RECHERCHE SUR LE SITE

Références
bibliographiques
avec le catalogue


En plein texte
avec Google

Recherche avancée
 

Tous les ouvrages
numérisés de cette
bibliothèque sont
disponibles en trois
formats de fichiers :
Word (.doc),
PDF et RTF

Pour une liste
complète des auteurs
de la bibliothèque,
en fichier Excel,
cliquer ici.
 

Collection « Les auteur(e)s classiques »

Les plantes insectivores. (1877)
Introduction biographique


Une édition numérique réalisée à partir du livre de Charles-Robert Darwin (1809-1882), Les plantes insectivores. (1877). Traduit de l'Anglais par Edmond Barbier. Précédé d’une Introduction biographique et augmenté de notes complémentaires par Charles Martins [Professeur d’Histoire naturelle à la Faculté de médecine de Montpellier, Correspondant de l’Institut]. Paris: C. Reinwald et Cie, Libraires-Éditeurs, 1877, 540 pages, 30 figures dans le texte. Une édition numérique réalisée par M. Jean-Marc Simonet, professeur retraité de l'enseignement, Université de Paris XI-Orsay.

Introduction biographique

Les grands naturalistes se distinguent de la foule des savants estimables voués l’étude des êtres organisés par un ensemble de qualités qui, toujours isolées et incomplètes chez le plus grand nombre, se trouvent réunies et concentrées dans le génie de ces grands hommes. Le talent d’observation, l’absence d’idées préconçues, la méfiance de soi‑même, la patience, la sincérité, caractérisent le naturaliste ordinaire: les grandes vues, l’esprit de comparaison et de généralisation, le pouvoir de se dégager des conceptions dogmatiques antérieures, l’application de nouvelles méthodes d’investigation, lui font défaut ; ses travaux agrandissent les domaines de la Zoologie, de la Botanique ou de la Paléontologie, mais ils n’embrassent pas l’ensemble des êtres organisés et ne modifient en rien la philosophie de la science. Les heureux novateurs dont la mémoire se rattache à l’inauguration des grandes phases que l’histoire naturelle a traversées, résumaient au contraire en eux toutes les qualités dont la combinaison est seule capable de la transformer. Tels furent Aristote, Linnée, Lamarck, Cuvier, les Jussieu, Robert Brown, Jean Müller et Alexandre de Humboldt. Tous se montrèrent à la fois des observateurs exacts et de hardis généralisateurs, tous découvrirent et signalèrent des horizons lointains, peine entrevus par leurs prédécesseurs.

 

Charles Darwin appartient cette noble famille, et l’ère féconde dans laquelle entre l’histoire naturelle, préparée par Lamarck, Gœthe, Geoffroy Saint-Hilaire, de Baer et Agassiz, porte et portera désormais son nom. L’idée d’évolution a éclairé la Zoologie, la Botanique, la Paléontologie et l’Embryologie d’un jour nouveau; elle les a élevées du rang de sciences purement descriptives à celui de sciences dans laquelle l’observation et l’expérience sont fécondées par le raisonnement. Les ouvrages de M. Darwin portent cette double empreinte tous sont des modèles d’observation attentive, minutieuse, d’expérimentation habile et patiente, de déductions sobres et rigoureuses ; tels sont, en Botanique : le livre sur la fécondation des Orchidées, les recherches sur les formes et les relations sexuelles des Linum, des Lythrum et des Primula, le volume sur les mouvements et les habitudes des plantes grimpantes, celui suries fécondations croisées et enfin le présent ouvrage dont les végétaux insectivores sont l’objet. Il n’en est aucun, où l’auteur ait déployé plus de persévérance, de suite et de finesse d’observation pour analyser les phénomènes de mouvement et d’absorption des plantes carnivores. Un nombre considérable d’expériences instituées avec méthode comme celles des physiciens et des chimistes, se contrôlant réciproquement et répétées des centaines de fois, lui ont permis d’apprécier numériquement l’action des agents physiques et celle de doses infinitésimales d’une foule de substances azotées sur les organes impressionnables de ces végétaux. La capture et l’absorption de petits animaux vivants et de ces substances ont été mises hors de doute, par M. Clark (Journal of Botany, septembre 1875). Cet observateur a fait macérer des mouches dans une solution de citrate de lithium dont le spectre présente des raies très-caractéristiques. Il plaçait ces mouches sur des feuilles de Drosera et de Pinguicula, et examinait ensuite au spectroscope les tissus de la feuille. Toujours ils ont donné des signes de la présence du lithium. M. Ed. Morren a achevé la démonstration en montrant (note, p. 423) que la digestion végétale et la digestion animale sont des opérations chimiques analogues par lesquelles les substances alimentaires sont assimilées l’économie.

