RECHERCHE SUR LE SITE

Références
bibliographiques
avec le catalogue


En plein texte
avec Google

Recherche avancée
 

Tous les ouvrages
numérisés de cette
bibliothèque sont
disponibles en trois
formats de fichiers :
Word (.doc),
PDF et RTF

Pour une liste
complète des auteurs
de la bibliothèque,
en fichier Excel,
cliquer ici.
 

Collection « Les auteur(e)s classiques »

Les caractères originaux de l'histoire rurale française. Tome I. (1931)
Introduction


Une édition électronique sera réalisée à partir du texte de Marc Bloch, Les caractères originaux de l'histoire rurale française. Tome I. (1931) Paris: Librairie Armand Colin, 1968, nouvelle édition, 5e tirage, 265 pp. 18 planches hors texte. Collection: Économies, sociétés, civilisation. Une édition numérique réalisée par Jean-Marc Simonet, bénévole, professeur retraité de l'Université de Paris.

Introduction

Quelques observations de méthode 

 

Strasbourg, 10 juillet 1930. 

Ce serait jouer à d’aimables hôtes un très vilain tour que de rejeter sur eux une responsabilité dont l’auteur seul doit supporter le poids. Je puis bien dire cependant que si l’Institut pour l’Étude Comparative des Civilisations ne m’avait fait l’honneur, à l’automne dernier, de me demander quelques conférences, ce livre n’eût probablement jamais été écrit. Un historien averti des difficultés de son métier — le plus malaisé de tous, au gré de Fustel de Coulanges — ne se décide pas sans hésitations à retracer en quelques centaines de pages une évolution extrêmement longue, en elle-même obscure et, par surcroît, insuffisamment connue. J’ai cédé à la tentation de présenter à un public plus large que mes bienveillants auditeurs d’Oslo quelques hypothèses que je n’ai pas eu, jusqu’ici, le loisir de développer avec tout l’appareil de preuves nécessaire, mais qui me paraissent, dès maintenant, capables de fournir aux chercheurs d’utiles directions de travail. Avant d’entrer dans le vif du sujet, il sera bon d’expliquer brièvement dans quel esprit je me suis efforcé de le traiter. Aussi bien quelques-uns de ces problèmes de méthode dépassent-ils, et de beaucoup, la portée de mon petit livre.

***

Dans le développement d’une discipline, il est des moments où une synthèse, fût-elle en apparence prématurée, rend plus de services que beaucoup de travaux d’analyse, où, en d’autres termes, il importe surtout de bien énoncer les questions, plutôt, pour l’instant, que de chercher à les résoudre. L’histoire rurale, dans notre pays, semble en être arrivée là. Ce tour d’horizon sommaire que l’explorateur s’accorde, avant de pVIII pénétrer dans les fourrés où les vues larges deviennent impossibles, est tout ce que j’ai prétendu réaliser. Nos ignorances sont grandes. Je me suis efforcé de n’en dissimuler aucune, pas plus les lacunes de la recherche, en général, que les insuffisances de ma propre documentation, fondée, en partie, sur une enquête de première main, mais faite, surtout, de coups de sondes [1]. Sous peine, cependant, de rendre l’exposé illisible, je ne pouvais multiplier les points d’interrogation autant qu’en droit il eût été nécessaire. Après tout, ne doit-il pas toujours être entendu qu’en matière de science toute affirmation n’est qu’hypothèse ? Le jour où des études plus approfondies auront rendu mon essai tout à fait caduc, si je puis croire qu’en opposant à la vérité historique des conjectures fausses je l’ai aidée à prendre conscience d’elle-même, je m’estimerai pleinement payé de mes peines.

