers combats de Neuilly et d’Asnières. Organisation et défaite des conciliateurs
Chapitre xvi. Le Manifeste de la Commune. Les élections complémentaires du 13 avril font naître une minorité. Premières disputes. Germes de défaite
Chapitre xvii. Les Parisiennes. Suspension d’armes pour l’évacuation de Neuilly. L’armée de Versailles et celle de Paris
Chapitre xviii. Les services publics : Finances, Guerre, Police, Relations extérieures, Justice, Enseignement, Travail et Echange
Chapitre xix. Les Francs-Maçons se rallient à la Commune. Première évacuation du fort d’Issy. Création du Comité de salut public
Chapitre xx. Rossel remplace Cluseret. Les compétitions éclatent. Querelles à la Commune. Rossel continue Cluseret. La défense du fort d’Issy
Chapitre xxi. Paris est bombardé. Le fort d’Issy succombe. La Commune renouvelle son Comité de salut public. Rossel s’enfuit
Chapitre xxii. Les conspirations contre la Commune
Chapitre xxiii. La politique de M. Thiers avec la province. La Gauche livre Paris
Chapitre xxiv. Impuissance du second Comité de salut public. Le fort de Vanves et le village d’Issy sont évacués. Le manifeste de la minorité. L’explosion de l’avenue Rapp. La colonne Vendôme est tombée
Chapitre xxv. Paris la veille de la mort. Versailles
Chapitre xxvi. Les Versaillais entrent le dimanche 21, à trois heures de l’après-midi. L’assemblée de la Commune se dissout
Chapitre xxvii. Lundi 22. Les Versaillais envahissent les quartiers de l’est. Paris se lève
Chapitre xxviii. Mardi 23, Montmartre est pris. Les premiers massacres en bloc. Paris s’embrase. La dernière nuit de l’Hôtel-de-Ville
Chapitre xxix. Mercredi 24. Les membres de la Commune évacuent l’Hôtel-de-Ville. Le Panthéon est pris. Les Versaillais fusillent les Parisiens en masse. Les Fédérés fusillent six otages. La nuit du canon
Chapitre xxx. Jeudi 25. Toute la rive gauche aux mains des troupes. Delescluze meurt. Les brassardiers activent le massacre. La mairie du XIe est abandonnée
Chapitre xxxi. La résistance se concentre dans Belleville. Vendredi 26, quarante-huit otages sont fusillés rue Haxo. Samedi 27, tout le XXe est envahi. Prise du Père-Lachaise. Dimanche la bataille finit à onze heures du matin. Lundi le fort de Vincennes est rendu
Chapitre xxxii. La furie versaillaise. Les abattoirs. Les cours prévôtales. Mort de Varlin. La peste. Les enfouissements
Chapitre xxxiii. Les convois de prisonniers. L’Orangerie. Satory. Les arrestations. Les dénonciateurs. La Presse. L’Extrême Gauche maudit les vaincus. Démonstrations à l’étranger
Chapitre xxxiv. Les pontons. Les forts. Les premiers procès
Chapitre xxxv. Les Conseils de guerre. Les supplices. Bilan des condamnations
Chapitre xxxvi. La Nouvelle-Calédonie. L’Exil
Chapitre xxxvii. L’Assemblée de malheur. Le Mac-Mahonnat. Les grâces. Le Grand retour
1896
Appendices
I. Dans l’aimable intimité ils s’amusaient beau coup de cette défense
II. Le Comité Central surpris comme tout Paris
III. Les plus injurieux depuis cherchaient d’humbles défaites
IV. Bien souvent le fils marche à côté du père
V. En rase campagne, ils faisaient des prodiges de bravoure
VI. M. Thiers qui s’efforçait d’affamer Paris
VII. Service des postes
VIII. Sous la direction d’un comité communal
IX. Contributions directes. Imprimerie nationale
X. Dans un état de surexcitation extrême, contre Paris
XI. S’appelant modestement l’incarnation du peuple
XII. Tout remplis d’espions, mâles et femelles
XIII. Il ordonna à Dombrowski de faire suivre la négociation
XIV. Avec qui traiter à Paris, disait Louis Blanc
XV. Il pourrait être utile aux conspirateurs de jeter la panique
XVI. C’est la seule exécution militaire sous la Commune
XVII. La fable des mines d’égout imaginée pour justifier leur indécision
XVIII. On les dépêchait ensuite sur le versant des buttes
XIX. Quelques-uns paient d’audace et pénètrent dans les conseils
XX.Les cadavres sont fouillés
XXI. Comme si la spéculation et le crime de certains « honnêtes gens » n’avaient pas eu une part dans les ruines
XXII. Qu’ils égorgent dans les ambulances
XXIII. La tête de Millière, noire de poudre, parut regarder la foule
XXIV. Applaudissait aux tapissières sanglantes
XXV. on massacre ainsi plus de dix-neuf cents personnes
XXVI. Le nombre, le siège, les attributions de ces cours avaient été fixés
XXVII. du Châtelet, ils étaient conduits dans la cour de la caserne Lobau
XXVIII. Les victimes mouraient simplement, sans fanfaronnade
XXIX. « On vit des femmes exaspérées tirer sur des officiers »
XXX. « Le général de Lacretelle donna l’ordre de fusiller M. Cernuschi »
XXXI. « Un de ces gens dont on se débarrasse »
XXXII. « Les dénonciations, même de fonctionnaires qui avaient des tares à cacher »
XXXIII. « Ils fusillèrent un Billioray »
XXXIV. Ils fusillèrent un Brunel, dans les appartements de Mme Fould
XXXV. Le Gaulois publia le récit d’un chirurgien qui avait assisté à l’exécution de Vallès
XXXVI. Sicre vola sa montre et s’en fit une parure
XXXVII. On utilisa des puits
XXXVIII. Les massacres en masse durèrent jusqu’aux premiers jours de juin
XXXIX. Longtemps des drames mystérieux visitèrent le Bois de Boulogne
XL. Quelquefois attaché à la queue d’un cheval
XLI. Des mitrailleuses apparurent
XLII. Le Figaro publia l’histoire des derniers jours de l’Hôtel-de-Ville
XLIII. Le Gaulois rééditait au compte de Delescluze une infamie sadique attribuée en 1848 à Ledru-Rollin
XLIV. Elles figurèrent les pétroleuses imaginées par les journaux
XLV. L’industrie parisienne en fut écrasée
XLVI. Les pontons, les forts
XLVII. Il n’y a qu’une explication à ce fait étrange, c’est que Beaufort leur appartenait
XLVIII. Il faut bien que les requins mangent
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