 

La question du rôle utile et profitable à la plante de ces substances animales absorbées par les feuilles n’en reste pas moins indécise : elle doit être élucidée par des expériences subséquentes, celles publiées jusqu’ici étant contradictoires ou peu décisives. La solution de cette partie du problème incombe donc aux Botanistes et aux Chimistes qui compléteront ces recherches en suivant les méthodes inaugurées par l’auteur.

 

Les expériences contradictoires faites jusqu’ici soulèvent d’ailleurs une question préjudicielle. Tout le monde convient aujourd’hui qu’on observe chez les végétaux comme chez les animaux des organes rudimentaires et inutiles à l’être organisé qui les possède. On est, par conséquent, en droit de se demander s’il n’existe pas des fonctions qui se trouvent dans le même cas ; si ces captures d’insectes, la dissolution et l’absorption de leurs parties molles par les feuilles de la plante ne seraient pas un mode d’assimilation sinon anormal, du moins accidentel, comparable à l’absorption de substances actives par la peau chez les animaux supérieurs. On peut, écartant toute idée de finalité, aller encore plus loin; en effet, cette absorption de matériaux qui, d’après certains observateurs, ne contribuent en rien à l’alimentation du végétal, ne serait-elle pas l’ébauche d’une fonction sans profit pour lui, mais qui déjà dans les animaux inférieurs les plus rapprochés des végétaux et immobiles comme eux, tels que les Polypes, les Coraux, les Actinies, devient la fonction nutritive principale. Nulle chez les végétaux qui absorbent par leurs racines l’eau chargée de principes nutritifs et par leurs feuilles les gaz qui composent l’air atmosphérique, cette fonction devient le principal et le seul mode de nutrition chez les animaux inférieurs fixés sur des pierres, dépourvus de racines absorbantes. mais qui capturent aussi des animalcules vivants au moyen de tentacules mobiles, les digèrent, les absorbent, se les assimilent et s’en nourrissent exclusivement. L’avenir décidera cette question.

 

Jetons un rapide coup d’oeil sur les publications de M. Darwin, pour montrer par quels travaux aussi nombreux que variés il s’était préparé aux grandes généralisations qui ont illustré son nom.

 

En Zoologie, les ouvrages spéciaux et descriptifs de M. Darwin sont la Monographie des Cirripèdes vivants et fossiles, l’Anatomie du Sagitta et la Description de quelques Planariées terrestres ou marines. En Géologie, je citerai le volume sur la structure et la distribution des récifs coralliens, les observations sur les îles volcaniques, les îles Falkland, les terrasses parallèles de Glen-Roy en Écosse, la distribution des blocs erratiques dans l’Amérique du Sud, la géologie de ce continent, l’origine des dépôts salifères de la Patagonie, etc., etc. Quoique tous ces ouvrages renferment les vues générales qui s’imposent nécessairement à un esprit supérieur embrassant les trois branches de l’histoire naturelle, ils sont néanmoins le résultat de travaux dont l’observation est le caractère dominant, mais qui n’auraient pas profondément modifié la philosophie des sciences de la nature. Ceux qui ont amené les progrès et la transformation dont nous sommes témoins sont les ouvrages sur l’Origine des espèces, sur les Variations des végétaux et des animaux sous l’influence de la domestication, sur la Descendance de l’homme et sur l’Expression des émotions : ils ont eu pour résultat de détruire ou de modifier les anciennes idées sur la création, la succession, les affinités des êtres organisés, la notion de l’espèce, du genre et de la famille, en Zoologie comme en Botanique.