Seuls les travaux qui se bornent, prudemment, à un cadre topographique restreint peuvent fournir aux solutions définitives les données de fait nécessaires. Mais ils ne sont guère capables de poser les grands problèmes. Il faut, pour cela, des perspectives plus vastes, où les reliefs fondamentaux ne risquent point de se perdre dans la masse confuse des menus accidents. Même un horizon étendu à une nation entière est parfois insuffisant. Sans un coup d’œil d’abord jeté sur la France, comment saisir, dans leur singularité, les développements propres aux diverses régions ? A son tour, le mouvement français ne prend son sens véritable qu’une fois envisagé sur le plan européen. Il ne s’agit point d’assimiler de force, tout au contraire de distinguer ; non de construire, comme dans le jeu des photographies superposées, une image faussement générale, conventionnelle et floue, mais de dégager, par le contraste, en même temps que les caractères communs, les originalités. Ainsi la présente étude, consacrée à un des courants de notre histoire nationale, ne s’en rattache pas moins à ces recherches comparatives que je me suis ailleurs efforcé de définir et pour lesquelles l’Institut, qui m’a accordé l’hospitalité, a déjà tant fait.

Mais les simplifications que commandait la forme même de l’exposé pIX ont forcément entraîné certaines déformations, qu’il n’est que loyal de signaler. « Histoire rurale française » ; ces mots paraissent tout simples. A y regarder de près, cependant, ils soulèvent bien des difficultés. Par leur structure agraire profonde, les diverses régions dont la France d’aujourd’hui est faite s’opposent et surtout s’opposaient entre elles beaucoup plus fortement que chacune, prise à part, à d’autres contrées, au delà des frontières politiques. Peu à peu, il est vrai, par dessus ces différences fondamentales, ce qu’on peut appeler une société rurale française s’est constituée, mais lentement, et moyennant l’absorption de plusieurs sociétés ou fragments de sociétés qui primitivement appartenaient à des mondes étrangers. Traiter de « françaises » des données relatives, par exemple, au IXe siècle, voire, si elles sont provençales, au XIIIe, serait une pure absurdité s’il ne devait être entendu à l’avance que cette façon de parler revient à dire, tout simplement, que la connaissance de ces phénomènes anciens, empruntés à des milieux disparates, s’avère indispensable à l’intelligence de la France moderne et contemporaine, issue, générations par générations, des diversités primitives. Bref, la définition est prise dans le point d’aboutissement, plutôt que dans les origines ou le cours même du développement : convention admissible, sans doute, pourvu qu’elle ne s’ignore pas elle-même.

La France rurale est un grand pays complexe, qui réunit dans ses frontières et sous une même tonalité sociale les tenaces vestiges de civilisations agraires opposées. Longs champs sans clôtures autour des gros villages lorrains, enclos et hameaux bretons, villages provençaux, pareils à des acropoles antiques, parcelles irrégulières du Languedoc et du Berry, ces images si différentes, que chacun de nous, en fermant les yeux, peut voir se former devant le regard de la pensée, ne font qu’exprimer des contrastes humains très profonds. Je me suis efforcé de rendre justice à ces dissemblances, et à beaucoup d’autres. Cependant les nécessités d’un récit forcément assez bref, le désir aussi de mettre l’accent, avant tout, sur quelques grands phénomènes communs, trop souvent laissés dans l’ombre et dont il appartiendra à d’autres travailleurs de préciser les nuances locales, m’ont à plusieurs reprises contraint d’insister moins sur le particulier que sur le général. Le principal inconvénient de ce parti-pris est d’avoir, dans une certaine mesure, pX masqué l’importance des facteurs géographiques : car les conditions imposées à l’activité humaine par la nature physique, si elles ne paraissent guère capables d’expliquer les traits fondamentaux de notre histoire rurale, reprennent tous leurs droits lorsqu’il s’agit de rendre compte des différences entre les régions. Il y a là une correction d’un grand poids, que ne manqueront pas de donner, un jour, des études plus poussées.

