RECHERCHE SUR LE SITE

Références
bibliographiques
avec le catalogue


En plein texte
avec Google

Recherche avancée
 

Tous les ouvrages
numérisés de cette
bibliothèque sont
disponibles en trois
formats de fichiers :
Word (.doc),
PDF et RTF

Pour une liste
complète des auteurs
de la bibliothèque,
en fichier Excel,
cliquer ici.
 

Collection « Les auteur(e)s classiques »

L’ERREUR  DE  NARCISSE (1939)
Table des matières


Une édition électronique réalisée à partir du texte de Louis LAVELLE  (1883-1951) [Philosophe français, Un des représentants des existentialistes français, Professeur, puis membre du Collège de France], L’ERREUR  DE  NARCISSE. Éditions de La Table Ronde, Paris, 2003, pages 35-266. Première édition, Bernard Grasset, Paris, 1939. Une édition numérique de Pierre Palpant, bénévole, Paris.

Table des matières

I. — L’erreur de Narcisse

L’aventure de Narcisse. — La nymphe Écho. — La fontaine ou la source. — Le miroir et le tain. — Le passé et la mort. — Un étranger qui est lui-même. — L’ombre d’une ombre. — La complaisance de Narcisse. — Le péché contre l’esprit. — Mort ou naissance. — Narcisse et Pygmalion. — Adam et Ève.

II. — Le secret de l’intimité

Connais-toi toi-même. — L’intimité avec soi et avec autrui. — Le secret commun à tous. — La solitude approfondie et rompue. — La rencontre d’un autre homme. — Réciprocité. — Connaissance de soi et d’autrui. — Le peintre et le portrait.

III. — Être soi-même

Polyphonie de la conscience. — Cynisme. — Le comédien de lui-même. — L’impossibilité de tromper. — L’anneau de Gygès. — Sim ut sum aut non sim. — Trouver ce que je suis. — Percer le cœur d’une épée. — Au-delà de moi-même. — Vérité et sincérité. — La sincérité agissante. — Le retour à la source. — Sous le regard de Dieu.

IV. — L’action visible et l’action invisible

Jeu de la responsabilité. — Responsabilité revendiquée. — Louange du travail. — L’activité et son ouvrage. — Les oiseaux du ciel et les lis des champs. — L’action invisible. — Action de présence. — La parfaite simplicité. — Le silence et les paroles. — Visage du sommeil. — Notre essence fixée.

V. — Les puissances de la sensibilité

Le moi « sensible ». — Un fragile équilibre. — La sensibilité du corps. — La sensibilité, écho du vouloir. — La sensibilité unie à l’intelligence. — Une balance sensible. — Les défaites de la sensibilité. — Détresses de la douleur. — La douleur transfigurée.

VI. — L’indifférence et l’oubli

Les deux indifférences. — Indifférence et délicatesse. — L’indifférence à l’égard du don. — Indifférence et désintéressement. — Une indifférence de l’esprit, qui est la justice. — Les événements les plus petits. — Les différentes formes de l’oubli. — L’oubli toujours imparfait. — Oubli et dépouillement.

VII. — La vocation et la destinée

Différence entre les esprits. — Le génie propre. — Du caractère à la vocation. — Vocation de chaque individu et de chaque peuple. — Discernement de la vocation. — Le choix inévitable. — Fidélité. — Destinée et vocation. — Les événements et le hasard. — La destinée unique. — Élection de chaque être.

VIII. — Tourments de l’individu

Amour-propre. — Opinion. — Règle de plomb. — Haine de la différence. — Critique de la grandeur. — Hostilité contre les spiri-tuels. — Orgueil et humilité. — L’humilité et l’estime d’autrui. — Être simple et non point humble. — L’avarice, ivresse de la puissance pure. — Or spirituel.

IX. — Commerce entre les esprits

Les deux sens du mot « commun ». — La sépa­ration qui unit. — L’identité des rapports avec autrui et des rapports avec soi. — Agir pour autrui. — Ne point chercher à agir sur autrui. — Discrétion. — Lumière de la charité. — Porter les fardeaux les uns des autres. — Recevoir et donner. — Grandeur reconnue. — Affinités spirituelles. — Amitiés d’élection. — Un paradis entr’ouvert.

X. — Tranquillité d’âme

La paix de l’âme. — Point de hâte. — Des ressources proportionnées à nos besoins. — Ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous. — Vertu quotidienne. — Éviter les querelles. — Douceur à l’égard des autres hommes. — Douceur et fermeté. — Douceur et lumière. — La patience et la douceur. — Une présence qui nous surpasse toujours.

XI. — La sagesse et les passions

Double nature. — Réunir les extrêmes. — Compensation. — Aux lisières de la conscience. — Ivresses de l’âme. — La raison, faculté qui mesure. — La passion et l’absolu. — Les bonnes passions et les mauvaises. — Vertu de la passion. — La sagesse, qui est la possession de soi. — Sagesse, héroïsme, sain-teté.

XII. — L’espace spirituel

Vertus de la connaissance. — Du dehors au dedans. — L’espace spirituel. — Les deux lumières. — Simplicité du regard spirituel. —  Pureté. — Purification. — La source claire de la vie. — Voir les choses naître. — Beauté de la présence pure. — Le sommet de l’âme.


Retour au livre de l'auteur: Louis Lavelle (1883-1951) Dernière mise à jour de cette page le mardi 20 février 2007 19:15
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur au Cegep de Chicoutimi.
 



Saguenay - Lac-Saint-Jean, Québec
La vie des Classiques des sciences sociales
dans Facebook.
Membre Crossref