 

M. Darwin ayant bien voulu m’autoriser à faire précéder son ouvrage d’une notice biographique et de le compléter de notes additionnelles résumant les principales observations faites, sur les plantes insectivores depuis la publication de son ouvrage en anglais, je vais essayer de répondre à la confiance de l’auteur en lui consacrant une courte notice biographique. Les notes signées Ch. M., qu’on trouvera dans le cours du texte, contiennent l’analyse de toutes les recherches sur les plantes carnivores qui sont venues à ma connaissance. Les lacunes qu’elles peuvent présenter tiennent à l’impossibilité où je me trouvais d’être informé de tout ce qui a été publié sur ce sujet, non d’une omission volontaire. Quant aux critiques vagues résultant d’idées préconçues ou de préjugés religieux, elles ne m’ont pas paru devoir être mentionnées, la recherche scientifique basée sur l’observation et l’expérience ayant seule droit à l’attention du public compétent.

 

Voici la biographie de l’auteur telle qu’elle a paru dans le journal anglais Nature, du 4 juin 1874, avec le consentement de M. Darwin, qui a bien voulu me l’envoyer comme étant le récit abrégé, mais exact, de sa laborieuse vie.

 

Charles-Robert Darwin naquit à Shrewsbury, le 12 février 1809. Il est le fils du Dr Robert Waring Darwin, membre de la Société royale, et petit-fils du Dr Erasmus Darwin, également membre de la Société royale et auteur de la Zoonomia, ou lois de la vie organique, du Jardin botanique, poëme en deux chants, et de la Phytologie, ou philosophie de l’agriculture et de l’horticulture. Du côté de sa mère il est petit-fils du célèbre fabricant de faïences Josiah Wedgwood. Charles Darwin fut élevé à Shrewsbury dans une école dirigée par le Dr Butler depuis évêque de Lichfield. Dans l’hiver de 1825, il se rendit comme étudiant à l’université d’Édimbourg; il y resta deux ans, s’appliqua à l’étude des animaux marins et lut à la Société Plinienne deux courtes notes sur les mouvements des œufs des Flustres. D’Édimhourg, M. Darwin se rendit au Christ-college de Cambridge où il obtint le grade de bachelier ès arts, en 1831. Dans l’automne de la même année le capitaine Fitzroy ayant offert de céder la moitié de sa cabine à un naturaliste qui voudrait l’accompagner dans un voyage autour du monde, M. Darwin se présenta comme volontaire sans accepter aucune indemnité, mais à la condition de rester le maître de ses collections, dont il a disposé depuis en faveur de plusieurs établissements publics. Le Beagle, c’était le nom du navire, quitta l’Angleterre le 27 décembre 1831, et revint le 22 octobre 1836, après avoir accompli son voyage de circumnavigation.

 

M. Darwin épousa sa cousine, Marie Wedgwood, au commencement de 1839, et, depuis 1842, il habite Down-Beckenham, dans le canton de Kent dont il est l’un des magistrats. La Société royale lui accorda en 1853 la médaille royale et en 1864 celle de Copley. En 1859, la Société géologique de Londres lui décerna la médaille de Wollaston; il est membre honoraire de plusieurs sociétés savantes étrangères et chevalier de l’ordre prussien du Mérite.

 

Depuis son retour de l’Amérique du Sud sur le Beagle, la vie de M. Darwin a été sans événements; les seuls notables ont été la publication de ses ouvrages et de ses mémoires, beaucoup plus nombreux qu’on ne le suppose généralement; en voici la liste complète :

 

 

PUBLICATIONS DE M. CH. DARWIN.

 

 

Ouvrages généraux.

 

A Naturalist’s Voyage round the world on board of H. M. S. Beagle, traduit en français par M. Edmond Barbier, sous le titre : Voyage d’un naturaliste autour du monde, de 1831 à 1836. Paris, 1875.

 

Journal of researches into the natural history and geology of countries visited by H. M. S. Beagle 1845. — Journal de recherches d’histoire naturelle et de géologie dans les contrées visitées par le Beagle.

 

The Variation of plants and animals under domestication, 2 vol., 1858. — De la variation des animaux et des plantes sous l’action de la domestication, traduction par J.-J. Moulinié, avec préface de Carl Vogt, 1868.

 

On the origin of species by means of the natural selection, 1 vol., 1859. — L’origine des espèces par la sélection naturelle, traduite en français sur la 6e édition anglaise par M. Ed. Barbier, 1876.

 

On the variation of organic beings in a state of nature (Journal of the Linnæan Society, t. III, Zoology, 1859, p. 46). — Sur les variations des êtres organisés dans l’état de nature (Journal de la Société Linnéenne, 1859).

