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Collection « Les auteur(e)s classiques »

L'ACTION. Tome I. Le problème des causes secondes et le pu agir. (1936).
Table des matières (tome I)


Une édition électronique réalisée à partir du texte de Maurice Blondel, L'ACTION. Tome I. Le problème des causes secondes et le pu agir. (1936). Paris: Félix Alcan, Éditeur, 1936, 492 pp. Une édition numérique de Damien Boucard, bénévole, professeur d'informatique en section post-bac, en lycée, en Bretagne, France.

Table des matières
(tome I)



Préparatif du départ et mise en mouvement de la recherche - Originalité et dualité du problème de l’action

I. — En quoi l’action fait-elle problème et comment cette étude de l’agir se rattache-t-elle à l’ensemble de la recherche philosophique ?

II. — Prospection des difficultés à surmonter ; comment contenir un agir qui soit dégagé d’un fond de passivité ?
III. — Caractères spécifiques de la méthode appropriée à l’objet original de notre enquête.

IV. — Perspectives ouvertes sur l’itinéraire à parcourir.

V. — Pour quelle raison l’étude de l’agir comporte-t-elle deux traités distincts, soit pour spécifier la nature essentielle de l’action, soit pour examiner l’exercice ou recueillir les leçons de l’action effective?


Partie liminale
- Comment surgit le problème philosophique de l’agir

I. — Enoncé et critique des données verbales du problème.

II. — Allumage et embrayage pour la mise en train de notre recherche.


I. Exploration ascendante
- Où trouver une authentique action
- Élimination purifiante et enrichissante

I. Peut-on attribuer a ce qu’on nomme, peut-être métaphoriquement, les agents physiques une action justifiant a quelques égards cette appellation?

II. Est-ce dans les initiatives humaines que nous trouverons l’idée pure et complète de l’action?

Discernement des degrés à franchir entre les tropismes animaux et l’activité humaine : originalité des démarches instinctivement raisonnables de l’homme, « actus hominis » ; caractères spécifiques des « actus humani » impliquant conscience et...

III. L’action proprement humaine est-elle la source ou nous puisons notre pleine idée de l’agir et fournit-elle le type réalisé de l’« agir » ?

•) Le type élémentaire de l’action humaine qui consiste à faire, à fabriquer, à œuvrer une matière, [mot grec].
•) La forme plus humanisée de l’action qui consiste à développer l’agent lui-même, [mot grec].
•) L’action contemplative, [mot grec], nous manifeste-t-elle — en le constituant — un acte pur dont toute passivité serait exclue ?

I. — La contemplation personnelle réalise-t-elle chez celui qui croit y atteindre l’idée essentielle et pure de l’action ?

II. — Les diverses conceptions monistes expliquent-elles et sauvegardent-elles la réalité de l’action sous une forme impersonnelle ?

III. — Comment et pourquoi le problème du pur Agir s’impose inévitablement à notre examen positif et commande toute solution de la question métaphysique et morale de l’action en toute son étendue ?


II. Mystère du pur agir
- Aux approches de l’inaccessible


I. Ombres et clartés

I. — Démarche préalable pour sauvegarder le problème réel de l’Agir

II. — Quelles objections peuvent être élevées contre l’idée et l’affirmation d’un agir pur.

Première aporie. — Pourquoi l’application à Dieu des mots agir et action semble d’abord abusive ?
Deuxième aporie. — Apparente contradiction au sein même du concept d’acte pur.
Troisième aporie. — Suffit-il d’affranchir l’acte pur de toute réaction de ses effets possibles ?
Quatrième aporie. — Une immanence est-elle concevable dans l’Agir transcendant et absolu ?
Cinquième aporie. — Le pur Agir a-t-il une nature à subir comme une immanence imposée et close ?
Sixième aporie. — Le véritable Agir suppose-t-il de la pensée ou doit-il rester au delà même de toute intelligibilité ?
Septième aporie. — Comment et pourquoi le pur Agir, exclusif de toute passivité, inclut l’Amour incréé.
Huitième aporie. L’agir, même quand il a employé les ressources de la pensée, peut-il s’en passer et les dépasser ?
Neuvième aporie. — La notion et la réalité d’un agir absolu peuvent-elles provenir d’une influence occulte de l’univers dont l’empire serait dit absolument inconditionné sous prétexte qu’il synthétise toutes les conditions intégrées dans la ...
Dixième aporie. — Comment un Agir véritable est-il compatible avec l’affirmation et la réalité certaine de l’Agir absolu et omnipotent ?

