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Collection « Les auteur(e)s classiques »

ESSAI DE PHILOSOPHIE GÉNÉRALE.
Tome I: La recherche de la vérité. Sa genèse idéale et son fondement. (1954)
Table des matières


Une édition électronique réalisée à partir du livre de Jean Anglès d'Auriac, ESSAI DE PHILOSOPHIE GÉNÉRALE. Tome I: La recherche de la vérité. Sa genèse idéale et son fondement. Paris: Les Presses Universitaires de France, 1954, 293 pp. Collection: “Bibliothèque de philosophie contemporaine” fondée par Félix Alcan. Une édition numérique réalisée avec le concours du fils de l'auteur, Thierry Anglès d'Auriac, bénévole. [Livre diffusé en libre accès dans Les Classiques des sciences sociales avec l'autorisation des ayants droit accordée le 19 mai 2019].

[291]

Table des matières

Avant-propos [ix]

PREMIÈRE PARTIE

CONCEPTION ET MISE EN PROJET RAISONNÉE
DE L’ŒUVRE DE LA « BONA MENS »


Chapitre I. Conception et mise en projet de l’Œuvre de la « Bona Mens ». Première théorie de la bonne décision et du bon jugement. Exposé de notions fondamentales [3]

Chapitre II. Les apparences objectives. Distinction de la connaissance et de la pathie [27]

Chapitre III. Les apparences objectives. Distinction de la connaissance et de la pensée [37]

Chapitre IV. Les apparences mentales. Leur distinction d’avec les évidences mentales. Leurs principales variétés [64]

Chapitre V. Comparaison générale des apparences objectives et des apparences mentales. Les deux propriétés des évidences mentales [71]

Chapitre VI. — Que la bonté de mon Œuvre n’est présentement pour moi qu’une apparence mentale [88]

Chapitre VII. Éléments d’une théorie de la bonté des décisions. La condition nécessaire et suffisante et les degrés de cette bonté [92]

Chapitre VIII. Conséquences des Vérités établies aux chapitres précédents. Que je dois ne pas entreprendre sur-le-champ mais mettre en projet l’Œuvre de la « Bona Mens » [100]

DEUXIÈME PARTIE

PLAN MORAL ET MATÉRIEL DE MA DISCUSSION
DU PROJET DE LA « BONA MENS »


Chapitre I. Que ma discussion doit prendre la forme d’un discours. Pourquoi je devrai l’ordonner. Mon obligation de l’opérer par diction. Sa première raison : la valeur d’outils des mots [105]

Chapitre II. Détermination de la seconde raison de mon recours à la diction : la valeur des mots comme signes efficaces d’opérations individualisées [110]

Chapitre III. Preuve de la prérogative des mots affirmée au chapitre précédent [114]

Chapitre IV. La troisième raison de mon recours à la diction : la recherche d’associés éventuels [129]

Chapitre V. Les qualités qu’appellent diction et langage : la vérité et la maniabilité des mots [144]

Chapitre VI. Quel complément d’information demande le succès de ma décision [152]

TROISIÈME PARTIE

ACQUISITION D’UNE IDÉE ACTUELLEMENT DISTINGUÉE
DE L’ŒUVRE DE LA « BONA MENS »


Chapitre I. Distinction de la matière et de l’objet formel de mon Œuvre. Étude de la première condition définissant pour moi celle-là. L’essence fait d’opinion. Comment on doit la concevoir [159]

Chapitre II. La seconde condition d’appartenance à la matière de mon Œuvre. Ce qu’est la personnalité des actions composant celle-ci [170]

Chapitre III. Étude de la condition déterminant finalement la matière de mon Œuvre. Ce qu’est ma causalité personnelle concrète [179]

Chapitre IV. Étude de l’objet formel de mon Œuvre. La notion d’aménagement [186]

Chapitre V. Acquisition d’une idée actuellement distinguée de la bonté, entendue comme le veut l’« Opus » [192]

Chapitre VI. Analyse de la possibilité, distinguée de la praticabilité. Pourquoi la première et non la seconde, s’inscrit dans l’objet formel de l’« Opus » [209]

Chapitre VII. — Remarques sur la notion d’action et le caractère nécessairement public de l’« Opus ». Conclusion de la troisième partie [224]

QUATRIÈME PARTIE

DISCUSSION ET ADOPTION DU PROJET
DE LA « BONA MENS »

Chapitre I. Que la place de la croyance dans la vie de l’homme rend obligatoire pour chacun le fond premier de l’Œuvre de la « Bona Mens » [229]

Chapitre II. Que la démonstration précédente s’applique encore à l’état d’incroyance. Généralisation de la notion de croyance, y faisant rentrer l’incroyance à titre de croyance négative [239]

Chapitre III. Que la croyance n’est pas au service du Vrai, considéré comme tel, mais du Bien [247]

Chapitre IV. Les principaux éléments de perfection de la croyance [256]

Chapitre V. Examen des inconvénients indirects mais inévitables de l’Œuvre intégrale de la « Bona Mens ». Que ces inconvénients limitent en droit le nombre de ses agents mais qu’elle reste en principe digne des efforts de l’homme [261]

Chapitre VI. Que le principe des bons desseins n’est pas la perfection envisagée dans l’abstrait mais le bien objectivement escomptable de nos conduites et que ce principe justifie mon adoption du projet de la « Bona Mens » [269]

Conclusion. Le discours qui s’achève dessine la genèse idéale et présente le fondement de la Recherche du Vrai [279]

Index des termes [285]


Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le jeudi 13 juin 2019 11:28
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur associé, Université du Québec à Chicoutimi.
 



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