 

The Descent of man and selection in relation to sex, 2 vol., 1871. La Descendance de l’homme et la sélection sexuelle, traduction par J.‑J. Moulinié avec préface de Carl Vogt, 2e édition, revue par M. Edmond Barbier, 1874.

 

The Expression of the emotions in man and animals, 1 vol. 1871. — L’Expression des émotions chez l’homme et les animaux. Traduction par Samuel Pozzi et René Benoît. Paris, 1874.

 

 

Zoologie.

 

The Zoology of the voyage of H. M. S. Beagle edited and superintended by Ch. Darwin, 1840, consisting in fire parts. — La Zoologie du voyage du Beagle, éditée et dirigée par Ch. Darwin, 1840.

 

Observations on the structure of the genus Sagitta. Ann. nat. hist., vol. XIII, 1844. - Observations sur l’anatomie du genre Sagitta. Annales d’histoire naturelle, t. XIII.

 

Brief Description of several terrestrial Planariæ and of some marine species. Ann. nat. hist., vol. XIV, 1844. — Description abrégée de quelques Planariées terrestres et marines. Ann. d’hist. naturelle, t. XIV, p. 241.

 

A Monograph of the Cirripedia. Part. I, Lepadidæ Ray. Soc., 1851, pp. 400. — Monographie des Cirrhipèdes. 1re Partie, Lepadidæ, publiée par la Société de Ray.

 

A Monograph of the Cirripedia. Part. II, Balanidæ, 1854, p. 684. — Monographie des Cirrhipèdes, Balanidæ, publiée par la Société de Ray.

 

A Monograph of the fossil Lepadidæ. Pal. Society, 1851, pp. 86. — Monographie des Lepadidées fossiles, publiée par la Société paléontologique.

 

Monograph of the fossil Balanidæ and Verrucidæ. Pal. Soc., 1851, pp. 86. — Monographie des Balanides et des Verrucides fossiles, publiée par la Société paléontologique, 44 pages. 

 

Botanique.

 

On the action of sea-water on the germination of seeds. Journ. Linn. Soc., vol. I, 1857. Bot., p. 130. Sur l’influence de l’eau de mer sur la germination des graines. Journ. de la Société Linnéenne, 1857.

 

On the agency of bees in the fertilisation of papilionaceous flowers. Ann. nat. hist., vol. II, 1858, p. 459. — Sur le rôle des abeilles dans la fécondation des fleurs papilionacées. Ann. d’histoire naturelle, t. II, p. 459. 1858.

 

On the two forms or dimorphic condition of the species of Primula. Journ. Linn. Soc., vol. VI, 1862. Bot., p. 77. — Sur les deux formes ou le dimorphisme des espèces de Primula. Journ. de la Soc. Linnéenne, t. VI, p. 77.

 

On the various contrivances by which British and Foreign Orchids are fertilised, 1862. — Des différents modes suivant lesquels les Orchidées anglaises et exotiques sont fécondées, 1 vol. traduit par M. Rérolle avec le titre : De la fécondation des Orchidées par les insectes.

 

On the existence of two forms and their reciprocal sexual relations in the genus Linum. Journ. Linn. Soc., vol. VII, 1863. Bot., p. 69. — Sur l’existence de deux formes et leurs relations sexuelles réciproques dans le genre Linum. Journ. de la Soc. Linnéenne, t. VII, p. 69.

 

On the sexual relations of three forms of Lythrum. Jour. Linn. Soc., vol VIII, 1864, p. 169. — Sur les relations sexuelles des trois formes de Lythrum. Journ. de la Soc. Linnéenne, t. VIII, 1864, p 169.

 

On the character and hybrid-like nature of the illegitimate offspring of dimorphic and trimorphic Plants. Jour. Linn. Soc., vol. X, 1867. Bot., p. 393. — Sur les caractères et la nature hybride des produits adultérins de plantes dimorphiques et trimorphiques. Journ. de la Soc. Linnéenne, t. X, 1867.

 

On the specific difference between Primula veris and P. vulgaris and the hybrid nature of the common Oxslip. Journ. Linn. Soc., vol. X, 1867 Bot., p. 437. — Sur la différence spécifique entre les Primula vulgaris et P. reris et la nature hybride du Museau de boeuf (Primula grandiflora Jacq.). Journ. de la Soc. Linnéenne. Bot., X, p. 437.