L’histoire est, avant tout, la science d’un changement. Dans l’examen des divers problèmes, j’ai fait de mon mieux pour ne jamais perdre de vue cette vérité. Cependant il m’est arrivé, notamment à propos des régimes d’exploitation, de devoir éclairer un passé très lointain à la lueur de temps beaucoup plus proches de nous. « Pour connaître le présent », disait naguère Durkheim, en tête d’un cours sur la famille, « il faut d’abord s’en détourner ». D’accord. Mais il est des cas aussi où, pour interpréter le passé, c’est vers le présent, ou, du moins, vers un passé tout voisin du présent qu’il sied, d’abord, de regarder. Telle est, en particulier, pour des raisons qu’on va voir, la méthode que l’état de la documentation impose aux études agraires.

***

La vie agraire de la France apparaît, à partir du XVIIIe siècle, au plein jour de l’histoire. Pas avant. Jusque là les écrivains, sauf quelques spécialistes préoccupés uniquement de donner des recettes pratiques, ne s’en étaient guère souciés ; les administrateurs, pas davantage. A peine si quelques ouvrages juridiques ou quelques coutumes rédigées renseignent sur les principales règles d’exploitation, comme la vaine pâture. Sans doute, nous le verrons plus loin, il n’est point impossible d’extraire des documents anciens beaucoup d’indications précieuses. Mais à condition de savoir les y découvrir. Or, pour cela, une première vue d’ensemble, seule capable de suggérer les lignes générales de la recherche, est indispensable. Antérieurement au XVIIIe siècle, impossible de se donner ce spectacle. C’est que les hommes sont ainsi faits qu’ils ne perçoivent guère que ce qui change, et brusquement. Pendant de longs siècles les usages agraires avaient semblé presque immuables, parce qu’en fait ils se modifiaient peu et que, lorsqu’ils évoluaient, c’était à l’ordinaire sans à-coups. Au XVIIIe siècle, techniques et règles d’exploitation entrèrent pXI dans un cycle de transformation beaucoup plus rapide. Bien plus : on voulut les transformer. Les agronomes décrivirent les vieilles routines, pour les combattre. Les administrateurs, afin de mesurer l’étendue des réformes possibles, s’informèrent de l’état du pays. Les trois grandes enquêtes, suscitées de 1766 à 1787 par le problème de la vaine pâture et des clôtures, tracent un vaste tableau, dont rien, jusque là, ne saurait donner l’équivalent. Elles ne sont que le premier anneau d’une longue chaîne, qui se poursuivra au siècle suivant.

A côté des écrits et presque aussi nécessaires que ceux-ci, se placent les cartes, qui mettent sous nos yeux l’anatomie des terroirs. Les plus anciennes remontent un peu plus haut, jusqu’au règne de Louis XIV. Mais ces beaux plans, d’origine seigneuriale pour la plupart, ne se multiplient guère qu’au XVIIIe siècle. Encore présentent-ils alors bien des lacunes, locales, régionales même. Pour connaître, dans toute son ampleur, le dessin des champs français, c’est jusqu’au cadastre du Premier Empire et de la monarchie censitaire, exécuté en pleine révolution agricole, mais avant l’achèvement de celle-ci, qu’il faut descendre [2].

Dans ces documents, d’époque relativement basse, l’histoire agraire — j’entends par là l’étude à la fois de la technique et des coutumes rurales qui, plus ou moins étroitement, réglaient l’activité des exploitants — trouve son point de départ obligatoire. Un exemple fera saisir, mieux que de longues considérations, la nécessité d’une pareille démarche.

