André-François Boureau-Deslandes, Réflexions sur les grands Hommes qui sont morts en plaisantant

Réflexions sur les grands Hommes qui sont morts en plaisantant (1755)
Table des poésies

Une édition électronique réalisée à partir du texte de André-François Boureau-Deslandes (1690-1757), Réflexions sur les grands Hommes qui sont morts en plaisantant. [Texte imprimé] : avec des poésies diverses par M. D*** (A.-F. Boureau-Deslandes). Rochefort : Jacques Lenoir, 1755, XXIV-202 p. ; in-12. Reproduction à partir d’un fac-similé de la Bibliothèque nationale de France. Une édition numérique réalisée par un bénévole, professeur d’université à la retraite, qui demande à conserver l’anonymat [Anonyme 1].


TABLE DES POÉSIES

CHANSON. Iris, je ne puis m’en défendre

LE PANTAGRUÉLISME. Maître François, honneur du temps passé

CHANSON. Que Bacchus, que l’amour envoie

ÉPIGRAMME. Dans un fauteuil certain ample chanoine

À MADEMOISELLE DE BRISAMBOUR. En me promenant ce matin

À MADAME DE M***. Il est un fameux monastère

CONTRE QUELQUES MAUVAIS POÈTES. Obscure & vile populace

ÉPIGRAMME. Mon défaut est la paillardise

SUR LA PRISON DU ROI DE ***. Le grand seigneur est bon geôlier

À MADAME LA C. D. M.. Se livrer aux tendres plaisirs

SUR UNE COMPAGNIE MAL ASSORTIE. Dans une salle basse

ÉPITAPHE DE M***. Ci gît à la fleur de son âge

AU R. P. S.. Chantre fameux, qui sur les pas d’Horace

ODE À MONSIEUR D*** sur la retraite. O toi, qui du monde flatteur

PRIÈRE D’UNE VIEILLE COURTISANE, en consacrant à la déesse vénus son miroir. Laïs, qui mit sa gloire à servir les amours

À MONSIEUR S***, MÉDECIN. Docteur fameux, qui sais de la sagesse.

À MONSIEUR B***. Toi, qui par ta délicatesse