 

Insectivorous Plants, 1 vol., 462 p., 1875. — Les Plantes insectivores, traduction par E. Barbier, avec préface et notes complémentaires par Ch. Martins, 1877.

 

On the movements and habits of climbing Plants. Journ. Linn. Soc., vol. IX, 1865. Bot., p. I. Ce mémoire a été publié avec additions, en 1875, en un volume avec le même titre et traduit en français par le Dr R. Gordon, sous celui de : Les Mouvements et les habitudes des Plantes grimpantes, 1877.

 

The Effects of cross and self fertilisation in the vegetal kingdom, un vol. in-12, 482 p., 1876. — Les Effets de la fécondation propre ou croisée dans le règne végétal, dont la traduction française par le professeur E. Heckel est sous presse. 

 

Géologie.

 

On the formation of mould. Trans. geolog. Soc., vol. V, p. 505, read Nov. 1837. — Sur la formation de la terre végétale. Mémoires de la Soc. géologique de Londres, t. V, p. 505, lu en novembre 1837.

 

Origin of the saliferous depots of Patagonia. Journ. Geol. Soc., vol. II, 1838, p. 127. — Origine des dépôts salifères de la Patagonie. Journ. de la Soc. géologique de Londres, 1838, p. 127.

 

On the connection of the volcanic phenomena in South America. Transact. Geolog. Soc., vol.V, read March 1838. — Sur la connexion des phénomènes volcaniques dans l’Amérique du Sud. Transactions de la Société géologique de Londres, t. V. Mémoire lu en mars 1838.

 

On the parallel roads of Glen-Roy. Trans. Phil. Soc., 1839, p. 39. — Sur les terrasses parallèles de Glen-Roy. Transactions philosophiques, 1839, p. 39.

 

On the distribution of the erratic boulders in South America. Trans. Geolog. Soc., vol. VI, read April 484l. — Sur la distribution des blocs erratiques dans l’Amérique du Sud. Mémoires de la Soc. géologique de Londres, t. VI. Mémoire lu en avril 4841.

 

On a remarkable bar of sandstone of Fernambuco. Phil. Mag., oct 1841, p. 257. — Sur un barrage remarquable de grès devant Fernambouc. Magasin philosophique, 1841, p. 257.

 

Notes on the ancient glaciers of Caernarvonshire. Phil. Mag., vol. XX, 1842, p. 180. — Notes sur les anciens glaciers du Caernarvonshire. Magasin philosophique, t. XXI, p. 180.

 

The Structure and Distribution of coral-reefs, 1844, pp. 214. Second edition, 1874. — La Structure et la distribution des récifs de coraux. 2e édition.

 

Geological Observations on volcanic islands, 1842, pp. 175. Second edition, 1875. — Observations géologiques sur les îles volcaniques, 2e édition, 1875.

 

An account of the fine dust which often falls on the vessels in the Atlantic Ocean. Proceed. Geolog. Soc., 1845, p. 26. — Note sur la fine poussière qui tombe parfois sur les navires dans l’océan Atlantique. Bulletin de la Société géologique de Londres, 1845, p. 26.

 

On the geology of the Falkland islands. Journ. Geol. Soc., 1846., p. 247. — Sur la géologie des îles Falkland (Malouines). Journal de la Soc. géologique de Londres, 1846, p. 247.

 

On the transportal of erratic boulders from a lower to a higher level. Journ. Geol. Soc., 1848, p. 315. — Sur le transport des blocs erratiques d’un niveau plus bas à un niveau plus élevé. Journal de la Soc, géologique de Londres, 1848, p. 315.

 

On the power of icebergs to make grooves on a submarine surface. Phil. Mag., Aug. 1855. Sur le pouvoir des glaces flottantes de graver des stries sur des surfaces sous-marines, août 1855.

 

Geological Observations on South America, 1846, pp. 279. Second edition, 1875. — Observations géolologiques sur l’Amérique méridionale, 2e édition, 1875.

 

Charles Martins. 

Jardin des plantes de Montpellier, mars 1877.


Retour au texte de l'auteur: Edmond de Nevers Dernière mise à jour de cette page le samedi 13 janvier 2007 5:31
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur au Cégep de Chicoutimi.
 



Saguenay - Lac-Saint-Jean, Québec
La vie des Classiques des sciences sociales
dans Facebook.
Membre Crossref