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Collection « Les auteur(e)s classiques »
Une édition électronique réalisée à partir du livre d’Edward E. Evans-Pritchard (1965), La femme dans les sociétés primitives et autres essais d’anthropologie sociale. Traduit de l’Anglais par Anne et Claude Rivière. Paris : Les Presses universitaires de France, 1971, 248 pages. Collection : Bibliothèque de sociologie contemporaine. Titre de l’ouvre originale : The position of women in primitive societies and other essays in social anthropology. (Faber and Faber Ltd, Londres, 1965). Note des traducteurs Les noms propres de personne, de région, d'ethnie, de clan... ainsi que les mots vernaculaires, ont été orthographiés comme dans le texte anglais, plus proche que le français d'une écriture phonétique. Aussi le e de « Zande » se prononce-t-il é ; le u de « Babukur » ou de « Nuer » : ou; le gis de « Kipsigis » : guiz ; le in de Dinka ne doit pas être nasalisé. Nous avons observé la règle de l'invariabilité en genre et en nombre de ces noms propres, sauf, à l'instar de l'auteur, dans les chapitres sur l'État et le cannibalisme zande, où le pluriel de certains noms d'ethnies ou de tribus a été marqué, selon l'usage autochtone, par le préfixe A; exemples: un Mbomu, des Ambomu; un clan vongara, la dynastie des Avongara. Employés comme adjectifs, ces noms propres ne portent pas la majuscule. Exemple : les Luo, le pays luo. Néanmoins, nous nous sommes permis de déroger à cette règle, en des cas exceptionnels, afin de lever une ambiguïté de sens ou de faciliter l'intelligence du texte. A. et C. RIVIÈRE.
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