Vers 1885, un des savants auxquels l’histoire rurale anglaise doit le plus, Frédéric Seebohm, préoccupé par l’étude du régime que nous retrouverons plus loin sous le nom de champs ouverts et allongés, écrivit à Fustel de Coulanges, dont le rapprochaient beaucoup de conceptions communes sur l’origine des civilisations européennes, pour lui demander si ce type agraire, clairement attesté en Grande Bretagne, l’était à quelque degré dans notre pays. Fustel répondit qu’il n’en avait point reconnu de traces [3]. Ce n’est point manquer à sa grande mémoire que de rappeler qu’il n’était pas de ceux pour qui le monde extérieur existe pXII intensément. Il n’avait sans doute jamais porté des regards bien attentifs sur les labours, au dessin si singulier, qui, dans tout le Nord et l’Est de la France, évoquent impérieusement le souvenir de l’open field anglais. Sans goût particulier pour l’agronomie, les discussions sur la vaine pâture qui, au moment même où il recevait la lettre de Seebohm, se poursuivaient devant les Chambres, l’avaient laissé indifférent. Pour renseigner son correspondant, il n’avait consulté que des textes, et très anciens. Mais il les connaissait admirablement. Comment se fait-il qu’ils ne lui aient rien révélé sur des phénomènes dont pourtant ils peuvent fournir quelques témoignages assez nets ? Maitland, dans un jour d’injustice, l’a accusé d’avoir volontairement fermé les yeux, par parti-pris national. Mais les champs allongés sont-ils donc forcément germaniques ? La véritable explication est ailleurs. Fustel n’avait considéré que les documents en eux-mêmes, sans les éclairer par l’étude d’un passé plus proche. Passionné, comme alors tant de hauts esprits, par les questions d’origines, il resta toujours fidèle à un système étroitement chronologique qui le conduisait, pas à pas, du plus ancien au plus récent. Ou, du moins, il ne pratiquait la méthode inverse qu’inconsciemment et parce que, bon gré mal gré, elle finit toujours par s’imposer, en quelque manière, à l’historien. N’est-il pas inévitable que, à l’ordinaire, les faits les plus reculés soient en même temps les plus obscurs ? et comment échapper à la nécessité d’aller du mieux au moins bien connu ? Lorsque Fustel recherchait les racines lointaines du régime dit « féodal », il fallait bien qu’il eût dans l’esprit une image, au moins provisoire, de ces institutions, au moment de leur plein épanouissement, et l’on est en droit de se demander s’il n’eût pas mieux fait, avant de s’enfoncer dans le mystère des débuts, de préciser les traits du dessin achevé. L’historien est toujours l’esclave de ses documents ; plus que tout autres, ceux qui se vouent aux études agraires ; sous peine de ne pouvoir épeler le grimoire du passé, il leur faut, le plus souvent, lire l’histoire à rebours.

Mais ce déchiffrement à l’opposé de l’ordre naturel a ses périls, qu’il importe de définir clairement. Qui voit le piège, risque moins d’y tomber.

Les documents récents éveillent les curiosités. Les textes anciens sont loin de laisser celles-ci toujours insatisfaites. Convenablement interrogés, ils fournissent beaucoup plus qu’au premier abord on n’eût oser en attendre : notamment ces témoignages de la pratique juridique, pXIII ces arrêts, ces actes de procès dont malheureusement le dépouillement, dans l’état actuel de notre équipement scientifique, est si mal préparé. Tout de même, ils sont loin de répondre à toutes les questions. D’où la tentation de tirer des propos de ces témoins récalcitrants des conclusions beaucoup plus précises qu’en droit il ne serait légitime : écarts d’interprétation dont on donnerait aisément un amusant spicilège.

