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Collection « Les auteur(e)s classiques »

Les formes élémentaires de la vie religieuse (1912):
Le système totémique en Australie
Table des matières


Une édition électronique réalisée à partir du livre d’Émile Durkheim (1912), Les formes élémentaires de la vie religieuse. Le système totémique en Australie. Paris: Les Presses universitaires de France, 1968, cinquième édition, 647 pages. Collection: Bibliothèque de philosophie contemporaine.


LIVRE III : LES PRINCIPALES ATTITUDES RITUELLES

CHAPITRE I : Le culte négatif et ses fonctions. les rites ascétiques

I. - Le système des interdits. - Interdits magiques et religieux. Interdits entre choses sacrées d'espèces différentes. Interdits entre sacré et profane. - Ces derniers sont à la base du culte négatif. - Principaux types de ces interdits; leur réduction à deux types essentiels

II. - L'observance des interdits modifie l'état religieux des individus. - Cas où cette efficacité est particulièrement apparente : les pratiques ascétiques. - Efficacité religieuse de la douleur. -Fonction sociale de l'ascétisme

III. - Explication du système des interdits: antagonisme du sacré et du profane, contagiosité du sacré

IV. - Causes de cette contagiosité. - Elle ne peut s'expliquer par les lois de l'association des idées. - Elle résulte de l'extériorité des forces religieuses par rapport à leurs substrats. Intérêt logique de cette propriété des forces religieuses


CHAPITRE II : Le culte positif

I. - Les éléments du sacrifice

La cérémonie de l'Intichiuma dans les tribus de l'Australie centrale. - Formes diverses qu'elle présente

I. - Forme Arunta. - Deux phases. - Analyse de la première visite aux lieux saints, disper-sion de poussière sacrée, effusions de sang, etc., pour assurer la reproduction de l'espèce totémique

II. - Deuxième phase: consommation rituelle de la plante ou de l'animal totémique

III. - Interprétation de la cérémonie complète. - Le second rite consiste en une commu-nion alimentaire. - Raison de cette communion

IV. - Les rites de la première phase consistent en oblations. - Analogies avec les oblations sacrificielles. - L'Intichiuma contient donc les deux éléments du sacrifice. - Intérêt de ces faits pour la théorie du sacrifice

V. - De la prétendue absurdité des oblations sacrificielles. - Comment elles s'expli-quent: dépendance des êtres sacrés par rapport à leurs fidèles. - Explication du cercle dans lequel parait se mouvoir le sacrifice. - Origine de la périodicité des rites positifs

CHAPITRE III : Le culte positif (suite)

II - Les rites mimétiques et le principe de causalité

I. - Nature des rites mimétiques. - Exemples de cérémonies où ils sont employés pour assurer la fécondité de l'espèce

II. - Ils reposent sur le principe : le semblable produit le semblable. - Examen de l'explication qu'en donne l'école anthropologique. - Raisons qui font qu'on imite l'animal ou la plante. - Raisons qui font attribuer à ces gestes une efficacité physique. - La foi. - En quel sens elle est fondée sur l'expérience. - Les principes de la magie sont nés dans la religion

III. - Le principe précédent considéré comme un des premiers énoncés du principe de causalité. -Conditions sociales dont ce dernier dépend. - L'idée de force impersonnelle, de pouvoir, est d'origine sociale. - La nécessité du jugement causal expliquée par l'autorité inhérente aux impératifs sociaux


CHAPITRE IV : Le culte positif (suite)

III. - Les rites représentatifs ou commémoratifs

I. - Rites représentatifs avec efficacité physique. - Leurs rapports avec les cérémonies antérieurement décrites. - L'action qu'ils produisent est toute morale

II. - Rites représentatifs sans efficacité physique. - Ils confirment les résultats précédents. - L'élément récréatif de la religion; son importance; ses raisons d'être. - La notion de fête.

III. - Ambiguïté fonctionnelle des différentes cérémonies étudiées; elles se substituent les unes aux autres. - Comment cette ambiguïté confirme la théorie proposée.

CHAPITRE V : Les rites piaculaires et l'ambiguïté de la notion du sacré

Définition du rite piacuIaire .

I. - Les rites positifs du deuil. - Description de ces rites.

II. - Comment ils s'expliquent. - Ils ne sont pas une manifestation de sentiments privés. - La méchanceté prêtée à l'âme du mort ne peut pas davantage en rendre compte. - Ils tiennent à l'état d'esprit dans lequel se trouve le groupe. - Analyse de cet état. - Comment il prend fin par le deuil. - Changements parallèles dans la manière dont l'âme du mort est conçue.

III. - Autres rites piaculaires : à la suite d'un deuil public, d'une récolte insuffisante, d'une sécheresse, d'une aurore astrale. - Rareté de ces rites en Australie. - Comment ils s'expliquent.

IV. - Les deux formes du sacré: le pur et l'impur. - Leur antagonisme. - Leur parenté. - Ambiguïté de la notion du sacré. - Explication de cette ambiguïté. - Tous les rites présentent le même caractère .

CONCLUSION

Dans quelle mesure les résultats obtenus peuvent être généralisés. .

I. - La religion s'appuie sur une expérience bien fondée, mais non privilégiée. - Nécessité d'une science pour atteindre la réalité qui fonde cette expérience. - Quelle est cette réalité : les groupements humains. - Sens humain de la religion. - De l'objec-tion qui oppose la société idéale et la société réelle. Comment s'expliquent, dans cette théorie, l'individualisme et le cosmopolitisme religieux .

II. - Ce qu'il y a d'éternel dans la religion. - Du conflit entre la religion et la science; il porte uniquement sur la fonction spéculative de la religion. - Ce que cette fonction paraît appelée à devenir .

III. - Comment la société peut-elle être une source de pensée logique, c'est-à-dire con-ceptuelle ? Définition du concept : ne se confond pas avec l'idée générale ; se carac-térise par son impersonnalité, sa communicabilité. - Il a une origine collective. - L'analyse de son contenu témoigne dans le même sens. - Les représentations col-lec--tives comme notions-types auxquelles les individus participent. - De l'objection d'après laquelle elles ne seraient impersonnelles qu'à condition d'être vraies, - La pensée conceptuelle est contemporaine de l'humanité.

IV. - Comment les catégories expriment des choses sociales. - La catégorie par excellence est le concept de totalité qui ne peut être suggéré que par la société. - Pourquoi les relations qu'expriment les catégories ne pouvaient devenir conscientes que dans la société. - La société n'est pas un être alogique. - Comment les catégories tendent à se détacher des groupements géographiques déterminés
Unité de la science, d'une part, de la morale et de la religion de l'autre. - Comment la société rend compte de cette unité. - Explication du rôle attribué à la société : sa puissance créatrice. - Répercussions de la sociologie sur la science de l'homme.

Revenir aux ouvrages de l'auteur Dernière mise à jour de cette page le Jeudi 27 mars 2003 07:28
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
 



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