II. Rayonnement du mystère inviolé

      I. Couples d’affirmations à purifier et de négations compensatrices et stimulantes
      I. — En quel sens l’appellation traditionnelle « Acte pur » convient et ne convient pas à ce qu’elle a mission de désigner.

      II. — Si l’Agir absolu est ineffable dans sa parfaite action et son indivisible unité, comment, d’autre part, traiter des noms et des attributs divins ?

      III. — Le pur Agir engendre, et pourtant il n’y a rien de passif en sa génération qui ne peut être comparée ni à un effet ni à une cause relative à ce qu’elle produit.

      IV. — Comment, dans le pur Agir, la génération est vive et parfaite immanence de la pensée à elle-même, mais sans que cette génération puisse se borner à une simple réciprocité de l’intelligibilité et de l’intelligence qui ne sont pas tout l’...

      V. — Comment le pur Agir, intégrant en soi la parfaite Pensée, ne peut pas ne pas inclure en sa transcendante immanence l’Esprit de Charité.

      VI. — Comment l’unité absolue du pur Agir comporte d’intimes relations personnelles, mais sans qu’on puisse lui appliquer intrinsèquement une expression qui doit être réservée à son rapport avec les causes secondes, celle de Cause première.

      VII. — Comment l’Agir, absolument, suffisant en soi, peut-il, sans subir aucune nécessité, aucune passivité, devenir créateur et s’appeler Cause première et Fin dernière de causes secondes.

      VIII. — Comment l’Agir absolu, malgré sa parfaite suffisance, est-il aussi Cause première de causes secondes, devenant elles-mêmes capables d’authentiques actions ?

      IX. — Comment le pur Agir, par une libre création, appelle à l’action des êtres qui sont à la fois pour eux-mêmes et pour Dieu.

      X. — Comment, malgré l’obscurité des origines et des fins de leur action, les agents spirituels répondent de leur attitude à l’égard de la Cause première, de ses avances et de ses exigences.


III. Accession des causes secondes a la cause première
- Comment spécifier l’action des causes secondes


I. En quoi consiste l’ébauche d’activité du monde matériel?

II. La spontanéité vitale et les initiatives des agents organisés

III. Comment les agents libres ont-ils une action véritable en concourant à leur destin

1. Spécification propre aux diverses causes secondes.
2. L’échelle des causes.
3. Efficience et finalité solidaires entre elles et avec l’idée présente et active d’un transcendant agir.
4. Objections a élucider.
5. Conciliation paradoxale des objections et lumière qui résulte d’une telle cohérence des solutions offertes.
6. Fonction normale des agents spirituels.
7. Ou trouver la vraie spécification de l’action.


Conclusion requérante

I. — Problème des rapports entre la théorie et la pratique de l’action.

II. — Préciser, expliquer, utiliser la fissure inévitable et salutaire entre la théorie et la pratique de l’action.

III. — Comment et pourquoi l’action effective, en cela même qu’elle a de pratiquant et d’instructif, est objet original de science philosophique.

IV. — Irréductibilité et corrélation fonctionnelle de la spéculation théorique et de la science pratique de l’action.

V. — Symétrie et entraide des deux méthodes allant de la théorie à l’action et de l’action à la science.

Excursus - Compléments historiques et solutions des objections

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Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le dimanche 24 janvier 2010 15:17
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie au Cegep de Chicoutimi.
 



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