Mais il y a pis. En 1856, Wilhelm Maurer écrivait : « Le coup d’œil le plus rapide sur les comtés de l’Angleterre actuelle montre que l’exploitation par fermes isolées est de beaucoup la plus répandue... Cet état de choses, constaté de nos jours, permet de conclure sûrement pour l’époque ancienne » — il s’agissait de la période anglo-saxonne — « à un peuplement par habitations isolées ». Il n’oubliait rien de moins que la révolution des « enclôtures », brèche profonde creusée entre le passé rural de l’Angleterre et son présent. Les « fermes isolées » étaient nées, pour la plupart, de réunions de parcelles et d’évictions, infiniment postérieures à l’arrivée de Hengist et Horsa. La faute ici n’est guère pardonnable, parce qu’il s’agit d’un changement relativement récent, aisé à connaître et à mesurer. Mais c’est dans le principe même du raisonnement que réside le véritable danger : car il est, si l’on n’y prend garde, capable d’entraîner beaucoup d’autres erreurs, singulièrement plus difficiles à dépister. Trop fréquemment, à une méthode en elle-même raisonnable, on joint un postulat qui, lui, est pleinement arbitraire : l’immuabilité des usages agraires anciens. La vérité est tout autre. A vrai dire, protégées par les difficultés matérielles qui s’opposaient à leur bouleversement, par l’état d’une économie aux réactions plus lentes, par le traditionalisme ambiant, les règles d’exploitation se transformaient autrefois plus rarement qu’aujourd’hui. En outre, les documents qui nous renseignent sur leurs modifications anciennes sont généralement très pauvres et très peu explicites. Elles étaient pourtant, comme nous le verrons au cours de l’exposé, bien loin de pouvoir prétendre à je ne sais quelle illusoire pérennité. Tantôt une rupture brusque dans l’existence du village — dévastation, repeuplement après une guerre — forçait à retracer les sillons sur un nouveau plan : tantôt, comme en Provence, aux temps modernes, la communauté décidait de changer, d’un coup, la coutume ancestrale ; plus souvent encore, on s’écartait presque insensiblement et, peut-être sans le vouloir, de l’ordre primitif. Certes, elle ne pXIV ment point, la belle phrase romantique où Meitzen a exprimé un sentiment presque poignant, familier à tous les chercheurs qui ont consacré aux antiquités agraires une part de leur vie : « Dans chaque village, nous promenons nos pas parmi les ruines de la préhistoire, plus vieilles que les romanesques débris des burgs ou les remparts croulants des villes ». Sur plus d’un terroir en effet, le dessin des champs dépasse, et de beaucoup, en ancienneté les plus vénérables pierres. Mais ces vestiges, précisément, n’ont jamais été, à proprement parler, des « ruines » ; ils ressemblent bien plutôt à ces édifices composites, de structure archaïque, que, sans jamais cesser d’y faire leur nid, les siècles, tour à tour, ont remaniés. C’est pourquoi ils ne sont presque jamais arrivés à nous à l’état pur. Le vêtement du village est très vieux, mais il a été bien souvent rapiécé. A négliger, de parti-pris, à refuser de rechercher ces variations, on nierait la vie même, qui n’est que mouvement. Suivons, puisqu’il le faut, en sens inverse la ligne des temps ; mais que ce soit d’étape en étape, attentifs toujours à tâter du doigt les irrégularités et les variations de la courbe et sans vouloir — comme on l’a fait trop souvent — passer, d’un bond, du XVIIIe siècle à la pierre polie. Au proche passé, la méthode régressive, sainement pratiquée, ne demande pas une photographie qu’il suffirait ensuite de projeter, toujours pareille à elle-même, pour obtenir l’image figée d’âges de plus en plus lointains ; ce qu’elle prétend saisir, c’est la dernière pellicule d’un film, qu’elle s’efforcera ensuite de dérouler à reculons, résignée à y découvrir plus d’un trou, mais décidée à en respecter la mobilité. 

Strasbourg, 10 juillet 1930. 



[1] Je signale, en passant, que je n’ai pu donner, tant s’en faut, toutes les précisions numériques que j’eusse désirées, en ce qui regarde, notamment, les dimensions de parcelles : les instruments de recherche, pour l’étude des mesures anciennes, manquent presque totalement.

[2] Pour les enquêtes du XVIIIe siècle, qui seront assez souvent citées par la suite, voir Annales d’histoire économique, 1930, p. 551 ; pour les plans, ibid., 1929, p. 60 et 390.

[3] P. Seebohm, French peasant proprietorship, dans The Economic Journal, 1891.



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le mercredi 5 mars 2008 10:11
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie au Cegep de Chicoutimi.
 



Saguenay - Lac-Saint-Jean, Québec
La vie des Classiques des sciences sociales
dans Facebook.
Membre Crossref